L’hystérie collective en hausse, plus que démontrée par l’abruti ci-dessus.
Poutine, semble-t-il vient de réaliser une opération de maître. Grâce à des types comme le ci-dessus abruti, Poutine a réalisé l’exploit de rassembler plus de 67% des inscrits derrière lui. Étant donné le racisme anti-russe et la totale désinformation jetée en pâture dans l’auge des gogos et de ceux-là mêmes qui les élaborent et se fient aux journaux (qu’ils ont alimenté) pour prendre des décisions, l’Immense majorité du peuple russe s’est rassemblé derrière son président pour le réélire et lui signifier leur accord aux mesures qu’il a prises. Si l’on regarde les chiffres, seuls moins de 23% n’ont pas voté ou voté nul. Ce qui signifie, en supposant que 13% ne serait pas allé voter sans aucune raison, il ne reste que 10% qui peut avoir émis un vote négatif. Les 3 autres candidats ont certainement reçu moins de vote que ce qu’ils auraient pu avoir, vu la polarisation générée par les occidentaux, "qui, en tant que bons démocrates, ne s’immiscent jamais dans les élections d’autrui".
Les abrutis crient haut et fort d’élections truquées. Le comptage manuel est certainement plus fiable que celui des fameuses machines dominions. Il n’y avait que 4 candidats : bien sûr, mais qui se présente quand il est sûr de perdre ? Pour ceux qui ont été recalés, il y a un règlement, que l’on peut discuter, mais que les russes ne discutent pas, sauf les recalés. De toute façon, c’est leur problème, les abrutis n’ont pas à décider pour eux.
Néanmoins, l’on peut clairement justifier les résultats par les projections faites par le Levada Center (Classé par la Russie comme agent financé par l’étranger). Les données sont sans appel : Poutine 86% d’avis favorables .
Un journaliste Estonien n’apprécie pas trop les réponses que lui font des russes qui sont allés voter à l’ambassade.
Glenn Diesen, spécialiste de la région eurasienne, fait une analyse intéressante.
On a vu beaucoup de photos de queue de russes allant voter présentées comme des manifs devant les ambassades russes, le truc typique pour les neuneus.
Bill Clinton, en son temps, avait un avis clair sur Poutine : on peut lui faire confiance, il ne ment pas et fait ce qu’il dit.
Navalny le principal opposant selon Wikipédia, n’aurait que 9% d’avis plutôt favorables d’après le Levada Center. Néanmoins, le principal opposant en Russie a toujours été et reste toujours le parti communiste qui tourne entre 10% et 20%, ayant subi l’effet Poutine dans ces dernières élections.
Et l’autre abruti au-dessus avec "sa tentative de s’en sortir avec son humour à deux balles est pitoyable
... mais rigolote ... rigolote à l’insu de son plein gré ... charlot,
va !" (citation d’un simplet anonyme du XXI)