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Accueil du site > Tribune Libre > Franc-maçonnerie et oligarchie bancaire : les pires ennemis de la France | (...)

Franc-maçonnerie et oligarchie bancaire : les pires ennemis de la France | Pierre Hillard | GPTV

Dimanche 7 avril à 18h30, Pierre Hillard et Jean-Maxime Corneille seront les invités du Rendez-vous Interdit, en direct sur Géopolitique Profonde.

Pierre Hillard est docteur en sciences politiques, écrivain, spécialisé dans l’étude du mondialisme. Il vient d’éditer l’ouvrage « Les « mémoires » de Gontaut-Biron ».

Jean-Maxime Corneille est un juriste et écrivain, spécialisé dans les questions de géopolitique, de terrorisme et de renseignement. Il a notamment traduit l’ouvrage « Le charme discret du djihad : L’instrumentalisation géopolitique de l’islam radical ».

Pour la 1re partie de l’émission, Pierre Hillard sera présent pour nous présenter l’ouvrage qu’il vient d’éditer : « Les « mémoires » de Gontaut-Biron ».

« La réédition des « Mémoires » du vicomte Anne-Armand-Élie de Gontaut-Biron (1817-1890), premier ambassadeur de France à Berlin (1872-1877) après la défaite militaire de Napoléon III à Sedan en septembre 1870, nous tient particulièrement à cœur.

Ce personnage est un quasi inconnu de l’historiographie en France.

Et pourtant, son action fut essentielle pour soulager et abréger les misères engendrées par l’occupation prussienne. Alors que la France eut à subir des troubles profonds comme la Commune de Paris et des luttes internes au sein de la franc-maçonnerie se répercutant auprès du gouvernement d’Adolphe Thiers, le vicomte de Gontaut-Biron dut affronter Otto Von Bismarck désireux d’imposer la république conservatrice en France.

Le grand mérite de cet homme, tout en réussissant à abréger le temps d’occupation du territoire français de l’occupation allemande, cherchant à pervertir la civilisation française, par l’application d’un système si contraire aux traditions de notre pays nées du baptême de Clovis.

Nous espérons que la réédition des « Mémoires » de cet ambassadeur permettra au lecteur de prendre conscience de l’importance de cette époque qui a littéralement empoisonné l’avenir des nations européennes.  »

Ensuite, Jean-Maxime Corneille sera présent avec Raphaël Besliupour la 2nde partie de votre rendez-vous marathon du dimanche, afin de rebondir sur l’analyse de Pierre Hillard et puis commenter l’actualité brûlante de la semaine.

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Tags : France Banques Oligarchie Franc-maçonnerie




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4 réactions à cet article    


  • vote
    Gollum Gollum 16 avril 11:35

    Ah, ah... plus de cinq heures... ce sera sans moi. 


    • 1 vote
      yoananda2 16 avril 11:49

      @Gollum
      tu te prive de 5h de pur complotisme avec du raisonnement à base de "untel est coupable parce qu’il a croisé tel autre dans tel diné, c’est bien la preuve" ...
      la pseudo-rigueur


    • vote
      Gollum Gollum 16 avril 13:21

      @yoananda2

      Le pire c’est que je voudrais bien savoir... j’aime bien le complotisme moi.. mais 5 heures même en x 2 ça fait deux heures et demi.. pour un bilan pas franchement convaincant.. Y a quand même mieux à faire ailleurs. smiley


    • vote
      Étirév 16 avril 12:42

      Le « logiciel » de Pierre Hillard, et de bien d’autres, confond Maçonnerie moderne dite « spéculative », issue de la rédaction des Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre publiées en 1723, et Maçonnerie ancienne dite « Opérative » qui trouve son origine dans les « Mystères », c’est-à-dire dans un enseignement donné dans le secret pour continuer à expliquer les lois de la Nature.
      Lorsque certains régimes totalitaires interdirent la Franc-Maçonnerie c’est l’« Opérative » qui était visée et non la « spéculative », car ces régimes ne lui pardonnent pas d’enseigner les moyens de penser et d’agir librement.
      Back to the future : Au Chapitre 23 verset 5 du second livre de Samuel, il est dit : « Il n’en était pas ainsi de ma maison ; mais Elle m’a établi dans une alliance éternelle, bien ordonnée, et ferme en toutes choses. Elle est toute ma délivrance et tout mon plaisir, et ne fera t-elle pas fleurir ma maison ? »
      L’alliance éternelle et bien ordonnée dont parle le verset 5 fait allusion à la fondation d’une immense fraternité secrète qui a été éternelle en effet, puisqu’elle est devenue la Franc-Maçonnerie.
      La Franc-Maçonnerie est d’origine hébraïque (les Mystères de Jérusalem), tous les mots de passe sont des vocables hébreux, ses légendes sont tirées de l’histoire du peuple d’Israël.
      Joseph de Maistre, dans « Mémoire au duc de Brunswick » (1782), dit ceci : « Tout annonce que la Franc-Maçonnerie vulgaire est une branche détachée et peut-être corrompue d’une tige ancienne et respectable ».
      C’est bien ainsi qu’il faut envisager la question, précise René Guénon qui ajoute qu’on a trop souvent le tort de ne penser qu’à la Maçonnerie moderne (ou « Maçonnerie spéculative »), sans réfléchir que celle-ci est simplement le produit d’une déviation, et une dégénérescence au sens d’un amoindrissement consistant dans la négligence et l’oubli de tout ce qui est « réalisation » du point de vue initiatique.
      Les premiers responsables de cette déchéance sont les pasteurs protestants, Anderson et Desaguliers, qui rédigèrent les Constitutions de la Grande Loge d’Angleterre, publiées en 1723, et qui firent disparaître tous les anciens documents (Old Charges) de l’ancienne « Maçonnerie opérative » sur lesquels ils purent mettre la main, pour qu’on ne s’aperçût pas des innovations qu’ils introduisaient, et aussi parce que ces documents contenaient des formules qu’ils estimaient fort gênante. Ce travail de déformation, les protestants l’avaient préparé en mettant à profit les quinze années qui s’écoulèrent entre la mort de Christophe Wren, dernier Grand-Maître de la Maçonnerie ancienne (1702), et la fondation de la nouvelle Grande Loge d’Angleterre (1717). Cependant, ils laissèrent subsister le symbolisme, sans se douter que celui-ci, pour quiconque le comprenait, témoignait contre eux aussi éloquemment que les textes écrits, qu’ils n’étaient d’ailleurs pas parvenus à détruire tous, puisqu’on connaît une centaine de manuscrits sur lesquels ils n’avaient pu mettre la main et qui ont échappé à la destruction. Voilà, très brièvement résumé, ce que devraient savoir tous ceux qui veulent combattre efficacement les tendances de la Maçonnerie actuelle.
      Au sujet d’Anderson, René Guénon rappelait (dans son tome 2 des « Études sur la Franc-Maçonnerie et le Compagnonnage ») : « qu’un journal, en annonçant sa mort en 1739, le qualifia de « très facétieux compagnon », ce qui peut se justifier par le rôle suspect qu’il joua dans le schisme spéculatif et par la façon frauduleuse dont il présenta sa rédaction des nouvelles Constitutions comme conforme aux documents « extraits des anciennes archives » ; A. E, Waite a écrit de lui qu’« il était surtout très apte à gâter tout ce qu’il touchait » ; mais sait-on que, à la suite de ces événements, certaines Loges opératives allèrent jusqu’à prendre la décision de n’admettre désormais aucune personne portant le nom d’Anderson ? Quand on songe que c’est là l’homme dont tant de Maçons actuels se plaisent à invoquer constamment l’autorité, le considérant presque comme le véritable fondateur de la Maçonnerie, ou prenant tout au moins pour d’authentiques landmarks tous les articles de ses Constitutions, on ne peut s’empêcher de trouver que cela n’est pas dépourvu d’une certaine ironie »
      Jean-Théophile Desaguliers : pasteur presbytérien et physicien, élève de Newton, était un huguenot français exilé en Angleterre. Violemment antifrançais et anticatholique, il complota toute sa vie contre la France et y réalisa plusieurs voyages secrets, notamment à Bordeaux où il fut à l’origine de l’infiltration d’une loge opérative anglophile existante, qui fut le fer de lance de la Grande Loge de Londres (GLL) en France. Rappelons simplement que Bordeaux fut un des creusets où se forgea la Révolution française, ce qui explique encore que dans la première phase révolutionnaire ce furent les girondins, majoritairement francs-maçons « spéculatifs », qui dominèrent la situation.
      James Anderson : pasteur lui aussi, était avant tout un « voluptueux », au sens le plus baudelairien du terme, évoluant dans les milieux libertins et occultistes londoniens, et nous verrons que c’est grâce à ses relations avec l’un des plus grands débauchés du royaume, le duc Philippe de Wharton, qu’il va opérer la phase finale de sa subversion en 1723.
      Dans la Franc-Maçonnerie moderne « dite » spéculative, nous trouvons également l’existence d’une « Maçonnerie mixte », ou « Co-Masonry », comme elle est appelée dans les pays de langue anglaise, qui représente tout simplement une tentative de transporter, dans le domaine initiatique lui-même qui devrait encore plus que tout autre en être exempt, la conception « égalitaire », si chère au monde moderne, qui, se refusant à voir les différences de nature qui existent entre les êtres, en arrive à attribuer aux femmes un rôle proprement masculin, et qui est d’ailleurs manifestement à la racine de tout le (faux) « féminisme » contemporain.

      NB : La reine Daud (« roi David ») ne fut pas seule à fonder les Mystères de Jérusalem, lnstitution secrète qui devait se propager jusqu’à nous à travers la Franc-Maçonnerie. Elle eut deux collaboratrices : deux Reines-Mages, ou Magiciennes qui, avec, elle, formèrent le Triptyque sacré que les trois points de l’Ordre ont représenté depuis. L’une est Balkis, reine d’Ethiopie (appelée la reine de Saba), l’autre est une reine de Tyr, que l’on a cachée derrière le nom d’Hiram 1er, roi phénicien de Tyr.
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