Pas de surprise fracassante dans cette énumération de mauvaises nouvelles.
Tout le monde a maintenant compris — du moins on espère... — que le dictateur a été mis au pouvoir en France par les merdias pour, entre autres, détruire le système public de santé selon le programme de la Commission européenne. Il fait son boulot sans état d’âme : puisqu’il ne rencontre pas, jusqu’à présent, de forte résistance populaire, il aurait tort de se priver...
Les syndicats ne font rien (pour soutenir les soignants et autres salariés), nous dit Philippot. Et pour cause : les leaders syndicaux français sont les pires traîtres et les pires corrompus qu’on n’ait jamais vus. Mais la plupart des "syndiqués" ne voient rien, ne s’aperçoivent de rien et continuent d’obéir aux mots d’ordre de ces félons.
Notamment les enseignants qui, malgré leur bac+x, n’ont pas encore compris qu’ils feraient mieux de grossir les rangs des protestataires chaque samedi plutôt que de perdre une journée de salaire pour rien en semaine à "revendiquer" sous les fenêtres du rectorat et à se faire ficher.
Ils sont pourtant dans le collimateur du despote qui va s’employer à démanteler l’éducation nationale après les hôpitaux publics et qui a déjà commencé son sale boulot : grosses difficultés des étudiants pour s’inscrire dans la fac de leur choix, presque plus de remplaçants dans les établissements scolaires, plus d’accompagnants de vie scolaire pour les élèves handicapés...