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Accueil du site > Tribune Libre > Julien Rochedy : « Nous sommes les enfants de Waterloo »

Julien Rochedy : « Nous sommes les enfants de Waterloo »

Le Bréviaire des patriotes a rencontré Julien Rochedy, directeur national du FNJ, avec lequel il revient sur plusieurs points comme la jeunesse, Napoléon, le bonapartisme, la Russie ou encore la politique économique de Marine Le Pen.

 

 

http://www.lebreviairedespatriotes....




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7 réactions à cet article    


  • 9 votes
    Lisa Sion Lisa Sion 10 juillet 2014 17:02

    Premier bouquin à 2O ans, influent sur le net à 26, un jeune homme bien prometteur qu’il faut encourager car le ton est modéré et la direction noble, l’avenir donnera raison selon qu’il vise juste car le temps use l’erreur et polit la vérité, bonne route jeune homme !


    • 5 votes
      DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 10 juillet 2014 19:38

      Avez-vous demandé aux immigrés et fils d’immigrés s’il faut soutenir ou arrêter l’immigration en France ? ... Vous serez étonné de la réponse ... 80% diront STOP à l’immigration, restez chez vous car C dur d’immigrer et de quitter sa terre ... En plus, la soi-disante France souper ouverte bobo rose, vous fera bien sentir que l’immigré n’est pas chez lui - faut être Français de souche pour par comprendre ce que je dis.
      .
      La France est raciste ... Merci le FN pour avoir apporter la peur, la haine et le racisme dans le coeur des Français !.
      ..
      Le FN est une arnaque au nationalisme et au patriotisme Français !


      • 13 votes
        ebxa7 ebxa7 10 juillet 2014 21:57

        Ben voyons, certaines villes françaises sont à plus de 50% allogènes, et on serait raciste ou plutôt xénophobe ? sans blague, parles en aux Japonais, aux Israeliens, aux Saoudiens, aux 3/4 des pays ... le problème en France c’est l’excès d’immigration et le manque évident de respect et de volonté de s’intégrer, d’ailleurs les immigrés des années 50-60 et avant sont surement ceux qui ont le plus les boules vis à vis de l’immigration massive, car eux avaient fait l’effort de s’assimiler et cela fonctionnait dans beaucoup de cas car cela se faisait doucement.
        Et dire qu’il y a une résolution de l’ONU qui protège les peuples indigènes contre les colonisations forcées et les spoliations de terres, mais les blancs n’ont pas le droit de revendiquer cette résolution, ils ont le droit de fermer leur gueule, d’être insultés, traités de beaufs racistes... mais cela va changer...


      • 4 votes
        Joe Chip Joe Chip 10 juillet 2014 20:36

        "Waterloo, c’est la fin de l’hégémonie française sur l’Europe et sur le monde"

        Vision franco-française de l’histoire qui n’est pas inexacte mais qu’il convient de remettre en perspective.

        La domination des anglo-saxons sur le monde était acquise bien avant Waterloo et même avant le désastreux traité de Paris (1763) dont aucun français, à l’époque, ne saisit d’ailleurs la portée historique. On croit au contraire avoir sauvegardé l’essentiel sur le continent et limité la casse sur les mers en conservant quelques colonies subalternes sur le plan politique, mais économiquement viables (à l’époque...). On est satisfait. La France reste, à l’heure du jour, la référence culturelle en Europe et personne n’est alors en mesure de comprendre l’ampleur et les conséquences à long terme de la victoire anglaise. Si les Français accusent le coup et aspirent à prendre une revanche sur les mers, c’est avant tout pour rétablir notre "prestige" écorné par le traité de Paris. Voltaire évoque négligemment des "arpents de neige" sans valeur pour décrire la Nouvelle-France. Il n’y a donc aucune conscience de perte irréparable et encore moins d’avoir abandonné la marche du monde aux anglo-saxons. Ce n’est qu’a posteriori - et donc anachroniquement - que l’on peut tenter une lecture de l’histoire sur fond d’enjeux liés à la "mondialisation" au sens contemporain du terme.

        D’ailleurs, la France a eu une "seconde chance" en Amérique quand l’Espagne lui a rétrocédé la Louisiane (perdue en 1762). Certains responsables américains comme Alexander Hamilton étaient d’ailleurs persuadés que les Français en profiteraient pour reprendre pied en Amérique, et voulaient se préparer à une guerre ouverte contre la France. Peine perdue. Napoléon, totalement accaparé par sa politique continentale, vendit finalement la Louisiane aux Américains en 1803... pour financer les guerres "glorieuses" en Europe. 

        Les faits plaident plutôt en faveur d’une domination logique et inéluctable de l’Angleterre sur les océans, que l’opposition française - toujours partielle, en raison des luttes continentales mobilisant une part importante de nos ressources - ne put jamais vraiment remettre en question :
        - de par sa situation insulaire, qui déterminait largement ses choix en matière de politique extérieure et commerciale, l’Angleterre était vouée à la domination maritime et commerciale
        - les actes de navigation (remontant à 1650 quand même) qui plaçaient de facto les principales voies commerciales sous souveraineté anglaise en posant les bases de la "mondialisation"
        - la défaite finale de la Hollande aux termes d’une âpre guerre maritime qui laissait l’Angleterre sans rivale commerciale sur les mers. Cette défaite est sans doute plus importante à l’échelle mondiale que la perte des colonies françaises en Amérique, qui était inscrite dans une certaine logique historique : territoire trop vaste, colons trop peu nombreux, désintérêt relatif mais objectif des élites françaises (les Québecois en savent quelque chose...) 

        Waterloo n’est absolument pas la cause du déclin français, c’est une coda placée à la fin de la Révolution. Cette défaite ne fait que sanctionner un déclassement historique inscrit dans une durée relativement longue et que "l’épopée impériale" ne fit que reporter au prix d’une fuite en avant permanente dictée par la politique providentielle d’un seul homme. A partir du moment où Napoléon perdait sa flotte (Trafalgar) et ne pouvait plus espérer vaincre l’Angleterre, mais seulement l’affaiblir - et même assez considérablement quand on voit l’état des finances du pays en 1812 -, tout était joué. Ce n’est pas pour rien que le "Trafalgar Day" était fêté partout dans l’Empire Britannique jusqu’à la première guerre mondiale. Nous sommes alors en 1805. Napoléon chute en 1813. Cela lui laissait au moins cinq bonnes années pour redevenir humain et écouter les voix prudentes de la diplomatie qui commençaient à pointer les impasses de sa politique étrangère. Une négociation engagée avec l’Angleterre autour du sort de la Belgique - le seul vrai enjeu sur le plan continental - alors qu’il était encore dans une position de force, lui aurait peut-être permis de conserver les acquis de la période révolutionnaire, et notamment cette précieuse rive gauche du Rhin qui nous aurait mis à l’abri des agressions ultérieures. 

        Napoléon, ivre de son propre personnage, choisit la fuite en avant et un bras de fer avec l’Angleterre qu’il n’avait pas les moyens de gagner, mais qu’il pouvait ne pas perdre. Cela ne sert à rien de sacrifier des millions de vie humaines - et, accessoirement, françaises - face à un adversaire qui contrôle le commerce mondial et la banque, pouvant ainsi financer à crédit son effort de guerre en s’achetant des alliés (la très prévisible "trahison" russe qui révèle quand même la naïveté toute roturière de Napoléon face à un personnage qu’il estimait être son "égal"). En outre l’échec des cent jours redouble en 1815 les conséquences déjà sinistres de la retraite de Russie. Sur le plan symbolique, Napoléon laisse une France durablement détestée en Europe, alors qu’elle était encore perçue comme un phare avancé de la civilisation 15 ans auparavant. Asselineau a raison sur ce point, l’Empire a été par bien des aspects une trahison de ce qu’incarnait la France.


        • 2 votes
          lekaner lekaner 11 juillet 2014 00:59

          10 apres c’est vite dit, il etait riche déjà du temps de Louix XVI le pere mayer.


        • vote
          Staline 12 juillet 2014 21:38

          le jeuneuh passe à la télé :

          https://www.youtube.com/watch?v=m4Wseic4e5w


          • vote
            Staline 13 juillet 2014 12:01

            les Bourguignons qui, dans jeanne d’arc ne sont pas les super gentils du film, ont donc besoin que l’on parle d’eux qui sont à l’est, veulent incarner les français de la réussite discipline dominante du savoir faire.

            Et la bataille de Trafalgar, comme un coups de grisou, est dans le nord. Waterloo si l’on veut aller plus loin aurai aux derniere nouvelle cette similarité stratégique et topographique avec le siège d’alésia.



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