Maintenant, Vous Démissionnez Tous
Après avoir passé deux années consécutives aux crochets de l'État, les saisonniers ne semblent pas près d’arrêter. A tel point que la pénurie de main-d'œuvre oblige certains commerces à rester fermés cet été. Et à d'autres de devoir aller chercher à l’étranger la main-d'œuvre qu’ils n’arrivent pas à trouver en France.
Tags : Economie Prospective et futur Précarité Travail Immobilier
11 réactions à cet article
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Il suffit de les payer correctement.
Si hors saisons un mobile-home on trouve à un prix correct, pendant la période estivale un salaire ni suffit pas.
Aimée et sa tante ces deux exploiteuses n’ont qu’à crever.
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@sls0
Exactement faire des heures pas possible, être traité à la baguette, voire comme un esclave, le travail n’est jamais assez bien ou assez vite fait, être payé une misère, n’avoir aucun temps libre, et aucun loisir parce que le salaire ne le permet pas, ça ne peut pas donner envie de travailler. Les saisonniers ont finit par le comprendre puisque comme il le dit dans la vidéo, ils n’ont pas envie d’un contrat qui les lie à un emploi.
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C’est facile, s’ils suppriment les dites : "aides sociales", il suffira d’exiger le rétablissement des "communs", le droit de cultiver un morceau de terrain sur la commune, d’élever des volailles sur la commune, 2/3 cochons, un ou deux cheval pour se déplacer, et le droit de couper du bois sur la commune pour se chauffer.
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Puisqu’ils ont supprimé les communs au moment de la révolution français pour justement affamer les paysans et les obliger à monter en ville pour y travailler dans les usines qui a ce moment-là avaient besoin de main d’oeuvre.
Il suffira donc de rétablir les communs et tout le monde y trouvera son compte, saut le patronat qui n’aura plus d’esclave sous la main ; Ou qui devra augmenter les salaires
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Avoir accès aux communs suffit pour vivre en fournissant 2/3 heure de travail par jour, avec aucun petit chef sur le dos, beaucoup de temps libre, et des loisirs bon marchés si on en a envie, et la possibilité de faire du troc.
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Le chantage aux aides sociales, a la suppression du chomage ne tiendra pas. -
@ged252
"Il suffira donc de rétablir les communs"
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démasqué (démaqué, je ne sais pas...)
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Surtout que le salariat ne convient pas à tous les monde, c’est une relation hiérarchique de dépendance et de sujétion.
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C’est un peu l’avant goût, contre nature, du fameux " salaire universel "
Une fois habitué, à ne recevoir que cela, tout ne devient qu’obéissance ou exclusion.
Quant aux restaurateurs, avec les aides reçues à ne rien foutre, et qui on profité à beaucoup, et mieux que si ils étaient restés ouverts, si il redistribuaient un peu plus de cet argent, gagné à ne rien foutre, si ce n’est de fermer boutique, ils s’en sortiraient mieux.
Mais voilà, un petit accord par ci, un petit accord par là, des entre sois de même intérêts, on veut bien lâcher sur les bénéfices à venir, mais pas touche au pactole, versé par l’état.
De qui se moque t’on ?
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Mais bien sur, ils ont qu’à dormir dans une tente ces feignasses, c’est confortable une tente pendant trois mois pour faire un boulot exigeant payé 1500€....
Propos de petit bourgeois.
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Les restaurateurs ont eu 30 ans pour améliorer les conditions de leurs salariés ! souvenez-vous : 1 millions d’emplois promis par le MEDEF avec la baisse de la TVA : résultat : juste une hausse des profits pour le patronat !
Ils veulent savoir si le salaire est bien ??? Qu’ils comparent à niveau équivalent la différence avec l’industrie : ils vont rougir de honte !
Sans parler des forfaits : 50 H payé 35 h ( qu’on ne me dise pas que c’est un mensonge, je l’ai vécu !)
Les jeunes ont vu leurs parents et leurs grands frères et grandes soeurs se faire traités comme des chiens pour survivre et se faire jeter à la moindre occasion et ont bien compris le manège !
aujourd’hui les négriers et autres rentiers ( propriétaires) commencent à paniquer ! les emmerdes arrivent et l’argent ne rentre plus aussi facilement dans les escarcelles ! Abroger les aides sociales ne résoudra pas le problème : le problème est plus profond : "30 ans de pile je gagne face je gagne" pour le patronnât !
Maintenant face à un jeu truqué , s’installe dans les mentalités : les rapports : perdants-perdants ! : je reste à la maison à vivoter mais ça ne me touche que peu, il y a tellement longtemps que je vivote , un peu plus un peu moins....."je sais m’adapter" mais la vrai question est : "et TOI qui prône depuis 2 décennies que tout l’argent doit aller au Capital et presque rien au travail... que va tu faire ??? T’y mettre , toi qui pour beaucoup n’a jamais rien fait ou presque de tes 10 doigts ??? Ça va être intéressant à regarder....
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@Poujade51
Ça va être intéressant à regarder....
Les guerres existent pour permettre la soumission. Tant que ceux qui les décident ne sont pas obligés d’être au front, et qu’au contraire ils peuvent exploiter la misère qu’elle produit (faire chuter le coût du travail, chantiers de reconstruction après destruction méthodique, vente d’armes, etc...), alors on aura toujours des guerres sur Terre.
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Les prix pratiqués par les cafés et les restaurants étant souvent exorbitants par rapport à ce qu’on y propose réellement à boire et à manger (souvent le même truc qu’on trouve dans le supermarché à côté 5 à 10 fois moins cher), on se demande où passe l’argent dépensé par les clients si ce n’est dans le salaire des gens qui y travaillent ? Peut-être dans les loyers, les assurances, les frais bancaires, les cotisations sociales et les impôts ? En fait, il faudrait aussi se demander ce qu’on paie vraiment dans ces lieux : la réponse n’est pas dans la nourriture, la boisson, les draps de lit, etc. On y paie surtout l’illusion d’avoir pendant un court moment des serviteurs, comme les gens très riches ont des "gens de maison" en permanence. Quand vous êtes serveur dans un café-resto, vous pouvez vous faire engueuler à la fois par le patron et par les clients, vous êtes donc un peu moins que rien. Il me semble que c’est différent dans un petit café familial ou un resto tenu par des amis associés dans l’entreprise. D’une manière générale, je constate aussi que de plus en plus de gens refusent de faire un travail qui n’a pas de sens (ce qui n’est pas stupide). Or, travailler pour faire fructifier le capital d’un autre n’a pas de sens à la base si l’on se place d’un point de vue financier. Si l’on ajoute à cela qu’il n’est pas passionnant d’apporter des plats et des boissons à des gens qui pourraient aussi bien se bouger le cul pour aller les cherchez eux-mêmes, que laver des assiettes salies par des personnes qu’on ne connaît pas n’est guère gratifiant, bref que tout ça ne peut pas constituer un but dans la vie d’un être humain, qu’en plus il ne reste parfois à ses serveurs et serviteurs ni temps ni argent pour faire autre chose d’essentiel dans leur existence... on peut comprendre la difficulté de trouver du petit personnel dans ce secteur.
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