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Ukraine VS Russie / Média / Communication / Source / Complotisme par Xavier Tytelman et Franck Abed

Ukraine VS Russie / Média / Communication / Source / Complotisme par Xavier Tytelman et Franck Abed

 

FRANCK ABED

Tags : Russie Ukraine




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50 réactions à cet article    


  • vote
    juanyves juanyves 21 mars 15:17

    Soutiens militaires de l’Ukraine : l’Azerbaïdjan, Israel, la Colombie, le Soudan, le Pakistan, le Maroc. Il a oublié : le Vatican, Mars, le roi (pour faire plaisir à Abed), Sirius, mais aussi Dieu et les anges. Bon pour le roi il a quand même le français (entre cocaïnomanes ...)

    Il est anti-américain, pour la sortie de l’OTAN et il raconte plein de conneries comme par ex. "on est des larbins des américains", mais sans eux on est foutus, et s’ils nous lâchent c’est que ce ne sont pas des alliés fiables, bref tout ça c’est pas très clair. De plus il a un sourire d’un être supérieur qui sait tout est sûr de tout mais absolument déplaisant. De toute façon grâce à lui (et à ceux qui le soutiennent) l’Ukraine va gagner.


    • vote
      shouitte shouitte 22 mars 08:43

      @juanyves
      tu galères pour le contredire, un debut de realisme ?


    • 7 votes
      Lord Volde 21 mars 20:36

      Il a une sale gueule, le Frank Abed. Une toison apparaît sur le haut de son crâne à moitié chauve.


      • vote
        Globulard 21 mars 20:43

        @Lord Volde
        As tu déjà vu des ânes chauves ???? Crétin !!


      • 4 votes
        Lord Volde 22 mars 01:23

        @Globulard

        Je t’imagine bien comme ça. Tu as des grandes oreilles et un caillou en guise de crâne d’œuf.


      • 2 votes
        Conférençovore Conférençovore 22 mars 08:19

        Vol-de-merde qui, lâchement, bien planqué sous pseudo, attaque stupidement une personnalité publique.... Je ne suis plus surpris depuis longtemps de l’attitude détestable de ces minables trolls qui n’assumeraient jamais dans le réel le quart du huitième de leur arrogance et méchanceté virtuelles. Quel genre d’humain faut-il être pour avoir pour réflexe de venir cracher au visage d’une personne qui propose un contenu, un travail gratuit ?
        Nous vivons vraiment dans un monde de dingues et d’idiots... Tant de bêtise donne le vertige...


      • 1 vote
        V_Parlier V_Parlier 23 mars 19:26

        @Lord Volde
        Titelman, quant à lui, se photographiant avec un décor de fond lui procurant une auréole et des rayons d’aura, parait complètement ridicule.


      • 7 votes
        Lord Volde 22 mars 01:29

        Je préfère de loin écouter les interventions sincères, honnêtes et intelligentes de Xavier Moreau qui considère Tyttelman et son discours de plateau TV à la sauce BFMTV semblables à de la merde en barquette et rien de moins.


        • 1 vote
          shouitte shouitte 22 mars 08:52

          @Lord Volde
          Quel dommage que moreau ait supprimé sa video datant de peu avant le debut de la guerre.
          Toi qui le suis, t’en as le souvenir non ?


        • vote
          V_Parlier V_Parlier 23 mars 19:27

          @shouitte
          C’est youtube qui a supprimé toutes ses vidéos, les dernières pouvant être repostées par d’autres chaines volontaires.


        • vote
          nono le simplet nono le simplet 22 mars 03:57

          deux heures de Tytelman !

          bien qu’un peu surpris je ne vais pas faire la fine bouche ... merci pour ce moment !

          je veux bien qu’on le compare avec Moreau, à la tête d’une entreprise de sûreté à Moscou, affiché clairement d’extrême droite, poutinien comme pas deux et qui ne représente que lui même ...

          Tytelman c’est autre chose ... outre ses compétences il est le porte parole d’un groupe de travail à la recherche et à l’analyse de données établies, répertoriées et vérifiées concernant cette guerre ... et si son analyse est franchement en faveur des ukrainiens c’est que les faits le démontrent ... le classer comme pro-OTAN ou pro-américain est ridicule ...

          mais c’est vrai que l’objectivité n’est pas le fort du régime russe et encore moins des roquets qui le soutiennent ...


          • 1 vote
            shouitte shouitte 22 mars 08:54

            @nono le simplet
            la nullité des commentaires venant des contradicteurs est remarquable ! Meme pour ceux qui arrivent a ecrire une phrase correcte


          • vote
            nono le simplet nono le simplet 22 mars 09:16

            @shouitte
            les commentaires de ceux qui nient la réalité ne peuvent être que nuls ...
            je trouve que ça de la gueule le rassemblement des Dalton, Xi, Vlad, Bachar et Kim pour mettre en place un nouvel ordre mondial plus ... comment dire ... républicain ?
            entre l’impérialisme américain que je n’aime pas, surtout quand c’est la frange extrémiste républicaine qui est au pouvoir, et la coalition des pires dictatures de la planète mon curseur "liberté" fait un bond du côté américain smiley


          • 3 votes
            mac1 22 mars 15:16

            @nono le simplet

            Manque de pot, ce sont les démocrates qui ont déclenché la plupart des derniers conflits armés.


          • vote
            nono le simplet nono le simplet 22 mars 15:25

            @mac1
            la deuxième guerre du golfe déclenchée par "dobelyou" ?
            sinon t’as des exemples ? et ne me dis pas la Syrie, hein !


          • 4 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:19

            1846 : Mexique. A l’issue d’une guerre qu’ils avaient programmées et provoquées, les États-Unis s’emparent de la moitié du territoire mexicain. Ce territoire conquis s’appelle aujourd’hui : la Californie, le Nevada, l’Utah, l’Arizona, le Nouveau-Mexique, le Colorado (en partie).

            1852-1853 : Argentine. Les Marines débarquent et s’installent à Buenos-Aires pour protéger les intérêts américains face à une révolution.

            1853 : Nicaragua. Protection des citoyens et intérêts américains pendant des troubles politiques.

            1853-1854 : Japon. « Plan d’ouverture du Japon » et expédition Perry qui conduit, avec les navires de guerre américains, à forcer le Japon à ouvrir ses ports aux États-Unis. Attendant une réponse du Japon l’autorisant à se rendre dans ce pays, le contre-amiral américain Perry, opère une démonstration navale de force et débarque par deux fois. Il obtient des autorités de Naha, sur l’île d’Okinawa, la gestion d’une concession minière. Il opère la même démonstration de force dans les îles de Bonin afin d’obtenir des facilités commerciales.

            1854 : Nicaragua. Pour venger une offense faite au ministre-président américain en poste au Nicaragua : destruction de la vile de Greytown (San Juan del Norte).

            1855 : Uruguay. Les armées américaines et européennes débarquent pour protéger les intérêts américains au cours d’une tentative de révolution à Montevideo.

            1859 : Chine. Intervention destinée à protéger les intérêts des États-Unis à Shanghai.

            1860 : Angola. Intervention en Afrique occidentale portugaise pour assurer la sécurité des citoyens et des biens américains pendant une révolte indigène à Kissembo.

            1893 : Hawaii. Sous couvert officiel de protéger les vies et les biens des américains, cette intervention visa à mettre en place un gouvernement provisoire sous l’autorité de Sanford D. Dole.

            1894 : Nicaragua. Intervention militaire pour protéger les intérêts américains à Bluefields à la suite d’une révolution.

            1898 : Cuba. Sous prétexte de libérer l’île de la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

            1898 : Porto-Rico, Hawaii, Wake, Guam. Sous prétexte de défaire la tutelle espagnole, les États-Unis s’installent et imposent une base militaire, la possibilités d’investissements financiers américains et un droit d’intervention dans les affaires intérieures du pays.

            1898 : Philippines. L’archipel est vendu aux USA par l’Espagne (décembre 1898), les philippins se soulèvent contre les États-Unis (février 1899), les États-Unis envoie 70 000 militaires qui mettront trois ans pour mater le soulèvement (des milliers de pertes humaines).


          • 4 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:20

            1903 : Colombie. Les États-Unis fomentent une révolution à l’issue de laquelle ils créent de toute pièce la République de Panama qui lui assure le contrôle du canal et des bénéfices qu’il génère.

            1914-1918 : Première Guerre Mondiale.

            1915 : Haïti. Nouvelle intervention et occupation des troupes américaines pendant 19 ans.

            1916 : République Dominicaine. Quatrième intervention et maintien des troupes américaines pendant 8 ans.

            1926 : Nicaragua. Nouvelle intervention et expédition de 5000 militaires pour contrer une révolution.


            1940-1945 : Deuxième Guerre Mondiale.

            1945 : Début de la Guerre Froide entre les États-Unis et l’URSS.

            1945 : Japon. Bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki.

            1945-46 : Chine. Bombardements.

            1946 : Philippines. Colonie américaine jusqu’à l’occupation japonaise, les Philippines accèdent à leur indépendance en 1946 en concédant aux États-Unis un droit illimité d’exploitation des ressources naturelles du pays au titre des dommages de guerre. Jusqu’en 1992 les États-Unis conservent 23 bases militaires et participent à la répression des opposants communistes ou musulmans.

            1947 : Grèce. Les États-Unis volent au secours de la dictature de colonels mise en place par les britanniques et menacée par la guérilla des gauchistes. Les États-Unis livrent 74 000 tonnes de matériels militaires et d’armements et envoient 250 « conseillers » militaires sur le terrain, assurant ainsi la victoire des forces de droite en 1949.


          • 3 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:22

            1950 : Porto Rico. Les troupes américaines qui stationnent en permanence écrasent un mouvement d’indépendance. Deux ans plus tard, Porto Rico se voit accorder le statut d‘État libre associé aux États-Unis.

            1950-1953 : Corée. Les forces armées de la Corée du Nord franchissent le 38ème parallèle et pénètrent en Corée du Sud. A la « demande » des Nations-Unies, les États-Unis acceptent d’aider à repousser l’agression armée. 2 millions de coréens trouvent la mort au cours de cette guerre.

            1950-53 : Chine. Nouveaux bombardements.

            1953 : Iran. Opération Ajax, un coup d’État orchestré par la CIA est mené par l’armée et les grands propriétaires fonciers après que les britanniques aient organisés le boycott des compagnies pétrolières iraniennes suite à leur nationalisation en 1951. Les États-Unis soutiennent pendant les 25 ans qui suivent l’homme fort du pays, le Shah d’Iran. Celui-ci s’enfuira en 1978 devant le raz-de-marée de la Révolution Islamique de l’ayatollah Khomeiney en exil. Deux ans plus tard, en 1980, la guerre entre l’Iran et l’Irak sera une aubaine pour les industries d’armements, notamment américaines.

            1954 : Guatemala. Opération PBSUCCESS, des mercenaires entraînés par la CIA au Honduras et au Nicaragua renversent, avec l’aide de l’aviation américaine, le gouvernement démocratique du président Arbenz Guzman remplacé par une junte militaire réclamée par Eisenhower.

            1958 : Liban. Des milliers de Marines sont envoyés à Beyrouth pour empêcher le renversement du gouvernement pro-américain et protéger les intérêts américains dans la région.

            1958 : Indonésie. Bombardements par les militaires et combattants islamistes appuyés par les États-Unis contre le gouvernement démocratique de Sumatra.

            1960 : Guatemala. Bombardements.

            1961 : Cuba. Opération Mongoose, armés et entraînés par la CIA, plus de 1000 exilés cubains débarquent dans la Baie des Cochons avec l’espoir de provoquer une rébellion contre le gouvernement castriste en place très populaire. Le soulèvement n’a pas lieu, les mercenaires sont rejetés à la mer, les États-Unis imposent un embargo à Cuba.



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            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:23

            1961-1972 : Vietnam. Pendant 11 ans, les États-Unis, prenant le relais de l’armée française, utilisent tout leur arsenal militaire y compris des armes chimiques pour venir à bout d’un mouvement révolutionnaire nationaliste d’indépendance. La plus longue guerre dans laquelle se sont embarqués les États-Unis causera la mort de plus d’un million de combattants vietnamiens, quatre millions de civils et près de 60000 soldats américains.

            1961-1972 : Laos et Cambodge. Bien qu’officiellement pas en guerre avec ces deux pays, les États-Unis y effectuèrent d’incessantes attaques aériennes et d’innombrables massacres de populations.


            1961 : Congo. Assassinat du premier ministre Patrice Lumumba par les services secrets belges soutenus par la CIA.

            1962 : Cuba. Crise des missiles.

            1964 : Panama. Les Marines qui protègent les intérêts américains du canal de Panama écrasent une révolte visant à nationaliser ce secteur stratégique. Après avoir protégé et utilisé le dictateur panaméen pour leurs attaques contre le Nicaragua sandiniste, les USA s’en débarrassent. 26 000 soldats américains envahissent le pays sous couvert de le faire comparaître devant les tribunaux américains pour trafic de drogue. Des centaines de civils périssent sous les bombardements.

            1964 : Brésil. Renversement du président Joao Goulart par un putch militaire soutenu par la CIA et instauration de la dictature du maréchal Castelo Branco.

            1964 : Congo. Bombardements pour réprimer la révolte nationaliste de gauche soutenue par l’Organisation de l’Unité Africaine.

            1965 : Indonésie. Prétextant une tentative de putch des communiste pourtant proche du pouvoir de Sukarno, une opération militaire sanglante dont les dirigeants sont téléguidés par la CIA est menée. Des centaines de milliers d’indonésiens sont victimes d’une chasse à l’opposant, la longue et meurtrière carrière de l’homme de paille américain Suharto commence pour culminer au Timor Oriental.

            1965 : République Dominicaine. Sous le couvert de l’Organisation des États Américains, les États-Unis interviennent militairement pour contrer une prétendue menace communiste et provoquent un coup d’État contre le président Juan Bosch élu démocratiquement. La bataille de Saint-Domingue fait quelque 10 000 victimes.

            1965 : Pérou. Bombardements.

            1967-69 : Guatemala. Formation des forces armées guatémaltèques du président Julio César Mendez Montenegro par les forces spéciales américaines pour contrer les attaques des rebelles gauchistes.

            1970 : Oman. Soutien logistique de la CIA et formation par des conseillers américains, les troupes iraniennes tentent d’envahir le sultanat pour contrer l’insurrection communiste dite Guerre du Dhofar.

            1970 : Moyen-Orient. Implication militaire des États-Unis auprès d’Israël dans les guerres qui ont lieu dans cette région du globe.

            1973 : Chili. Suite à la réforme agraire et aux nationalisations, les États-Unis, par l’intermédiaire de la CIA et de la firme ITT, fomentent un coup d’État militaire qui conduit à l’extermination du président élu de gauche Salvador Allende. Des milliers de morts, de femmes et d’enfants enlevés et torturés, et l’installation de la dictature d’extrême-droite du général Pinochet conseillé par la CIA.


            1975-1999 : Timor Oriental. Les États-Unis soutiennent sans faillir l’invasion et l’annexion conduite par l’Indonésie de Suharto. Un tiers de la population est décimée en près de 25 années. Alors qu’en 1999 lors d’un référendum, 80% de la population du Timor Oriental choisit l’indépendance, les États-Unis soutiennent les exactions et la terreur de milices téléguidées par l’armée indonésienne qui s’opposent à l’indépendance. Les États-Unis finissent par accepter, sous la pression internationale, l’idée d’une force de maintien de la Paix de l’ONU.

            1979-1989 : Afghanistan. Opération Cyclone, soutien logistique aux Moudjahidins du commandant Massoud pour contrer l’invasion de l’URSS. Soutien à Oussama Ben Laden appuyé par les services secrets pakistanais, l’ISI, dans le recrutement, la formation et l’envoi de combattants islamistes sur le front afghan.


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            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:23

            1980-1990 : Salvador. Les États-Unis s’engagent militairement aux côté des forces gouvernementales, de l’oligarchie au pouvoir et des escadrons de la mort de l’armée salvadorienne pour contrer la guérilla marxiste du FMLN. En 1980, l’archevêque Romero, très populaire chez les pauvres, est assassiné par des hommes proches de la CIA. En dix ans, la guerre civile a fait plus de 100 000 morts.

            1981-1988 : Nicaragua. Les États-Unis n’acceptent pas la série de réformes que les Sandinistes du président Daniel Ortega arrivés au pouvoir en 1979 engagent. Les États-Unis apportent leur soutien aux Contras basés au Honduras. En 1986, le scandale de l’Irangate révèle que le produit financier des ventes d’armes américaines à l’Iran a servi a financer les Contras.

            1982-1984 : Liban. Les troupes phalangistes du Liban soutenues par Israël et les États-Unis expulsent et massacrent des Palestiniens.

            1983 : Grenade. Opération Urgent Fury, embourbés au Liban, les États-Unis font une démonstration de force en envahissant la minuscule île de la Grenade prétextant de la sécurité de quelques citoyens américains et pour renverser le dirigeant Maurice Bishop suite à son coup d’Etat pacifique contre le régime autoritaire du Premier Ministre Eric Gairy. Huit ans plus tard, le Wall Street Journal qualifie cette démonstration d’« invasion des banques », l’île est devenue un paradis pour la fraude financière et l’évasion fiscale.

            1986 : Libye. Suite aux attentats anti-américains en Europe, l’aviation américaine bombarde des villes libyennes, faisant des centaines de victimes parmi les civils et les officiels.

            1986 : Les États-Unis sont condamnés pour « usage illégal de la force » contre le Nicaragua par la Cour internationale de justice de La Haye.

            1988 : Iran. Opération Praying Mantis de la marine américaine contre les deux plateformes pétrolières iraniennes, Sassan & Sirri, durant la guerre Iran-Irak et suite aux dégâts de la frégate USS Samuel B. Roberts causés par une mine iranienne.

            1989 : Philippines. L’aviation américaine prête main-forte aux forces gouvernementales pour contrecarrer un des nombreux coup d’État contre la présidente Corazon Aquino, farouche opposante aux communistes et aux indépendantistes musulmans.

            1989 : Panama. Opération Just Cause, le président George H.W. Bush ordonne la prise de contrôle du canal de Panama et renverse le dictateur militaire Manuel Noriega, agent double de la CIA, suite au prétexte de l’exécution d’un soldat américain par des soldats panaméens.

            1991 : Fin de la “Guerre froide” entre les États-Unis et l’URSS.

            1991 : Irak. Allié précieux des États-Unis dans la région durant de longues années, le dictateur Saddam Hussein envahit le Koweït sans en référer à la superpuissance. Les États-Unis, n’acceptant pas de perdre le contrôle d’une partie des ressources pétrolières du Golfe, déclarent la guerre à l’Irak en janvier 1991 et mettent en place une coalition militaire internationale qui, avec le soutien de l’ONU, libère le Koweït. L’Irak est placé sous embargo.

            1993-1994 : Somalie. Fiasco des opérations Restore Hope I et II, en appui à l’ONU, pour mettre fin à la guerre civile du seigneur de guerre Mohamed Aidid.

            1994 : Haïti. Ayant occupé Haïti de 1915 à 1934 puis soutenus les deux effroyables dictatures de François et Jean-Claude Duvalier de 1957 à 1986, les États-Unis se montrent favorables au renversement par coup d’État, en 1991, contre le dictateur Raoul Cédras remplacé par le le président en exil Jean-Bertrand Aristide escorté par 22000 soldats américains. Parmi les militaires impliqués dans le coup d’État, le colonel François qui a été formé, comme les dictateurs latino-américains Noriega et d’Aubuisson, dans la même académie militaire américaine. Trois ans plus tard les États-Unis interviennent militairement pour remettre en scelle le président déchu.

            1995 : Yougoslavie. Bombardements en Bosnie-Herzégovine en soutien aux forces armées de l’ONU/OTAN.

            1996 : Somalie. Soutien de la CIA dans l’assassinat de Mohamed Aidid.

            1998 : Irak. Les États-Unis et l’Angleterre reprennent leurs bombardements sur l’Irak et se fixent comme objectif l’élimination physique de Saddam Hussein et la mise en place d’un gouvernement de remplacement.


          • 3 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:24

            1998 : Soudan. Opération Infinite Reach, en riposte aux attentats terroristes contre les ambassades américaines de Nairobi au Kenya et de Dar-es-Salaam en Tanzanie, l’armée américaine détruit un complexe pharmaceutique d’Al-Shifa supposé servir de lieux de production d’armement chimique à des fins terroristes.

            1998 : Afghanistan, Opération Infinite Reach, bombardements massifs par la marine américaine de quatre camps d’entrainement dont Al Badr, El Farouq et Zawhar Kili, dirigés par Oussama Ben Laden, ex-agent de la CIA, lors d’un sommet de hauts responsables de plusieurs milices islamistes. L’attaque américaine provoqua la mort de cinq agents secrets pakistanais de l’ISI.

            1998 : Timor Oriental. Soutien logistique à l’ONU pour son indépendance.

            1999 : Yougoslavie. Au mois de mars, sous l’impulsion des États-Unis, l’OTAN bombarde le Kosovo et la Serbie ou s’opposent l’Armée de Libération du Kosovo qui depuis 1998 mène des opérations de guérilla et les forces de polices serbes qui, de leur côté, prennent en otage les populations civiles. Des centaines de bombes à uranium appauvri sont testées par les États-Unis.

            11 septembre 2001 : Début de la Guerre contre le Terrorisme. Lancement de l’opération Enduring Freedom à l’échelle du globe.

            2001 à nos jours : Afghanistan. Opération Active Endeavour, suite aux attentats du 11 septembre attribués à l’organisation Al-Qaïda dirigée par Oussama Ben Laden, les États-Unis forment une coalition internationale, implantent des bases au Pakistan et bombardent massivement le pays. Les Taliban sont renversés. Les États-Unis ne parviennent pas à imposer leur « protégé » (l’ancien roi), un gouvernement de transition est mis en place. Les prisonniers de guerre se voient déniés par les États-Unis de leurs droits internationaux reconnus par les conventions internationales, certains sont déportés sur la base militaire américaine de Guantanamo à Cuba et subissent un régime d’exception contraire aux principes internationaux et à la législation américaine elle-même. Derrière ces événements, les États-Unis légitiment leur allié dictateur du Pakistan, assurent peu à peu leur mainmise sur le transit des ressources naturelles régionales.

            2002 : Irak, Iran et Corée du Nord. Les États-Unis placent ces pays au nombre des composantes de l’Axe du Mal, la nouvelle doctrine militaro-mystique de mise en place de « guerres préventives » contre tous ceux qui ne s’alignent pas sur les États-Unis.

            2002 : Phillipines. Opération Enduring Freedom, soutien économique et militaire au gouvernement philippin contre les guérillas.

            2002 : Corne de l’Afrique. Opération Enduring Freedom.

            2002 : Géorgie. Opération Enduring Freedom, formation de plusieurs bataillons d’infanterie de l’armée géorgienne dans la vallée du Pankissi.

            2002 : Irak. Les États-Unis font pression sur la communauté internationale pour lancer un corps expéditionnaire en Irak visant au renversement de Saddam Hussein, à l’instauration d’un gouvernement favorable à leurs intérêts, à l’obtention des principales parts de marchés de la reconstruction du pays après bombardements, à l’octroi de concessions sur les immenses ressources pétrolières du pays. Fin 2002, les USA et leurs alliés anglais ont massés des dizaines de milliers de soldats sur-équipés sur place, prêts à une offensive.

            2003 : Irak. Les États-Unis outrepassent les décisions de l’ONU et envahissent l’Irak dans la nuit du 19 au 20 mars, avec le soutien de l’Angleterre. Un déluge de feu s’abat sur le pays et la population dont déjà près de 500 000 personnes sont mortes en 10 ans du fait du blocus économique (800 missiles Tomahawk, 23 000 bombes à uranium, à fragmentation, mini-nucléaire). Un mouvement mondial d’opposition à la guerre et à l’agression militaire des États-Unis se développe en faveur de la paix et pour le respect du droit international. La majorité des pays de la planète condamnent l’agression américaine contre un pays souverain. Par cet acte les USA ouvre la voix dangereuse et criminelle à la doctrine de la guerre préventive permettant d’attaquer tout pays ne se soumettant pas à la conception impérialiste américaine.




          • 2 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:24

            2003 : Sao Tomé-et-Principe. Intervention suite à une tentative de coup d’État militaire contre le président Fradique de Menezes.

            2004 : Haïti. Intervention militaire avec l’aide de la France pour chasser le président Jean-Bertrad Aristide.

            2004 à nos jours : Pakistan. Début de la guerre du Waziristan contre les nombreux mouvements de Taliban. Bombardements réguliers par des drones de l’armée américaine et de la CIA.

            2004 : Algérie. Soutien militaire au gouvernement dans sa lutte contre le GSPC devenu AQMI (Al-Qaïda au Maghreb Islamique).

            2004 : Kyrghizstan. Opération Enduring Freedom.

            2008 à nos jours : Somalie. Bombardements de plusieurs camps islamistes d’Al-Shabaab supposés être liés à Al-Qaïda.

            2008-2009 : Palestine. Soutien financier et logistique à l’armée israélienne dont l’envoi de 3000 tonnes de munitions en prélude à l’opération Plomb Durci dans la Bande de Gaza contre le Hamas.

            2009-2010 : Yémen. Bombardements par l’aviation américaine de plusieurs camps de la rébellion zaïdites des Houthis soutenus par l’Iran et en conflit contre le gouvernement yéménite depuis 2004, dit Insurrection de Sa’dah.


          • 2 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 19:31

            Le simplet de benet devrait ouvrir, par exemple :

            "Guerres scélérates" de William Blum

            Et je n’ai pas mis toutes les guerres contre les afro americain et hispanophones que les gouvernements americains pour le plus grand benefice des prisons privés ont appelé "guerre contre la drogue"


          • vote
            shouitte shouitte 22 mars 20:26

            @Mr.Knout
            ca al’air d’etre une sacrée liste dis donc
            Et pour celle de demarée en 2022 en ukraine ? qui qui c’est ?


          • 4 votes
            Mr.Knout Mr.Knout 22 mars 21:22

            @shouitte

            Ca a commencé à 2014, mémoire de poisson rouge ou c’est le grand écart qui fatigue les cuisses ? 
            Déjà que les genoux sont usés à force de lustrer l’oncle sam.....


          • vote
            nono le simplet nono le simplet 23 mars 01:11

            @Mr.Knout
            une liste à la Prévert ... qui ne répond pas à ma question ... (j’aime bien, au passage, la deuxième guerre mondiale ou la guerre en Yougoslavie ...)
            quel conflit récent a été déclenché par les démocrates américains ?
            et non
            à quel conflit a participé l’armée américaine ?
            et, au passage, qui a violé en premier les accords de Minsk en 2014 ? le lendemain même de la signature, d’ailleurs ...


          • vote
            shouitte shouitte 23 mars 08:22

            @Mr.Knout
            ok, et qui qui donc en 2014 ?


          • vote
            Mr.Knout Mr.Knout 23 mars 10:06

            "Les accords de Minsk devaient donner du temps à l’Ukraine" : Angela Merkel

            « NOUS AVONS INVESTI 5 MILLIARDS POUR ASSISTER L’UKRAINE » VICTORIA NULAND 

          • vote
            Mr.Knout Mr.Knout 23 mars 10:11

            le 23 février 2014, le Parlement ukrainien, cette fois à majorité pro-ukrainophone, a abrogé la Loi ukrainienne sur la politique linguistique de l’État,


          • vote
            Mr.Knout Mr.Knout 23 mars 10:12

            Allez a plus les binaires.


          • vote
            nono le simplet nono le simplet 23 mars 10:20

            @Mr.Knout
            ouais ... à plus pour de nouvelles âneries pas binaires du tout -))


          • 1 vote
            V_Parlier V_Parlier 23 mars 19:22

            @shouitte
            Qui donc en 2014 ? Tes gentils, pardis ! (la Crimée ne redevenant russe qu’après le coup d’Etat et ses premiers "effets") :
            https://www.youtube.com/watch?v=3CCaEaC3aks&list=PL1fQfU9jb9Uz66X5ThA5upF_FJxoEmqYP&index=6
            (Cette vidéo et celles qui suivent dans la playlist, pour les intéressés, par pour toi bien sûr)


          • vote
            Conférençovore Conférençovore 22 mars 14:19

            "Si la Turquie envahit Chypre ou la Grèce..."

            C’est déjà le cas pour Chypre. La Turquie occupe illégalement la moitié nord de l’île de Chypre, un pays de l’UE (et certains nous continuent de nous parler de l’adhésion de ce pays à l’UE... ce qui en ferait le pays le plus peuplé d’Europe alors même qu’il est tenu par les Frères Musulmans... c’est délirant) et ce depuis des décennies.

            La Turquie a des attitudes belliqueuses envers la Grèce et dans toute la région depuis des années.

            "Les lignes bougent en faveur de l’Ukraine..."

            A priori, non. Quelques pays soutiennent l’Ukraine. Quelqu’un s’est amusé à faire le ratio : en gros on a 800 millions d’habitants (Europe + Am du nord + Océanie + quelques autres) qui, effectivement, soutiennent l’Ukraine (du moins leurs gouvernements). Le reste de l’humanité a trois attitudes : soit elle s’en moque (comme toute l’Asie du Sud-est par exemple ou encore une bonne partie de l’Am sud), soit elle reste neutre, soit elle est un soutien de la Russie pour des raisons économiques, parce que cela leur rapporte quelque chose, par exemple l’Algérie, le Maroc, l’Inde, l’Azerbaïdjan, Bahreïn, etc qui exportent les produits pétroliers ou gaziers de la Russie ou d’autres qui permettent à la Russie de contourner les sanctions éco ou des raisons historiques, comme l’axe Russie-Iran par exemple.

            Les soutiens des pays que cite Xavier (comme le Soudan... il n’est pas très sérieux de citer cet exemple) sont faibles. Ce sont des soutiens plus symboliques qu’autre chose. La Chine, comme toujours et à raison joue sa partition : elle a besoin des ressources russes et encore un peu de la techno russe (effectivement, les moteurs d’avions) et va sans doute renforcer ses liens mais tout cela s’arrête à des considérations éco. La sphère d’influence de la Chine est vaste : Asie du sud-est et mer de Chine, Afrique mais là encore, pour les ressources : les Chinois exportent leur MO plus qualifiée, plus travailleuse aussi.

            Quant à la responsabilité des russes, elle est quasi totale. Comme rappelé par Xavier, lors des référendums pour l’indé de l’Ukraine, la pop du Donbass a très très majoritairement voté pour. Ce n’est qu’après, après un travail d’occupation, de pression sur la population et du départ de nombreux pro-Ukrainiens que la situation a changé.

            Je ne partage pas sa vision de la guerre et ce soutien inconditionnel à l’Ukraine. Me concernant, la Fr doit défendre ses intérêts et rien d’autre. Notre intérêt n’est certainement pas de se couper d’un partenaire éco comme la Russie. Ce pays représentait 8% de nos importations en gaz avant la guerre, gaz que nous achetons de toutes façons à des pays tiers à qui la Russie le vend et que nous payons plus cher. Nous leur vendons aussi tout un tas de produits : aviation civile, industrie du luxe, tourisme en Fr... les secteurs dans lesquels le client russe est important ne manquent pas.

            Nous devrions juste exprimer notre désapprobation de l’attitude de la Russie mais sans s’exciter dans le vide et à base de sanctions qui, non seulement ne fonctionnent pas mais en plus nous pénalisent mais aussi un désapprobation vis-à-vis des provocations otanesques. Là, avec micron 1er aux manettes (même si ce n’est pas lui qui dirige), nous perdons sur absolument tous les tableaux.

            Entretien très intéressant. Merci à l’auteur et à Xavier qui fait un excellent travail. Un débat avec Moreau serait intéressant, en admettant qu’il arrête de l’insulter.


            • 3 votes
              Lord Volde 22 mars 17:32

              @Conférençovore

              Se donner la peine de lire un tel galimatias, c’est comme s’imposer de regarder et d’écouter plus de 3 mn de BFMerdeTV.

              Figure agoravoxienne du paumé pathétique, la larve dénommée "Conférençovore" ne possède ni squelette anatomique, ni consistance en chair et en sang. Etron fini à la pisse chaude, cet indigent matamore de l’embrouille et de la resquille écrit comme un sagouin dans un style pesant et sans ressort et vous épuise en un quart de tour de sa vacuité intellectuelle assortie d’esbroufe et de pantalonnade insipide. 

              Qu’il aille donc au diable qu’il sert déjà avec zèle et constance.

              Son indigeste litanie mérite la mention : Bac Blanquer


            • 5 votes
              Lord Volde 22 mars 17:52

              @Conférençovore

              Espèce d’abruti congénital, les mesures punitives prises unilatéralement par un grand nombre de pays occidentaux n’ont pas vocation à s’appliquer au reste du monde. Les états-nations sont souverains quant à leurs politiques intérieures comme extérieures et n’ont pas à obéir aux desiderata du bloc UE et Anglo-saxon.

              Les trains de mesures de coercition édictées sous l’empire de l’occident en voie de dégénérescence inquiétante font un bien considérable à la Russie et aux états libres et souverains d’Asie, d’Afrique et d’Amérique latine tout en mettant à mal les populations des états membres de l’UE. Les États-Unis s’en sortent bien mieux que les états vassaux d’Europe en tirant un bénéfice certain de la chute brutale et prévisible de toute l’UE et des décombres de l’Ukraine.

              T’es un nullos de compétition, toua smiley 


            • 1 vote
              Globulard 22 mars 18:07

              @Lord Volde
              Je confirme concon la joie est bien une larve et fini à la pisse chaude surtout !!!


            • vote
              Globulard 22 mars 18:12

              @Lord Volde
              Le problème de ducon la joie , c’est la fable du crapaud et du boeuf . Et le tien c’est d’être une raclure pro Poutinienne et une salope d’ex taulard à qui on doit cracher à la gueule pour apologie de la muzzerie.


            • 3 votes
              Lord Volde 22 mars 18:19

              @Globulard

              J’ai néanmoins fait preuve de retenue, de modération et aussi de parcimonie.


            • 3 votes
              Lord Volde 22 mars 18:23

              @Globulard

              Tu es du petit bois et je ne vais certainement pas répliquer devant une vermine asticot de ton acabit. Tu ne mérites pas mon attention.

              "Les chiens aboient et la caravane passe"


            • 1 vote
              Lord Volde 22 mars 18:24

              @Lord Volde
              Erratum : ."..une vermine d’asticot...."



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