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Révolution Trump : purge et transformation radicale du monde en cours | La Matinale GPTV

Le 13 février à 7h, Oskar Freysinger, Christian Gérondeau et Lucien Cerise sont les invités de La Matinale animée par Nicolas Stoquer et Raphaël Besliu en direct sur Géopolitique Profonde.

Oskar Freysinger est un homme politique suisse, ancien vice-président de l’UDC (Union Démocratique du Centre) et ex-élu au parlement suisse. Il a également exercé la fonction de Secrétaire d’État. Aujourd’hui, il se consacre à l’écriture, la traduction et partage ses analyses en tant que chroniqueur. Son dernier ouvrage est Animalia, aux éditions Serena.

Christian Gérondeau, ingénieur polytechnicien, a été un acteur clé de la sécurité routière en France et un expert des transports. Auteur de plusieurs ouvrages sur l’environnement, il remet en question le consensus sur le climat. Son dernier livre, Climat : Pourquoi Trump a raison… (Éditions L’Artilleur), critique les politiques européennes de réduction des émissions de CO₂.

Lucien Cerise est un auteur français, docteur en philosophie et spécialiste de l’ingénierie sociale. Il a publié plusieurs ouvrages dont « Ukraine : La guerre hybride de l’OTAN » .

Retrouvez la revue de presse de Nicolas Stoquer à 7h, Oskar Freysinger à 7h30, Christian Gérondeau à 8h et Lucien Cerise à 9h.

La remise en question du dogme climatique

Le récit dominant du réchauffement climatique s’effondre sous le poids de ses contradictions. Les données manipulées, les modèles alarmistes déconnectés du réel et la censure des scientifiques dissidents révèlent une mécanique idéologique plutôt qu’une science rigoureuse. Derrière la panique climatique, un agenda politique se dessine : contrôle social, restrictions économiques et soumission des peuples à une gouvernance technocratique. Ceux qui osent défier ce narratif, à l’image de Trump, subissent une diabolisation systématique. Mais la résistance s’organise, et le vent tourne.

Les citoyens prennent conscience que la crise climatique sert d’outil pour imposer une société de surveillance et d’austérité forcée. L’Europe, en première ligne de cette croisade verte, s’enfonce dans une récession autodestructrice, pendant que les élites accumulent profits et pouvoir. La vérité éclate : loin d’être une nécessité, la transition énergétique est un instrument de domination.

Trump face aux néocons et à la guerre culturelle

Trump incarne une rupture totale avec l’impérialisme néoconservateur et l’idéologie woke qui gangrène l’Occident. En dynamitant les codes de la politique traditionnelle, il a révélé la collusion entre élites globalistes et appareils d’État profonds. Son retour en force annonce une revanche contre ceux qui ont détourné la démocratie au profit d’une caste transnationale.

Sa révolution ne se limite pas aux États-Unis : elle inspire une vague de rejet du politiquement correct et des dérives totalitaires. L’Europe vacille sous le poids des contestations, de la résistance aux délires LGBT+ en passant par le refus de l’effacement des identités nationales. La gauche culturelle, autrefois dominante, voit son emprise s’éroder face à une population qui refuse la soumission idéologique. Trump a ouvert une brèche, et le combat ne fait que commencer.

Ukraine, Proche-Orient et transhumanisme : vers une recomposition mondiale

Le conflit ukrainien révèle l’impasse du jusqu’au-boutisme néocon. L’échec des sanctions contre la Russie, l’effondrement de l’armée ukrainienne et le retour du réalisme diplomatique confirment la nécessité d’une paix négociée. L’Occident perd son monopole narratif, et la multipolarité s’impose comme la nouvelle norme.

Au Proche-Orient, la situation reste explosive. Israël poursuit son agenda expansionniste avec la complicité des élites occidentales, tandis que l’Iran et ses alliés renforcent leur influence. Le chaos profite aux marchands d’armes et aux stratèges du désordre permanent.

Dans l’ombre, la menace transhumaniste avance à grands pas. Les investissements massifs dans l’IA et la biotechnologie préparent un avenir où l’homme sera transformé en produit contrôlé par les multinationales. Loin d’être une simple avancée technologique, cette révolution marque le début d’une ère où l’humanité elle-même risque d’être redéfinie. Face à ces défis, seule une lucidité totale peut éviter le pire.

Brisez la propagande et découvrez les vérités interdites avec votre revue mensuelle de Géopolitique Profonde :

Revue géopolitique profonde février 2025

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https://geopolitique-profonde.com

Tags : Politique Climat Donald Trump Wokisme




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    berry 15 février 10:42

    La révolution conservatrice de Trump a été préparée depuis des années.

    "Ils ne se sont jamais préparés à des algorithmes capables de tout cartographier. Au personnel prépositionné partout. A un président qui compte chaque semaine comme si c’était la dernière." Vice-président JD Vance


    "Si vous vous demandez depuis 2016 comment le blob et le Parti démocrate ont pu s’aligner de manière aussi exquise dans leurs opérations visant à détruire le populisme (incarné par M. Trump) et à ancrer définitivement le pouvoir du parti unique en Amérique pour l’éternité, c’est parce qu’une source inépuisable d’argent du contribuable a été déversée dans d’innombrables organisations non gouvernementales, créant ainsi une fonction publique fantôme de militants du Parti démocrate qui se fondait parfaitement dans les grandes agences chargées de l’élaboration de la politique.

    L’argent a été blanchi à travers de multiples couches de ces organisations et de leurs sous-organisations pour financer une « révolution de couleur » en cours aux États-Unis – guerre juridique, fraude électorale, propagande, censure, annulation de carrière, baise médicale, frontières ouvertes et autres stratagèmes totalitaires – tout en enrichissant les acteurs politiques de toutes ces multiples couches, des membres du Congrès et sénateurs multimillionnaires aux milliers de fonctionnaires d’ONG gagnant des salaires à six chiffres, en passant par les escrocs de rue comme Patrisse Cullors de Black Lives Matter et le raciste « antiraciste » Ibram X. Kendi et son Centre de recherche antiraciste de 50 millions de dollars à l’université de Boston (récemment supprimé) – et, bien sûr, en fin de compte, l’ancien président Potemkine « Joe Biden » et sa famille.

    C’est tout cet argent qui a conduit à huit années de folie sponsorisée. Principalement, il a permis au Parti démocrate de maintenir fermement les mains sur les leviers du pouvoir afin que rien ne puisse être fait contre les insultes et les blessures qu’ils infligeaient à notre pays. Est-ce un mystère que personne n’ait été poursuivi pour avoir mis le feu aux villes en 2020, pour avoir créé par magie des millions de votes « Joe Biden » supplémentaires sortis de nulle part cette année-là, pour avoir mis en place la machine à pots-de-vin entre l’Ukraine et le Congrès, ou pour avoir forcé des millions de personnes à recevoir un vaccin de mauvaise qualité ?

    Pam Bondi va être très occupée. Le DOGE a mis au jour une opération de racket gouvernemental dont le scandale de l’USAID n’est que l’un des rouages d’une colossale machinerie d’escroquerie. Ce que le public, y compris vous, n’apprécie peut-être pas, c’est l’ampleur de la planification de l’action de la DOGE au cours de l’année écoulée et l’exhaustivité du travail de ses centaines d’informaticiens (et pas seulement de six jeunes prodiges), qui ont mis à nu les circuits de l’argent à partir d’ordinateurs gouvernementaux auparavant impénétrables. Leurs algorithmes ont percé les pare-feu, révélant des décennies de fraude et de tromperie.

    Les membres du cabinet de M. Trump ont commencé à démanteler la machine en se débarrassant des employés qui l’ont mise en place et qui ont travaillé pour elle. Jeudi, le secrétaire d’État Rubio a licencié tous les employés de l’USAID, à l’exception de 300 d’entre eux sur un total de 10 000. Le directeur de la CIA, M. Ratcliffe, a proposé à l’ensemble du personnel de l’agence une option de « démission différée » qui leur permettra de se retirer tout en continuant à percevoir leurs salaires jusqu’en septembre. Il faut s’attendre à des licenciements purs et simples. Le procureur général adjoint par intérim Emil Bove a ordonné au directeur par intérim du FBI de mettre fin aux fonctions de huit hauts fonctionnaires du FBI et a demandé que soient réexaminées jusqu’à 5 000 personnes impliquées dans des enquêtes J-6 (y compris, vraisemblablement, les agents qui se sont livrés à des déploiements abusifs d’équipes SWAT).

    De nombreux procès ont été intentés par des avocats proches des blobs pour faire cesser tout cela. Mais l’un des gros problèmes pour eux est que leurs gigantesques frais juridiques – des centaines de dollars par heure au compteur multipliés par x centaines d’avocats – étaient auparavant payés par les mêmes ONG qui sont en train de se faire fermer. Vous voyez donc peut-être exactement comment ces leviers de pouvoir ont fonctionné. L’argent devra venir d’ailleurs, et je doute que le milliardaire de la Silicon Valley qui soutient les blobs, Reid Hoffman, veuille gaspiller le reste de sa fortune dans cette affaire.

    Certaines personnes devront être tenues pour responsables de tous les méfaits commis par des agences malhonnêtes pendant de nombreuses années. Il faut bien commencer quelque part. Je propose Samantha Power comme premier test. Elle a été responsable de l’USAID pendant près de quatre ans – jusqu’au 20 janvier 2025 – y compris pendant la durée de la guerre en Ukraine. Elle a également été personnellement très occupée à organiser des tentatives de révolutions colorées en Hongrie (échec, contre Viktor Orban), en Géorgie (échec), au Mexique (échec) et au Brésil (succès contre Jair Bolsonaro). Mme Power a fourni de l’argent à des ONG liées à l’USAID pour favoriser l’instabilité dans de nombreux autres pays, y compris le nôtre. Elle a dû être très choquée par le fait que Kamala Harris n’ait pas remporté les élections de 2024. L’USAID ne paiera pas la représentation juridique de Mme Power.

    Bien d’autres choses viendront choquer les blobsters et leurs légions – bien que maintenant, alors que la réforme du gouvernement commence, il est réconfortant de penser à tous ces séditieux dévoués, Wokistes, Marxistes et Jacobins incapables de payer leur loyer ou d’acheter des produits alimentaires tout d’un coup. Les chèques de paie ont cessé d’arriver pour des milliers de personnes qui voulaient mettre la vie américaine sens dessus dessous et à l’envers. C’est ce qui s’est produit de la manière la plus pittoresque cette semaine dans l’entreprise de fausses nouvelles appelée Politico. Il s’est avéré qu’il s’agissait d’une filiale du blob. Qui l’aurait cru ? (La direction a dû envoyer un mémo indiquant que les journalistes et les rédacteurs en chef ne seraient pas payés cette semaine, voire plus jamais. Bouhhhh.)

    Il a également été révélé cette semaine que l’agence de presse Reuters, Associated Press, le New York Times, le Wash-Po et environ 700 autres organes de presse au total avaient reçu un soutien financier de l’USAID, de la CIA et d’autres entités gouvernementales. Comprenez-vous maintenant pourquoi les électeurs du Parti démocrate sont si obstinément trompés et dérangés ?

    Outre les procès sommaires intentés contre le DOGE et les chefs d’agence, la réaction à toutes ces mesures correctives a été étonnamment faible. On pourrait en conclure qu’ils n’ont pas pu rassembler les émeutiers cette fois-ci parce que l’argent destiné aux émeutiers a été supprimé. Au lieu de cela, vous avez vu un groupe hétéroclite de crapules politiques – Jamie Raskin, Ayanna Pressley, Liz Warren, Chuck Schumer, Maxine Waters, Jasmine Crockett, Ilhan Omar – pleurer des larmes de crocodile devant le siège de l’USAID au 1300 Pennsylvania Ave. Elles ressemblaient à des cafards après la visite de l’exterminateur.

    La réforme de notre gouvernement devenu obsolète est à peine entamée, en dépit de ces premières actions puissantes. Il reste encore à venir, les dessous répugnants des agences de santé publique qui vous ont apporté le Covid-19. Les Démocrates terrifiés empêchent la confirmation de Patel, Gabbard et RFKJr, mais même s’ils ne sont pas confirmés, la nouvelle administration placera des personnes compétentes à ces postes au FBI, à l’ODNI et au HHS. Le parti du chaos doit savoir qu’il ne peut pas arrêter le démantèlement de sa machine diabolique.

    Au delà de ces griefs se trouve l’Okefenokee de la trahison, de la corruption, de la conspiration et de la sédition dérivant du RussiaGate, de la destitution de 2019 et de toutes les manigances émanant de l’Ukraine depuis la révolution de Maidan en 2014. Il s’avère que tout était lié. Les mêmes personnages ont été impliqués dans tous ces événements néfastes. Je pense que nous verrons les grâces préventives de « Joe Biden » testées par le SCOTUS. Vous n’avez pas encore entendu parler des affaires que l’avocate générale Bondi devra examiner dans cette gigantesque boule de poils. Elle n’en est qu’à son deuxième jour de travail. Ayez pitié."

    James Howard Kunstler



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