Le mieux serait un processus mondial. Moins l’accord sera performant et efficace et plus il coutera cher au monde et à la société. Globalement si l’économie elle est pas prête à faire des efforts d’améliorations pour tirer l’avenir vers le haut, les états ne seront pas récompensé et l’économie continuera comme avant jusqu’au prochain déluge.
Une annulation partielle de la dette de la facture de l’épidémie serait possible si l’écologie est utilisée en processus mondial. Annuler 50% des coûts et dettes de coronavirus des pays pour la moitié la plus pauvre du monde, et 25% pour l’autre moitié de la planète pour les pays les plus riches. Il est possible de réaliser cela en diminuant proportionnellement la consommation d’énergie polluante de 37,5%.
L’ écologique prend en compte les ressources dépensées et brulée, et à l’inverse l’économie prend en compte l’énergie restante disponible. Si l’économie cherche à rattraper son retard elle va créer une sur concentration inévitable de polluants.