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Ils vivent heureux à trois avec 1000 euros par mois

Portrait de Frans, un agriculteur surprenant qui a choisi de continuer à rêver.

 

J’ai rencontré Frans et sa famille à travers un voyage sans argent. Il nous parle de son choix de vie alternatif et nous rappelle à nos responsabilités sans nous juger.




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7 réactions à cet article    


  • 11 votes
    Hijack ... Hijack 12 mars 2012 15:03

    Merci pour ce document et à la famille Koster ... c’est pas mal.

    J’aurai aimé faire pareil, j’y connais rien, mais tout s’apprend !

    Quoi de mieux en effet, que de vivre dans et pour la nature ...


    • 3 votes
      webrunner webrunner 12 mars 2012 18:59

      sympa ta video. merci


      • 9 votes
        jime 12 mars 2012 19:38

        je suis dans cet esprit là, après avoir lâchement abandonné mes études d’archi en 5eme année (comme dirait coluche), je me suis tourné vers l’agriculture bio, en maraichage, élevage de chèvres et poules pondeuses

        c’est ma deuxième saison et je vis exactement ce que décrit ce reportage, dénigrement des banquiers, de la msa, qui ne nous prennent pas au sérieux, par contre du coté consommateur nous sommes chaudement accueillis. Ce décalage est intéressant, nos pseudos élites sont complètement déconnectés de la réalité de ce monde là. La vie, la vraie vie !


        • 1 vote
          Qaspard Delanuit Gaspard Delanuit 13 mars 2012 22:02

          C’est la bonne voie. A votre manière, vous êtes des pionniers. Bonne chance à vous.


        • 1 vote
          Alsace Alsace 12 mars 2012 21:13

          Un personnage sympathique avec un joli et léger accent tout à fait charmant.

          Dommage qu’on a pas vu un peu de leur exploitation. Il faut dire que dans l’agriculture de nos jours, il y a de moins en moins de demi-mesure, et une bonne part de la nouvelle génération, souvent issue de familles paysannes elles-mêmes déjà plus ou moins dans le modèle "intensif" depuis les années 70, eh bien ces jeunes là aspirent pour beaucoup à plus de gains, plus de matos, plus de terres et plus d’entreprise et avoir l’impression de trimer pour "gagner" quelque chose de valable. Il faut dire que bien des enfants d’agriculteurs, renoncent au métier pour connaitre trop bien les rigeurs parfois infernales dans le contexte actuel. D’un autre coté, un exode néo-rural massif à mon sens, acheverait d’enbourgeoiser et de boboiser ce qui reste d’authentique dans les campagnes ;


          • 4 votes
            Karash 13 mars 2012 00:59

            Cette rencontre est vraiment remarquable.
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            A première vue, l’homme peut prêter à sourire : habits " ayant vécu ", accent paysan, maniement de la langue approximatif, mais derrière, qui peut se targuer d’en avoir fait autant que lui ?
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            Avoir monté son exploitation de A à Z, la maison avec, quasiment sans l’aide de personne. J’aime particulièrement ce moment où il dit qu’il aime "créer", car c’est bien là le fond de l’affaire. Cesser de discuter, se retrousser les manches, et agir, se confronter au réel, prendre des risques.


            • 2 votes
              hieronymus73 13 mars 2012 13:17

              C’est curieux, les changements de considération d’une époque à l’autre.
              Je suis originaire du Berry, j’ai grandi dans une exploitation de 80 hectares. Quand j’étais en primaire, sur une classe d’environ 30 élèves, nous étions que deux à être les enfants d’exploitants agricole et je peux dire qu’il y avait un certain manque de considération à notre égard vis à vis des autres élèves. Je me souviens aussi du "foutage de gueule" que devait supporter le fils d’exploitants d’une ferme voisine, lorsque le car du collège s’arrêtait devant chez lui, et que le tas de fumier trônait bien imposant dans sa cour. J’étais alors bien content des 250 mètres qui séparait notre exploitation de l’arrêt du car. Mais bon, tout ça, c’est du passé et c’était une époque ou l’agriculture conventionnelle était déjà bien implantée et ou personne ne trouvait encore rien à en dire. C’était le tout début des années 80s et le monde urbain avait déjà pris de belles distances par rapport au monde rural. 30 ans après, c’est l’heure des prises de conscience. Aujourd’hui, pour ma part, je vis dans le 20ème à Paris, je suis salarié dans un milieu qui n’a rien à voir avec d’où je viens.
              Je trouve que c’est bien ce rapprochement entre le monde urbain et le monde rural et j’espère que ça permettra à la longue de diminuer le décalage qui n’a fait que prendre de l’ampleur avec l’installation galopante de l’agriculture conventionnelle après guerre. J’ai l’impression en vous lisant que ce décalage est déjà bien différent.



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