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Guerre en Ukraine : Macron, « l’ennemi de la France »

L’armée peut-elle désobéir à l’ordre d’un chef d’État ? Qui veut mourir pour l’Ukraine ? Dans un entretien qu’il a accordé au magazine Nexus, le général 2s André Coustou revient sur les récentes déclarations d’Emmanuel Macron. Le 27 février dernier, en effet, devant les représentants des 27 pays de l’UE, le chef de l’État n’excluait pas l’envoi de troupes françaises sur le sol ukrainien pour tenter de contrer l’avancée de l’armée russe. Cette déclaration avait provoqué un tollé au sein de l’Otan. Pour le général Coustou, cette question de l’envoi de troupes françaises pose la question de la légalité ou non d’une telle opération. C’est ce qu’il fait savoir dans une lettre ouverte publiée sur le site Place d’armes. Pour le général André Coustou, l’ennemi n’est pas Vladimir Poutine mais Emmanuel Macron…

Tags : France Russie Guerre Ukraine Emmanuel Macron




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3 réactions à cet article    


  • 1 vote
    beo111 beo111 7 mars 23:03

    Oui et quand on se trompe d’ennemi trop longtemps cela a des conséquences incalculables. J’ai écrit un module sur le sujet.

    Pour ce qui est de ce général Coustou je suis assez d’accord avec lui, dès le pacte de Marrakech tout le monde aurait dû voir qu’il y avait un sérieux problème.

    Mais les médias ont été assez anesthésiants sur le sujet, les médias grand public pfff, CETA, COVID, ils n’ont rien vu d’anormal, heureusement qu’il y a Nexus.


    • vote
      JL 8 mars 10:15

      Macron est une girouette. On n’a pas à hésiter entre obéir ou non à une girouette impérieuse : il suffit seulement d’attendre qu’elle change d’avis.


      • vote
        ged252 8 mars 18:00

        Macron est un psycho-rigide, il ne cède jamais.

        .

        IL n’a jamais rien cédé devant des grévistes, il n’a jamais cédé devant les gilets jaunes, il n’a rien cédé aux paysans, il leur a fait des promesses et les a nargué pendant des heures en mangeant des petits fours, pendant qu’ils attendaient l’ouverture du salon.

        .

        "Qu’ils viennent me chercher" avait-il lancé bien à l’abri derrière une armée de CRS.

        .

        Il ne cédera rien devant Poutine et la Russie, par principe.



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