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Les commentaires de La Vouivre



  • 1 vote
    La Vouivre La Vouivre 23 septembre 2015 17:17

    @maQiavel
    J’ai le pseudo de Machiavel, donc je suis un peu au courant

    Heu, non, vous c’est maQiavel et non Machiavel, grande nuance, d’ailleurs je n’ai toujours pas compris cette mode de mettre son Q majuscule dans un pseudo, car j’ai remarqué que vous n’êtes pas le seul, serait ce un collectif militant de concert pour orienter les débats, j’allais écrire "ébats", sur agoravox ? Payé ou bénévole, sollicité par une obscure organisation occulte ?

    Ce serait pour le coup, assez machiavélique en effet.



  • 5 votes
    La Vouivre La Vouivre 4 septembre 2015 14:10

    @Frida
    Le père de l’enfant noyé ne fuyait pas la guerre, il vivait en Turquie depuis 3 ans et voulait rejoindre l’Europe pour se faire refaire les dents !
    Sa soeur vivant au Canada témoigne.

    Après je ne connais pas la qualité des dentistes turcs (ils opèrent toujours à la tenaille et avec de l’alcool pour tout anesthésiant ????) ni leurs tarifs, peut être qu’il pensait que les services étaient meilleurs en Europe qui sait ? En attendant sa famille a été décimée et instrumentalisée par des charognards pour justifier la politique des enculés.



  • 9 votes
    La Vouivre La Vouivre 4 septembre 2015 13:44

    L’enfant mort de la photo propagande instrumentalisée est mort parcve que son père voulait se faire faire de nouvelles dents en Europe...

    Il ne fuyait en aucun cas la guerre, habitant la turquie depuis 3 ans, il a fait payer cher son ratelier de pianiste à sa femme et ses deux ghosses et ces crétins de merdias font feu de tout bois pour placer la propagande d’invasion programmée de nos terres par ces chères élites, en un mot, c’est un complot des dentistes pas forcément marseillais.

    Regardez c’est édifiant, j’imagine hilare le nombre de cocus humanistes devant la cruelle et ridicule réalité bien humaine et bien moins romantique que les socialopes souhaietraient qu’elle soit. Bon visionnage, c’est en anglais mais facilement compréhensible, prochainement cette vidéo fera le buzz en sous titré et dans toutes les langues pour montrer à quel point ces zélites manipulent les foules sentimentales pour justifier leurs saloperies inavouables et orienter les opinions en leur faveur.
    https://www.youtube.com/watch?v=QZUuoaq1MLM

    BHL tu peux aller te brosser les chaniottes avec un balais à chiottes, ça améliorera tout de même ton haleine de chacal !



  • 9 votes
    La Vouivre La Vouivre 4 septembre 2015 11:05

    Qu’est ce qu’une cruche pareille fait en politique ? Pas étonnant que ce soit la merde partout avec le niveau de ceux et celles qui ont le micro pour tenter de suivre une ligne politique, c’est bécassine au pays de Candy machine ma parole... Stupid Girl en plus d’être grosse et moche !



  • 4 votes
    La Vouivre La Vouivre 3 septembre 2015 23:36


  • 7 votes
    La Vouivre La Vouivre 3 septembre 2015 23:35

    Michel Onfray se virilise, on dirait, il prend des risques, il envoie du bois sur BHL sur un média officiel, bravo, Monsieur, la vérité toute nue, contre le mensonge hypocrite permanent BHL et gouvernemental. Voyons comment vont ils se prendre pour tenter de vous nuire, sur plusieurs plans, où si ils n’oseront pas toucher votre notoriété trop dangereuse parce que respectable à contrario d’un Soral, trop trash pour le grand public avachi, vous incarnez ce que la gauche devrait être, bravo Michel ! Mais ça ne va pas plaire à la clique BHL/Valls/Crif tout ça....



  • 1 vote
    La Vouivre La Vouivre 3 septembre 2015 17:20

    @Qaspard Delanuit
    Ok vous avez sans doute raison mais ça reste fascinant d’imaginer un méchanisme aussi complexe fonctionnant sans pile, sans cervomoteur, sans micro processeur, sans transistor, sans électricité, j’en reste bouche bée devant tant d’ingéniosité que mon cerveau ne peut imaginer sans surchauffer gravement.



  • 1 vote
    La Vouivre La Vouivre 3 septembre 2015 12:29

    @revolQé1
    C’est magnifique en terme de travail d’orfèvre, mais l’intérêt de cela ? Car pour un voleur un peu bourrin, quelques coups de hache et les secrets si précieux soient ils sont dévoilés en moins de deux coups de cuillère à pot. Alors question efficacité en matière de sécurité, le bois laisse un peu à désirer. Juste la beauté de l’objet ? La noblesse du geste ? Je n’ose imaginer le prix d’une de ces commodes pour riches qui s’ennuient....



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    La Vouivre La Vouivre 18 août 2015 10:03

    @Nicosan
    Merci les garçons smiley



  • 2 votes
    La Vouivre La Vouivre 17 août 2015 14:07

    @DJL 93VIDEO
    C’est hélas déjà fait, la matrixation du continent africain, depuis qu’un pygmée a failli recevoir une bouteille de coca cola tombée d’un avion sur le crâne et qu’il a prise pour un Dieu, c’est dans l’excellent documentaire : Les Dieux sont tombés sur la tête.

    Et puis ceux qui mougoutent à tour de bras les occidentaux via le net ne font que répondre du berger à la bergère sommes toutes, c’est mondial cette saloperie de mondialisation.



  • vote
    La Vouivre La Vouivre 17 août 2015 14:03

    Oulala merci Blueman pour toutes ces belles boules smiley

    Qui saurait me dire quelle est la musique de fin svp ? Fais un bail que je ne l’ai pas entendue.

    Bon ben messieurs, un peu de modesties avec les vôtres, de boules, déjà rien que comparées à nos boobs, hein, pas de quoi frimer n’est ce pas smiley



  • 6 votes
    La Vouivre La Vouivre 13 août 2015 11:09

    Une occasion rêvée pour les jeunes dans la dèche de faire la bombe et s’éclater à Paris Plage.
    Sous la plage, les pavés.



  • 1 vote
    La Vouivre La Vouivre 3 août 2015 20:31

    @maQiavel
    Tout simplement car, dans l’effort, commun, ou quand on se retrouve par obligation dans une situation qui demande pour survivre ou être logé à la même enseigne de se débarrasser des hypocrisies de la "société" actuelle bourgeoise de consommation, les masques superficiels tombent et seule la valeur "animale" de l’humain se révèle sans ses artifices imposés par les différents protocoles sociaux qui font que nous n’avons même plus le droit d’être nous mêmes en public. C’est aussi simple que ça. La vérité toute nue, les vraies natures se montrent et se démontrent au delà du carnaval permanent dans lequel nous sommes constamment plongés dans cette société qui cultive les apparences au lieu des vérités profondes. Plus de grades devant la mort, plus d’étiquette sociale ou hiérarchique devant l’effort commun, la noblesse et la valeur d’un homme ou d’une femme prouvent leur valeur devant l’épreuve. La triche s’efface enfin.



  • 10 votes
    La Vouivre La Vouivre 3 août 2015 20:21

    @Boris le laid aka @Yves-Pierre Verrey-Carrey

    Ouais, pas besoin de s’appeler Conchita Wurst ou Vincent Mac Doom Donald’s pour se rendre compte que vous êtes un multi comptes, la preuve ? Vos pseudos sont des parodies de gens connus qui prennent des risques à visages découverts contrairement à TOI qui te planque comme un lâche derrière ton écran, quel âge as tu franchement pour fair des trucs qui n’amusent que toi ? Je suis dégoûtée du genre humain quand je croise, repère et identifie des cas comme toi. Continues de te branler tu ne vaux pas mieux... Boutonneux va !



  • 4 votes
    La Vouivre La Vouivre 29 juillet 2015 17:46

    @Yves-Pierre Verrey-Carrey
    "J’étais dans la violence et la haine"

    Hum, sa carrure lui permet tout juste de battre une carotte avec un couteau, on se demande envers qui il aurait pu faire acte de violence sans se blesser lui même, un bébé de 3 mois ? Une dame âgée en fauteuil roulant ? Un tétraplégique sous assistance respiratoire ? Myke Tyson ? Un intru s’est glissé dans cette liste non exhaustive.... Hihihi

    "Dieu a un plan pour moi, j’ai une mission, je dois porter la parole et les actes de Christ sur terre"

    Ha oui quand même... Putain il a pas le melon lui avec ses jus de pastèque au basilic...



  • 1 vote
    La Vouivre La Vouivre 26 juillet 2015 09:56

    @Joe Callagan
    Oui Oui les femmes n’ont pas toujours été anorexiques comme modèles de beauté, à une époque les femmes Michelin aux gros bourrelets étaient très recherchées car c’était un signe de richesse alors à chaque époque ses tares et puis c’était pas la faute à Mac Do ou Mosanto et c’est toujours le cas en Afrique par exemple ou les obèses sont très prisées.

    Histoire des représentations de l’obésité
    Le lien entre obésité et santé est évoqué par ce tableau (Der Völler, « Le glouton ») de 1804, du peintre Georg Emanuel Opitz (1775–1841) - gouache sur papier.

    L’histoire des représentations de l’obésité est décrite par l’historien Georges Vigarello dans son ouvrage Les Métamorphoses du gras. Histoire de l’obésité du Moyen Âge au XXe siècle en six parties.

    • La première partie sur « le glouton médiéval » rappelle qu’au Haut Moyen Âge et au Moyen Âge central, époques marquées par les famines et les disettes, l’homme gros jouit d’un prestige car il représente selon les mentalités de l’époque un chevalier vigoureux, un seigneur opulent dont la santé est assurée par l’accès à une surabondance de nourriture. La femme quant à elle doit rester gracile qui est associée à une certaine vulnérabilité. Les chroniques et les rumeurs ne valorisent pas le glouton quand la forte corpulence dégénère en obésité : Berthe, la fille de Charlemagne, aurait été répudiée pour sa grosseur ; Guillaume le Conquérant est mort de graisses « qui auraient fondu à l’intérieur et l’auraient noyé » ; Philippe Ier est obèse au point de ne plus même pouvoir monter à cheval ; l’embonpoint de Louis le Gros est tel que ses excès de table seraient la cause de sa mort6. À partir de la renaissance du XIIe siècle, ce prestige décline sous l’influence de trois milieux sociaux : les clercs, notamment ceux des ordres mendiants qui vivent de la charité, font de la gourmandise un péché capital ; les médecins, mieux formés grâce au développement des universités, conseillent les nobles à plus de sobriété ; les milieux de la cour où la quête du raffinement exige du chevalier plus de finesse (physique et morale) pour pratiquer l’amour courtois, la danse ou manier son cheval lors des joutes équestres7.
    • La seconde partie sur « le balourd moderne » débute à la Renaissance, époque du travail, de la technique et de la finesse. Le gros est alors stigmatisé pour sa lourdeur, sa paresse, son inhabileté, son inutilité. Les Grandes découvertes sont à l’origine de l’importation de sucre dont la consommation se diffuse dans l’aristocratie puis la bourgeoisie européenne, d’où le développement de l’obésité6. L’exigence de minceur qui se poursuit jusqu’au XVIIIe siècle concerne alors aussi bien les hommes que les femmes. Les médecins se basent sur la théorie des humeurs pour traiter l’obésité par la saignée, la purge ou la technique d’« assécher » (boire le moins possible)8. Rabelais, pourtant soucieux de son apparence, réagit contre ce « politiquement correct »[réf. nécessaire] pour donner naissance à « Gargantua et à d’autres géants de haute graisse »9. Des artistes comme Véronèse, Titien mettent en avant les rondeurs érotiques. Si Rubens est l’archétype du peintre des femmes grasses et opulentes, il ne faut pas oublier qu’il s’agit essentiellement de femmes mythologiques, les femmes qu’il voit et qu’il aime (telle sa femme Isabella Brant) sont représentées minces et corsetées.
    • La troisième partie « de la balourdise à l’impuissance des Lumières et la sensibilité » traite du XVIIIe siècle qui voit s’intensifier la critique envers les gros dont l’obésité est associée à l’insensibilité, l’affadissement de la personnalité, critique qui se base sur des mesures scientifiques (balance, utilisation du calorimètre par Antoine Lavoisier)10. Le développement des restaurants revêt une vocation diététique puisqu’on y sert des bouillons reconstituants fait de jus de viande dégraissés. Les médecins qui voient dans l’obésité une pathologie recommandent alors l’exercice et les bains froids pour tonifier le corps11. Ironie de l’histoire, les sucres sont à cette époque recommandés pour lutter contre l’obésité12.
    • La quatrième partie met en avant « le ventre bourgeois ». La bourgeoisie d’affaires qui a pris le pouvoir, prend le contrepied des valeurs aristocratiques en affichant son embonpoint, signe de réussite sociale au XIXe siècle. Le bourgeois gastronome est décrit comme un « gastrophore » dont l’obésité est le blason13. Cependant, un excès d’embonpoint peut être associé à la vanité et cette infirmité peut être source d’une certaine souffrance sociale. À la fin du XIXe siècle, il y a à nouveau un retournement des mentalités pour qui le gros ventre du bourgeois n’est plus que le signe de sa cupidité alors que les femmes sont toujours soumises au diktat de la minceur qui peut être assurée par les corsets, les robes à crinoline. Le développement de la science s’appuie désormais sur les pesées systématiques et des statistiques qui confrontent la taille et le poids14.
    • La cinquième partie « vers le martyre » décrit comment, à la fin du XIXe siècle, l’esthétique a pris le pas sur la morale en accordant plus d’attention à la silhouette avec la banalisation de l’usage du miroir en pied, de la balance et l’exposition des corps qui va de pair avec l’avènement des loisirs et des journaux de mode qui incitent les femmes à se convertir à la silhouette élancée15. Cette époque voit le développement des régimes amaigrissants, des cures thermales et des publicités qui mettent en avant les produits amincissants. L’avènement de l’hygiénisme, des guerres coloniales et modernes voit la mise en place d’un discours diététique, sous forme d’un corps de connaissances et d’outils (tels les schémas, les graphes)16.
    • La sixième partie sur « les mutations du débat contemporain. Mal identitaire, mal sournois » revient sur la tyrannie de la minceur et l’épidémie mondiale qu’est devenue l’obésité qui touche désormais essentiellement les classes populaires, jugées non plus de trop se nourrir mais incapables de bien se nourrir, l’obèse étant perçu comme une menace pour la société (« taxe obésité » dans les avions, surcoût dans les budgets de la santé, frein à la productivité, etc.)12.



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    La Vouivre La Vouivre 25 juillet 2015 18:46

    @Qaspard Delanuit
    Ach ze gue notre ami Lakaffe a ouplié te prézizer z’est l’imbortanze te la sauce miraklheu zyklon b qui allait avec le régime particulier ki a bermi à bon nompre te bassients à brofiter aux maximoumheu te la kure diététike du 3ème Reich. (dokteur Mengele)



  • 4 votes
    La Vouivre La Vouivre 25 juillet 2015 15:34

    @yoananda
    Sur une vidéo il a failli se déboîter l’épaule en coupant une botte de carottes



  • 2 votes
    La Vouivre La Vouivre 25 juillet 2015 11:54

    @wendigo
    Jiddu Krishnamurti

    Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade.

    Mais aussi :

    Jiddu Krishnamurti

    Lorsque vous vous dites Indien, Musulman, Chrétien, Européen, ou autre chose, vous êtes violents. Savez-vous pourquoi ? C’est parce que vous vous séparez du reste de l’humanité, et cette séparation due à vos croyances, à votre nationalité, à vos traditions, engendre la violence. Celui qui cherche à comprendre la violence n’appartient à aucun pays, à aucune religion, à aucun parti politique, à aucun système particulier. Ce qui lui importe c’est la compréhension totale de l’humanité.


    Mais encore :

    Jiddu Krishnamurti
    Vivre demande en fait beaucoup d’amour, un fort penchant pour le silence, une grande simplicité, énormément d’expérience ; il faut avoir un esprit capable de penser de manière très lucide, et qui ne soit pas sous le joug des préjugés ou des superstitions, de l’espoir ou de la peur.

    Et surtout :


    Jiddu Krishnamurti
    Pour être libéré de la souffrance, il faut être libéré du désir de faire du mal - et aussi du désir de faire du "bien", ce prétendu bien qui est lui aussi le résultat de notre conditionnement.





  • 6 votes
    La Vouivre La Vouivre 21 juillet 2015 19:42

    @Pyrathome
    très loin de l’esprit du sport.....

    Esprit Charlie, Esprit Canal, Esprit es tu là ????

    Ces suce gourdes à moules burnes n’échappent pas à la règle de la surenchère musculaire et de l’esprit pognon, pourquoi les blâmer ? Ce sont des drogués sur roues qui grillent leurs vies par les deux bouts, pas mieux qu’un type qui se shoote au crack pour noyer sa vie de merde dans des substances qui lui permettent de tenir un jour de plus avant de claquer comme un cloporte, pourtant pour ceux là, point de médaille ni de podium que de l’opium... Encore moins de caméra pour les plaindre.