Non, l’Union soviétique ne s’est pas effondrée !
La « plus grande catastrophe géopolitique du XXe siècle » d’après Vladimir Poutine, ce qu’on appelle ici « la chute » ou « l’effondrement de l’URSS ». Est-ce bien le terme qui convient ? Cette vidéo veut démontrer que non, le terme effondrement dissimule la véritable nature du processus historique qui a amené à la fin de l’URSS.
Malgré cet événement, la propagande anti-communiste coutumière sous la Guerre froide n’a pas cessé, et s'est même s’amplifiée. Entre la dérive dictatoriale du capitalisme et l'affrontement programmé entre les États-Unis et la Chine, elle a certainement de beaux jours devant elle.
Tags : Histoire Communisme
55 réactions à cet article
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Ce qui s’est effondré en Russie en 1991 c’est le Régime soviétique dégradation dès l’origine par Lénine puis Staline de l’idéal communisme. Les idées de Marx et Engels visaient au départ les Allemands et non les Russes. Que Gorbatchev (avec son épouse) ait participé grandement à liquider ce Régime inadapté incapable de se réformer en profondeur, et en court sursi avec Andropov, a montré simplement qu’il était arrivé au bout du rouleau et très facilement destructible.
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@JPAGO
C’est des questions compliquées, plus compliquées que ce qui tient en quelques lignes dans un commentaire.L’argument selon lequel le système soviétique aurait « dégradé » l’idéal communiste de Marx est une lecture réductrice. Les idées de Marx et Engels n’étaient pas des recettes rigides, mais des cadres théoriques à adapter aux réalités des pays concernés. La Russie de 1921, une économie agraire et une société féodale en transition, ravagée par la guerre civile, n’était pas comparable à l’Allemagne industrialisée à laquelle Marx faisait référence.
Lénine a justement adapté le marxisme aux circonstances russes, comprenant que la Révolution devait se construire dans un contexte où le prolétariat industriel était minoritaire. Je ne me prononce pas sur le cas de Staline, parce qu’il faut dans tous les cas abandonner l’idée d’une réponse courte et définitive. Et ce qui suit d’autant plus, jusqu’à la fin du système...
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@Opposition contrôlée La tentative d’implantation communiste en Allemagne a été sauvagement liquidée par le pouvoir militaire.Lénine a été introduit en Russie conduit par des officiers du Renseignement militaire Allemand : Tout un programme à accomplir le premier de détruire le Régime tsariste de Nicolas II et la fin des Romanov, par autodestruction de l’Armée Impériale. Et comme dans toutes ces Révolutions emmerge un souvent psychopathe qui prend la main et liquide massivement tous ceux qui oseraient contester son autorité. En Russie ce fut Staline, au début apprenti religieux et plus tard comme les deux font la paire pour le plus grand malheur des Peuples l’autre Psychopathe Hitler.
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@Opposition contrôlée
Marx est l’opium du peuple,
Dieu agit autrement :
Un nouveau Saint Pierre
https://www.madredelleucaristia.it/root/fra/vesmar/vesmar.phpUn nouveau Saint Paul
https://www.youtube.com/watch?v=0uoHrnWdeaEUn nouvel avortement, la pression est trop forte chez les zélus pour parler de Dieu... :)
https://youtu.be/GW7peS_Z8bE -
@christophe nicolas
"Il faut rendre à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu", ne mélangez donc pas tout. -
J ai écoute 4 minutes !
Merci
Je me doutais un peu de ton orientation mais a ce niveau de propagande je n ai pas eu l intérêt d ecouter jusqu a la fin .
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L’union soviétique s’est effondrée, ce qui veut dire la corruption qui la minait, son internationalisme en conflit avec celui de l’Empire Yanqui, sa négation de l’apport privé et de l’existence du marché. Néanmoins, la Russie, qui a hérité de la majeure partie de la sphère soviétique, a su + ou — faire une synthèse de l’économie de marché et de l’économie planifiée. Il en résulte une démocratie centralisée, un pouvoir central fort, basé essentiellement sur l’efficacité (et non le profit, je parle du pouvoir central). Les acquis du socialisme tels que gratuité de l’éducation et de la santé, logements sociaux et retraites n’ont pas été éradiqués et sont toujours en fonctions, probablement grâce à l’intelligence de Poutine. De même, les secteurs d’activités stratégiques sont toujours du domaine de l’État comme l’énergie, la finance, le militaire ou les ressources naturelles. La France les a vendus simplement parce qu’elle n’a plus un rond.
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@juanyves
Tu dois pas être très bien renseigné sur le système social actuel de la Russie... -
@Opposition contrôlée
Si t’es mieux renseigné, fais en profiter les autres. Au lieu d’attaquer le messager, centre-toi sur le message, tu feras preuve d’intelligence. -
@juanyves
Ce serait trop long, mais disons que le système social est rudimentaire. Il y a aussi des grandes inégalités selon les territoires, en particulier sur la qualité des soins dans la santé publique. -
@Opposition contrôlée
Bof, rien de concret sinon des généralités et "trop long = trop facile" et "rudimentaire" a besoin d’être explicité : est-ce niveau cro-magnon, bistouri, tisanes ou comme ailleurs avec des hôpitaux et des toubibs ? C’est un état fédéral d’une part et chaque état gère son système de santé. Aucun état, dont la France, ne souffre pas d’inégalité sur son territoire (il y a des endroits sans toubib) et question système de santé, tu devrais comparer France vs Russie, Angleterre vs Russie et tu serais certainement très surpris. D’autre part aucun système de santé n’a atteint son but : empêcher les gens de mourir. La Russie est un pays immense avec des distances entre villages ou hameaux énormes, d’où des problèmes logistiques énormes à certains endroits.
Néanmoins, beaucoup de villes n’ont pas de problèmes de santé dû à la saleté des trottoirs, métros, poubelles, punaises de lit, etc... L’alcoolisme, problème principal, est en diminution. Les soins sont gratuits. Le chômage (réel) est de l’ordre de 3-4%. Ce n’est pas le paradis et ce n’est pas l’enfer. Il semble bien que la Russie va vers mieux et il y en a d’autres qui vont vers pire et ça c’est la réalité :
l’an 2000 vs l’an 2024 -
@juanyves
la Russie va vers mieux et il y en a d’autres qui vont vers pire et ça c’est la réalité :l’an 2000 vs l’an 2024
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@Opposition contrôlée
Ça sert aussi les images -
La fin de l’URSS ?
Beria l’avait sentie venir, dès 1950 : si le système ne change pas radicalement, c’est fichu pensait-il. Il avait engagé des réformes entre la mort de Staline et son exécution.
C’est la guerre en Afghanistan !
Non, c’est la guerre des étoiles à Reagan !!
Todd et Mme d’Encausse, pour des raisons différentes
Bof, si Andropov avait survécu …
Non-non c’est Gorbatchev et ses complices, la corruption !!!
La seule chose sûre, c’est que l’URSS n’existe plus.
De toutes les explications qui ont été avancées, aucune n’est à elle seule réellement convaincante. C’est peut-être l’atroce Beria qui a vu le plus clair.
L’analyse proposée par la vidéo est peut-être l’une des plus faibles que j’aie jamais entendues. L’Empire soviétique a commencé à craquer bien avant Gorbatchev. Se souvenir de l’Europe de l’Est des années 60/70.
Un simple constat : le soviétisme fonctionnait dans un climat de grande tension (parfois de terreur), d’avenir radieux, de guerre idéologique, de répression et de guerre tout court (39/45), et a commencé à décliner avec la déstalinisation et l’embourgeoisement de l’élite (du parti).
Mon avis : c’est un effondrement idéologico/politico/spirituel. Le moteur du système, la construction très mobilisatrice et enthousiasmante d’un monde nouveau qui devait surpasser le vieux monde occidental (Kroutchev), s’est progressivement étouffé pour finalement caler. Les gens n’avaient plus la foi, n’y croyaient plus. Ils faisaient semblant d’y croire en façade, mais n’y croyaient plus intérieurement.
Ceci dit, le communisme au sens de suppression de la propriété privée et de citoyen très sévèrement encadré au plan idéologique et social (sociétal) a peut-être encore un grand avenir. Quelques indices annoncent ce genre d’évolution (chez nous et ailleurs).
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@basile lorsque Gorbatchev arriva au pouvoir il tenta de sauver le systeme communiste en lançant la " La perestroika " la reconstruction .
Mais l URSS se fissurait deja et les pays satellites telle la Pologne .
Un premier vacillement avec Lech Walessa dont le pape polonais le soutenait .
In n y eut pas de repression sanglante comme en HongrieLe contexte avait change
Quant a Lenine , c est lui instaura la dictature du prolétariat .
L auteur est trop endoctriné , et sa video n a aucun intérêt
Quant à cotre conclusion , si le communisme avait un systeme economique viable , on l aurait su .
Et ce systeme ne peut etre instaure pas la force , guerre civile en Russie d alors
Pres de millions de morts ,
La catastrophe de Tchernobyl est l exemple de ce que ce systeme pouvait produire de mieux .
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@basile
L’Empire soviétique a commencé à craquer bien avant Gorbatchev
le soviétisme fonctionnait dans un climat de grande tension (parfois de terreur)
au sens de suppression de la propriété privée
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@mmbbb
La catastrophe de Tchernobyl est l exemple de ce que ce systeme pouvait produire de mieux .Vous êtes dans le binaire : tout bon ou tout mauvais. C’est simple et confortable mais la réalité, c’est un peu (beaucoup) autrement.
Un seul constat met la puce à l’oreille : l’Empire russe est en 1917 l’Empire de l’analphabétisme. 80 % ? Je n’ai plus le chiffre en tête mais il est très élevé.
20 ans plus tard, à la veille de la guerre, l’analphabétisme a été quasiment éradiqué. Vive l’URSS ? Bah non, elle est morte. Mais elle a instruit des centaines de millions d’humains et en a libéré des centaines de millions d’autres (décolonisation).
Bilan ? -
@Opposition contrôlée
Personne n’évoque ce genre de choses,Votre aveuglement est touchant.
La société soviétique des années 20/40 est une société en mouvement violent, en bouleversement (j’évoquais l’éradication de l’analphabétisme). Cela n’est possible qu’avec une main de fer, et la mise de côté (euphémisme) de tous ceux qui ne sont pas dans le mouvement.
En 41/45, les tire au cul étaient froidement exécutés, immédiatement après visite médicale (souvent un médecin femme).
Puis vient une longue période durant laquelle le système perd sa dynamique, la tension diminue, mais le souvenir des années de bouleversements subsiste avec ses aspects négatifs (liberté très mesurée), les aspects positifs s’étant évanouis. Décadence du système. -
@basile
Votre aveuglement est touchant.
"Les gens n’avaient plus la foi, n’y croyaient plus."
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@Opposition contrôlée
que la destruction du système soviétique est le fait d’une "révolution de palais" et non pas d’un mouvement de la sociétéEffectivement, je ne puis "comprendre" puisque je pense exactement le contraire.
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@Opposition contrôlée
avaient la conscience de vivre dans un système "exotique" ou "expérimental" par rapport à une normalité capitaliste, qu’ils étaient habités d’une sorte de conscience historique de la singularité de leur condition...
Il se trouve que je suis en train de lire "Le Monde d’Hier" de Stefan Zweig.
L’auteur a fait son voyage en URSS, façon Gide, mais avec une vision un peu différente des choses.
Il rapporte justement que tous ses interlocuteurs "étaient habités d’une sorte de conscience historique de la singularité de leur condition" dont ils étaient très fiers. -
@basile
A-t-il déjà trouvé la lettre dans sa poche, là où vous en êtes de la lecture ? -
@Opposition contrôlée
La propriété privée des moyens de production, pas la propriété privée. Même remarque que plus haut.La Chine, c’est comment ?
Moyens de production ? Le reste ? -
@Opposition contrôlée
A-t-il déjà trouvé la lettre dans sa poche, là où vous en êtes de la lecture ?Oui, et cette lettre me donne raison.
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@basile
Oui, et cette lettre me donne raison.
Vous vous contredisez. Certainement, jusqu’en 1945 et encore un peu après, il était difficile de ne pas avoir conscience de vivre dans une période de bouleversement historique. Cela dit vous pensez bien que les rencontres de Zweig n’étaient pas le fruit du hasard... Bref, je ne veux pas fuir la discussion mais je sens que ça ne vas pas aller bien loin, comme c’est souvent le cas sur ce genre de sujet. -
@basile
La Chine, c’est comment ?
Secteurs stratégique -> monopole d’état.
Le reste, selon les secteurs, mixte privé/état. Le 100% privé ne concerne que le "superflu".
Les terres agricoles sont détenus en commun par les résidents locaux et sous supervision de l’état. -
@mmbbb La Catastrophe de Tchernobyl est effectivement d’une certaine façon symbolique car au départ il s’agissait d’une manip expérimentale de non refroidissement provoqué montée par un grand scientifique de l’Académie des Sciences d’URSS avec des calculs parfaits MAIS qui n’avait pas tenu compte de l’ENORME importance du facteur Humain surtout dans une situation critique ni de petits détails de physiques difficiles à prévoir mais qui peuvent faire tourner à la catastrophe. Cette grande tête pensante n’a jamais reconnu son immense responsabilité. L’homme ne se résume pas à quelques équations.
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@Opposition contrôlée
Secteurs stratégique -> monopole d’état.Donc toute la quincaillerie qui nous inonde, les Aliexpress, Jack Ma, Huawei, les puces ... c’est pas stratégique ?
C’est pourtant là-dessus que s’excitent les Yankees, en plus du militaire. -
@Opposition contrôlée
je sens que ça ne vas pas aller bien loin, comme c’est souvent le cas sur ce genre de sujet.On peut en rester là, pas de problème.
Mais je n’oublie pas la mère d’un bon copain qui m’a raconté l’ambiance en classe fin des années 30 en URSS. C’était vraiment spécial, "tous ensemble en avant", sauf quelques gamins suspects du fait de leur famille, de leurs parents.
Cet état d’esprit s’est atténué par la suite, sans disparaître. -
@basile
Secteurs stratégiques : énergie (pétrole, gaz, charbon, réseau électrique), telecoms nationaux, banque (les "Big Four"), assurance, épargne, transports, médias, défense et santé. -
@basile
Fin des années 30 enFrance, c’était le Front Populaire et la préparation de la WW2 avec l’antisémitisme raciste extrême : certaines races porteuses du virus de la variole, certaines races amenant une dégénérescence de l’espèce humaine.
Aujourd’hui où en est-on avec 6 mois de taule pour un bisou volé dans le cou, le mensonge comme mode d’expression : la décadence. -
@juanyves
le mensonge comme mode d’expression : la décadence.
vrai : les religions théistes ont donné le ton (du mensonge comme fondement sacralisé), le reste ne fait que suivre la tendance initiée.
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@basile mon propos est cout et il peut paraitre binaire .
Tcherno est l exemple de ce que la bureaucratie soviétique avait pu produire
Bilan au prix de million de morts !
Etange votre hémiplégie cerebrale .
Eviter de traiter les autres de binaire.
Deux pays dont le taux d alphabétisation faible et une forte population agraire avec des techniques agraires anciennes et un systeme social moyen ageux le servage et La Chine et la Russie . Le communisme s est installé mais les conditions furent differentes .
Et ce fut un éléments de propagande des communistes et non sans raison .
C est Deng Xiao Ping qui a entrepris la ’ NEP Chinoise " mais en preservant le regime autoritaire .
C est lui qui fut l instigateur " du grand bon en avant " de l economie chinoise .
Ce les differents régilmes politiques de l URRS n ont pu réaliser .
Et à noter
La parution de l Archipel du Goulag de l écrivain audacieux et surtout courageux A Soljenistsyne vint
mettre un terme a ces illusions romantiques de la revolution .
Cet essai a tire un bilan définitif . -
@JPAGO cette technologie avait abandonnée par les occidentaux .
De surcroit en France quand EDF intervient sur un réacteur , ce dernier est au repos pendant six mois et personne ne peut volontairement le remettre en fonction et le forcer .
Il est aussi vrai que la securite etait lacunaire .
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@mmbbb
La parution de l Archipel du Goulag de l écrivain audacieux et surtout courageux A SoljenistsyneLa rupture Soljenitsyne, c’est surtout chez nous, avec Pivot et les nouveaux philosophes. A noter que l’Archipel a été imprimé pour la 1ère fois en langue russe à Paris, dans l’imprimerie de la famille d’un certain René Goscinny. C’est à la suite de ça que notre université 100% marxiste est devenue 100% anti-marxiste (sourire).
Chez les Soviétiques, il n’y eut pas vraiment de rupture Soljenitsyne, à notre grand regret (pas de Nuremberg à Moscou). Et cela reste un peu mystérieux : le souvenir que gardent les Russes de la période soviétique, de la répression stalinienne. La guerre — un cataclysme — a peut-être tout effacé. On a du mal à les comprendre. -
@basile Cela peut s expliquer par ceci !
La Russie a toujours ete une monarchie dont le droit n a pas évolué ou lentement contrairement à nos pays europeens ou les constitutions ont garantie une certaine indépendance de la justice .
Les pays europeens sont des pays " de vieux droits " .
Il est aussi à noter que l avènement du communisme est une cause directe de la chute des empires liberaux apres la guerre de 14 18 .
Le suicide des nations . et une gestion déplorable du monarque Nicolas II
Mais il engagea des réformes Stolypine et ses réformes agraires
Quant aux universitaires , que dire rien sinon que ce sont des agités et Mao l avait tres bien compris puisqu il s appuya sur les universitaires afin d imposer sa revolution culturelle
Et revolution culturelle pris comme un modèle par nos intellectuels et ces intellectuels qui n ont qu admis qu apres la chute la faillite de ce systeme .
Sarte fut un philosophe engagé et aveugle comme tant d autres .
Et cette chute du mur de Berlin n avait pas signe la fin de l histoire mais une nouvelle histoire de l Europe puisqu apres la dislocation de l URRS , la Russie voulait un rapprochement avec l Europe .
Mais comme cette Europe tant vendue est faible et inféodé aux USA nous avons la guerre et ces mêmes intellos font sciemment l impasse sur cette période et la génèse de cette guerre
BHL est a exécré vraiment , et que la fin des intellos français adviennent qu l on change d air et d ere .
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@mmbbb
BHL est a exécré vraiment , et que la fin des intellos français adviennent qu l on change d air et d ere .Ils sont morts.
BHL a déjà fait son autoportrait : Ce grand cadavre à la renverse.
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@mmbbb
un systeme social moyen ageux le servage et La Chine et la Russie
1861, l’année au cours de laquelle éclate la guerre de Sécession aux USA. Et peut-être est-il utile de rappeler que l’esclavage n’y a été aboli par Lincoln qu’en 1865.
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La « chute » du communisme, a été voulue par les clans mondialistes.
Yann Moncomble (1953-1990), dans son ouvage « La Trilatérale et les secrets du mondialisme » nous faisait remarquer « les étranges alliances entre le C.F.R. (c’est-à-dire le « Council on Foreign Relations ou Institut américain pour les Affaires Internationales, véritable « gouvernement de l’ombre » des États-Unis), la « Commission Trilatérale » (fondée en 1973 par David Rockefeller et Zbigniew Brzezinsky) et les dirigeants du Kremlin... mais, ajoute-t-il, le public doit ignorer cet état de fait. Il faut qu’il continue de croire à l’opposition farouche Communisme-Capitalisme. ».
À la fin des années 90, l’ex-président et co-fondateur de la « Trilatérale », Zbigniew Brzezinsky, déclarait à la revue Encounter : « un moment arrivera où il sera possible d’exercer une surveillance sur chacun des citoyens du monde entier » (Proximo Milenio, n°42, décembre 1996, pp. 56-60).
Né à Varsovie en 1928 (mort en 2017) et diplômé de Harvard, Zbigniew Brzezinsky devint bien vite une créature de David Rockefeller. Théoricien et architecte de la « Commission Trilatérale », il fut aussi l’un des artisans principaux de la révolution informatique et l’« instructeur » du personnage Jimmy Carter dont, après son élection à la présidence des USA, il fut un proche conseiller. Membre des plus fameux cercles mondialistes, il était présent au Bilderberg, au CFR, à l’Institut Atlantique, à l’Institut International d’Etudes Stratégiques, à l’Institut Aspen, aux Conférences permanentes bilatérales russo-américaines de Darmouth, et à l’Institut des Affaires Internationales italien comme personnage de confiance des potentats d’Outre-Atlantique. Il agissait en étroite liaison avec son coreligionnaire Henry Kissinger à l’intérieur d’un cercle exclusif de la Georgetown University, l’un des grands Think-Tank de l’Establishment, le groupe de pouvoir américain.
Le groupe de Darmouth naquit pratiquement en même temps que la Pugwash (1960), association réservée aux cercles scientifiques qui, tous les deux ans, réunissait, à portes closes, l’élite de Wall Street et des Instituts de Recherche Soviétiques. La Pugwash fut créée à l’initiative du milliardaire canadien Cyrus Eaton à Pugwash (Nouvelle-Ecosse). Eaton était prix Lénine pour la paix et proche parent de Herman Joseph Eaton, ex-président du B’nai B’rith. On y retrouvera entre autres Albert Einstein, « membre fondateur de la Société des amis de la Russie bolchévique » et Georgij Arkadevic Arbatov, ancien conseiller de Gorbatchev, lié aux Rockefeller. Robert Charroux, dans son livre « L’énigme des Andes », au paragraphe intitulé « La conjuration de Pugwash », rappelle que « Le plus coupable des criminels de guerre fut sans doute Albert Einstein qui convainquit les présidents des USA Roosevelt et Truman de faire usage de la puissance nucléaire contre le Japon et, au besoin, contre l’Allemagne. ».
Quant au groupe de Darmouth, il avait comme but la recherche des moyens de convergence dans le domaine politique, diplomatique, économique et universitaire entre Américains et Soviétiques ; à partir de 1964 les Conférences étaient sponsorisées par le Groupe Rockefeller.
Le groupe a perdu de l’importance après la « chute » du communisme.
Précisons au sujet d’Harry Truman, cet ancien vice-président devenu président des USA après le décès de Franklin Roosevelt en avril 1945, qu’il est celui qui ordonna la pulvérisation d’Hiroshima par une bombe à l’uranium le 6 août 1945, et qui, exultant à l’annonce du résultat, s’exclama : « This is the greatest thing in history ! ». Ce « psychopathe » récidiva trois jours plus tard sur Nagasaki, avec une bombe au plutonium « pour comparer ». Harry Truman était une sorte de « docteur Frankenstein » qui, après avoir déclenché la terreur nucléaire, enfanta la monstrueuse CIA ; pour « info », c’est aussi le « zélote »… disons plutôt zélé président américain qui soutint et reconnut l’État d’Israël à peine dix minutes après sa proclamation, le 15 mai 1948.
NB : À propos du B’nai B’rith (association fraternelle juive fondée en 1843), qui signifie, en langue hébreu, « les fils de l’Alliance », le journal français « Tribune Juive » du 23 décembre 1985, précise que le B’nai B’rith « est en outre représenté au sein de la plus grande partie des organisations internationales comme l’ONU, l’UNESCO (le Conseil de l’Europe, avec fonctions consultatives), en tant qu’organisation non gouvernementale et elle a même ses entrées au Vatican. Son influence pousse les candidats à la présidence des États-Unis à se présenter devant lui (le B’nai B’rith) avant chaque élection. ». René Guénon, lui, écrit (Etudes sur la Franc-maçonnerie et le Compagnonnage) que le B’nai B’rith « n’a rien de maçonnique, contrairement à l’opinion répandue dans certains milieux ; peut-être faudrait-il seulement ajouter qu’il vise quelque peu à imiter la Maçonnerie (l’emploi du mot « Loges », notamment, en est un indice), comme toutes les organisations « fraternelles » d’origine américaine. ».
Rappelons que le nom « British » qui est composé de « berith » ou « b’rith », alliance, et « ish », homme ou peuple, signifie « le peuple de l’Alliance ». Aussi, le terme « British-Israël » était une croyance répandue du temps d’Élisabeth 1ère d’Angleterre, que les Anglo-Saxons seraient les descendants des dix « tribus perdues » d’Israël, donc les véritables israélites (supercherie déjà tentée au Ier siècle de notre ère).
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