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Accueil du site > Tribune Libre > Le problème n’est pas le coût du travail mais le coût du capital (...)

Le problème n’est pas le coût du travail mais le coût du capital !!

Le travail n’est pas un coût, il a un prix.

Le coût du Capital

 ?LE PROBLÈME N'EST PAS LE COÛT DU TRAVAIL MAIS LE COÛT DU CAPITAL

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Retrouvez l'émission complète sur ma chaîne YouTube  ?https://www.youtube.com/watch?v=60UYDOYID3Y&t=4203s

Publié par Adrien Quatennens sur vendredi 9 mars 2018

L’émission complète :

 

Tags : Economie Fiscalité Entreprises Travail Finance




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23 réactions à cet article    


  • 2 votes
    uefrexit 13 mars 2018 10:28

    Désolé, mais le coût du travail y est pour beaucoup.


    • 3 votes
      maQiavel maQiavel 13 mars 2018 10:46

      @uefrexit

      Dans une zone de libre échange  dans laquelle toute allusion au protectionnisme est renvoyée aux zeureslesplussombresdelistoire , certainement !


    • 5 votes
      Alren Alren 13 mars 2018 16:13

      @uefrexit

      C’est le travail qui fait la valeur du bien et du service. Sans travail il n’y a pas de bien ou de service. Cela n’a pas de sens de parler de "coût" !

      À la rigueur on pourrait parler de la PART du travail dans le prix facturé d’un bien ou d’un service, à côté de la part de l’impôt privé que représente le capital et de l’impôt public que représente la TVA.


    • 4 votes
      V_Parlier V_Parlier 13 mars 2018 20:42

      @maQiavel
      C’est d’ailleurs pour ça que tous les "FI" qui font du social sans aborder le libre échange (90% d’entre eux) ne font qu’enfumer le public avec des rêves improbables et des fausses quêtes.


    • 1 vote
      DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 14 mars 2018 04:57

      @uefrexit
      Tu répètes des choses qui dépasse ton entendement, je le crains ....
      Le mouton crée une SARL pour se faire tondre par le RSI et avoir une couverture médicale médiocre et une retraire de merde, par contre le patron paye et beaucoup... SAS is the solution ? ... çà C pour le "cout du salaire" du boss !

       

      Pour les employés, si tu payes tes employés avec des cacahuètes, attends toi à avoir un travail de singe ... Si tu donnes (pas vendre) une part de ton entreprise à tes employés, d’une ils accepteront d’avoir un bas salaire, de deux ils s’impliqueront + dans la croissance de leur boite car ils voudront manger des dividendes comme le patron ...

       

      En France, un ingénieur est payé 50K€ par mois alors qu’aux USA il est payé 200K€ ... va comprendre ? ... Au lieu de chercher à augmenter les salaires et recruter des talents, on cherche à baisser le salaires des ingénieur (mode CapGemini ou Atos) et détruire le CDI ...

      Parait que les ingénieurs Français sont le top mondial selon nos médias et nos politiciens ... à croire que les ingénieurs allemands, anglais, italiens, espagnols, ukrainiens, russes sont de la merde ... On payent mal nos ingénieurs et nous sommes pas les meilleurs ingénieurs du monde ...


    • 1 vote
      DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 14 mars 2018 05:27

      @uefrexit
      Tu dois surement être dans le paradigme ultra-libérale du BOSS qui se sacrifie pour sa boite et qui ne se paye pas durant 2 ans, jusqu’à ce que sa boite gagne vraiment de l’argent ... Conseil : Le boss d’une boite doit se payer avant tous le monde, il doit avoir un salaire confortable pour être libre du coté financier et se consacré à fond dans sa boite ... Consacré ou Sacrifié ? ^_^ lol mdr


    • 1 vote
      Croa Croa 14 mars 2018 10:41

      À V_Parlier,

      FAUX, la question du libre échange est un sujet très discuté à la Ø. La France Insoumise propose un « protectionnisme solidaire » (forme de protectionnisme partagé logique pour un économie relocalisée plus écologique.) 


    • 1 vote
      egos 13 mars 2018 13:56

      L’entretien de la classe politique aussi se situe au dessus de nos moyens, 

      dans un monde idéal, sans capital, quelle serait sa raison d’être ?

      • 3 votes
        Alren Alren 13 mars 2018 16:18

        @egos

        "L’entretien de la classe politique aussi se situe au-dessus de nos moyens, dans un monde idéal, sans capital, quelle serait sa raison d’être ?"

        La classe politique coûte cher mais ne grève pas l’économie comme le font les ultra-riches, des parasites sociaux dont on pourrait facilement se passer.

        Alors que les politiques élus démocratiquement seront toujours nécessaires pour voter les lois et les appliquer (pouvoir législatif et exécutif)


      • 1 vote
        V_Parlier V_Parlier 13 mars 2018 20:50

        @Alren
        La classe politique qui a permis le renforcement d’un tel système a, de ce fait, torpillé activement l’économie, bien plus que par ses éventuels avantages et fraudes. C’est en ce sens qu’elle est nuisible. Son rôle est finalement assez proche de celui de la plupart des "ultra-riches" (selon votre expression) qui, nous contents de prospérer, continuent de promouvoir activement une économie qui n’a pas besoin des gens, sauf quand ils sont consommateurs. (Donc il faut que ces gens soient à terme très riches pour assurer cette consommation...).


      • 1 vote
        coinfinger 13 mars 2018 14:11

        La maniére de poser le pb est déjà une embrouille . Ce qui distingue le Capital , depuis l’époque moderne ( révoluton industrielle , où méme agricole Anglaise , début 18e ) c’est sa généralisation dans la production , parce qu’alors il peut et c’est le but créer plus de travail donc de valeur ..
        Le capital financier et commerçant existaient bien avant , ( et méme productif mais pas généralisé ) mais n’étaient pas productifs , juste un moyen d’accroitre , les patrimoines , à ne pas confondre avec le Capital .
        Ce à quoi on assiste aujourd’hui , c’est le retour de ces dinosaures , une gigantesque régression historique et sociale . Maintenir la confusion , sous prétexte de socialisme , est une arnaque intellectuelle .


        • 6 votes
          maQiavel maQiavel 13 mars 2018 14:40

          Mon propos n’est pas ici de défendre quelque parti ou homme politique que ce soit, je suis abstentionniste et ma remarque est d’ordre générale.

          L’expression « cout du capital » n’a en soi aucun sens. Mais l’expression « cout du travail » non plus, ce sont des formules, des raccourcis rhétoriques qu’on ne peut comprendre que lorsqu’on embrasse certaines perspectives.

          Qu’entendent exactement ceux qui parlent du cout du capital ? Et bien ils parlent des dividendes qui ont explosé depuis les années 70 et qui à l’échelle macroéconomique  représentent un surcout considérable. Parce que là, on ne parle pas vraiment du boulanger du  quartier ou de la cousine Martine et de sa pâtisserie (qui sont certes les plus nombreux mais qui ne structurent pas l’économie mondialisée). Pour faire simple , c’est le cout de l’actionnariat. 


          • 2 votes
            DJL 93VIDEO DJL 93VIDEO 13 mars 2018 18:31

            G du mal à croire en la philanthropie des milliardaires.
            Regardez bien où va l’argent, suivez l’argent et vous comprendrez que çà revient d’une manière ou d’une autre dans les poches de ces milliardaires ... Un peu comme Billi Gates qui a acheter d’énorme quantité de vaccins pour l’Afrique, mais de l’autre coté il avait aussi acheté des actions de ces boites qui produisent des vaccins ... Quand les grosses commandes sont tombés, le cours des actions s’est envolé et C comme çà que Billi Gates est redevenu un gros milliardaire après avoir donné presque toute sa fortune à sa fondation.


            • 3 votes
              Eric_F 13 mars 2018 19:28

              On peut résumer simplement la situation en relevant qu’une part croissante du prix de vente va vers la rémunération du capital, alors que la part de rémunération du travail diminue. (source OCDE : "La part du travail dans le revenu national a globalement baissé dans la plupart des pays de l’OCDE3, sa valeur médiane étant passée de 66.1 % au début des années 90 à 61.7 % à la fin des années 2000")


              • 2 votes
                Pyrathome Pyrathome 13 mars 2018 20:19

                Le coût du travail dépend aussi du niveau de la monnaie, l’euro étant trop élevé de 20 % en France, mais jamais ce monsieur va venir vous en parler puisqu’ils ne veulent pas sortir de l’euro chez FI alors il vient parler du coût du capital ce qui revient au même, comme ça il évite d’évoquer une sortie de l’ue......

                • vote
                  Hijack ... Hijack ... 14 mars 2018 00:55

                  Le travail a certes un prix, mais il a un coût aussi ... et en France, ce coût dépasse les bornes, je le sais pour l’avoir vécu.


                  • 1 vote
                    Qirotatif Qirotatif 14 mars 2018 08:45

                    Le premier pb d’un gérant d’entreprise (ou même juste un Directeur de projet qui a des coûts à faire rentrer dans des cases souvent trop petites), ce sont les charges. Elles sont très élevées en France qui est n°1 mondial en terme de redistribution de richesses. C’est tout le pb du discours de la gauche française : en réalité nous sommes le pays où il y a le plus d’aides, à tel point qu’il est parfois plus intéressant de ne pas travailler et vivre de ces aides. Ces gens (en gal fonctionnaires) ne comprennent pas grand chose au monde du privé et doivent évacuer la question du train de vie de l’Etat. Par contre leur critique de la spéculation à outrance, la prédation des grandes entreprises (rentabilité extrême, défiscalisation, etc.) qui captent la richesse des PME est parfaitement justifiée. 


                    Le sujet qui n’est jamais abordé par les gauchistes est donc l’Etat fort*, obèse comme disent les libéraux et le coût qu’il implique pour ceux qui supportent le gros de l’imposition : c’est un tout, mais entre les hauts-fonctionnaires qui touchent plus de 15K/mois, une fonction publique pléthorique, des grandes entreprises d’Etat comme la SNCF où il y a plus de cadres que d’agents de maitrise, etc., même cette entreprise, France Télévision, avec des dizaines de directeurs, une boîte ultra mal gérée, que ce soit les subventions accordées à tire-larigot, etc. la dépense publique est juste aussi incohérente qu’elle ne plombe tout le monde. Pour payer tout cela, il faut de l’argent en permanence. On s’achemine une fois de plus vers la solution désastreuse avec la vente prochaine de ADP : tout ce qui rapporte de l’argent à l’Etat et qui est stratégique (les autoroutes, les infras en général) est bradé pour ne surtout rien toucher au fonctionnement de cet Etat impotent. Résultat, le discours du gauchiste se résume à fustiger le fait que qq nantis concentrent les richesses entre leurs mains. 



                    * qui est fort pour pourrir le Français moyen mais faible là où on l’attend : le régalien, la défense des intérêts des Français.

                    • 1 vote
                      Jean Keim Jean Keim 14 mars 2018 08:56

                      Le discours est grosso modo : soit on augmente les salaires mais avec le risque d’une diminution des profits (pour qui ?) avec le désir inavoué de plutôt les baisser pour augmenter encore plus les profits, soit on augmente les salaires et ainsi les gens pourront consommer plus et qu’importe si l’impact sur l’environnement est désastreux.

                      Jamais on ne remet en cause notre civilisation, nos modes de vie individualistes, l’opposition riches et pauvres, possédant et démunis.
                      Notre survie en tant qu’êtres humains dotés d’une conscience passe par une société solidaire et partageuse.
                      Nos activités économiques quel que soit le secteur où elles s’expriment sont prédatrices et dévastatrices, ceux qui mènent la danse sont pourtant également des habitants de la planète qu’ils ruinent, ils ont pour la plupart des enfants pour qui ils espèrent un avenir convenable sinon radieux et pourtant ils foncent pleins pots vers le mur qui va les anéantir, c’est incompréhensible, c’est le résultat d’une conscience étriquée, les circonvolutions de leur cortex doit avoir la forme d’un tiroir-caisse.

                      • vote
                        CoolDude 14 mars 2018 13:12

                        @Jean Keim

                        ...soit on augmente les salaires et ainsi les gens pourront consommer plus et qu’importe si l’impact sur l’environnement est désastreux.

                        Ben pourquoi ? On n’est pas obligé de consommer plus, on peut aussi consommer mieux comme du Bio Made In France par exemple !?

                        Ça s’appelle prendre les consommateurs pour des "cons", ce qui n’est pas tout à fait faux des fois.

                        PS : Augmenter les salaires crée de l’inflation qui fait perdre de la rentabilité sur les crédits bancaires. Un crédit à 2% par an avec un taux d’inflation de 2% par an => Rien à se mettre dans la popoche pour la banque.

                        C’est un des problèmes car c’est évidement multifactoriel. La croissance doit toujours être positive si on ne veut pas voir la système économique et financier se casser la gueule en toute beauté - C’est le système de l’argent dette.

                        Un autre des problèmes, c’est que les riches capitalistes ont des rendements très, voir trop supérieur à la croissance qui prive à l’économie réelle d’une masse monétaire importante. C’est le problème de inégalité de croissance qui diverge de plus en plus au lieu de convergé... Jusqu’à arriver à des consommateurs qui ne peuvent plus consommer et financer se qui ne consomme rien. Personnellement je vois cela comme des trous noirs monétaire. De l’argent rentre, mais ne sort plus jamais. Une sorte de destruction monétaire.

                        De plus, nous sommes dans un cycle de désendettement.

                        Etc...

                        Solution, changer de modèle monétaire. Mais je ne suis pas sur que les banques soientt d’accord !

                        Là, ce qu’il propose, c’est d’aller chercher de l’argent à moindre coup là ou il y en a ! C’est déjà un premier pas.


                      • vote
                        Lucadeparis Lucadeparis 14 mars 2018 09:35

                        C’est parce qu’il a des coûts (désagréments pour le travailleur) qu’il doit avoir un prix internalisant ses coûts.

                        "De l’or à l’euro, de l’euro à l’horo : plaidoyer pour une monnaie et une finance travaillistes" : https://www.agoravox.fr/actualites/economie/article/de-l-or-a-l-euro-de-l-euro-a-l-101002


                        • vote
                          coinfinger 14 mars 2018 12:16

                          Le probléme n’est pas cout du travail /cout du capital , surtout en cadre national comme conditionné à le penser . C’est un probléme global , international . Parce que le travail a un cout certes mais aussi rapporte plus , et d’autant plus qu’il est élévé en période de croissance globale , et plus ou moins selon les attidutes des "nations" . Or la croissance globale n’existe plus . Il faudrait qu’ une "nation " , importante , leader , se sacrifie d’abord , ce fut le cas , longtemps pour les US , ce n’est plus possible pour eux , trop endettés . Pour la Chine , ce n’est pas possible , elle perdrait aussi sec , ses éxcédents , pourquoi se sacrifierait elle pour un occident repu . Dans ce cas parvenu maintes fois c’est la guerre qui décide .Toutefois , mieux vaudrait qu’elle ne soit pas nucléaire , que celà reste dissuasif . Faut espérer qu’enfin la raison l’emporte pour un consensus ordonné , fut il contraint , par les autres armes , et le profit espéré .


                          • vote
                            jesaispas 15 mars 2018 00:55

                            merci Orwell
                            Alors tout est rapport de force, Karl avait raison ?
                            Après on efface tout avec une bonne guerre, bon avec le nucléaire on efface aussi la planète, il y a un hic, merde les cycles s’est fini, plus rien n’est prédictible.
                            On est devant un mur, on s’irradie tous dans la bonne humeur, bon enfant, ou on fait une pause, et l’on réfléchit.
                            Pb est que avec 8 milliards de bouches a nourrir, plus ou moins, la touche pause n’est pas une option, alora ?
                            Alors je ne suis ni mage, ni magicien, ni prophète, mais un mec disait ’en voulant sauver votre vie vous la perdre’, c’est parabolique et extrapolable, ils faut changer notre psyché, ou façon de penser le monde et notre relation a l’autre, la dialectique est plutôt elliptique car elle tourne en rond, alors il faut l aplatir, c’est toujours une question de forme., avec la particule bien sur ...



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