L’UE, une promesse de paix et de prospérité, qu’ils disaient...
Entre une bureaucratie qui tente de réglementer tous les aspects de la nation.
Entre une religion, l’Islam qui tente de réglementer tous les aspects de la vie des peuples.
La loi, la loi... Il n’y a plus que ça. Mais ? Toute loi ne souffre-t-elle pas d’un potentiel d’application arbitraire ? Il n’existe aucun système de loi complet... Et avoir l’ambition de le compléter à la perfection, ne fait qu’engendre un monde totalitaire.
La seule chose que l’homme possède qui puisse juger du monde, dans l’infinité variété de toutes ces situations, ce n’est pas une loi - aliénation imposée par l’autre, mais la raison.
La loi, la loi, ... tout cela découle de la spiritualité juive ou musulmane... Où est passé l’esprit de la loi ?
Disparu... Dans la spiritualité chrétienne, la loi s’interprète, non pas strictement à la lettre, mais eu égard au message d’Amour du Christ qui est Premier. C’est grâce à cette fidélité à l’Amour prêché par le Christ que l’Occident chrétien, ayant peu de dogmes par rapport aux divers systèmes totalitaires du monde, connut les révolutions scientifiques dont nous utilisons les fruits.
Mais, en oubliant cette façon ordonnée de gouverner, qui consiste à placer l’esprit de la loi (L’Amour du juste, du beau, du bien et du vrai), avant l’application à la lettre de la Loi, la Loi s’est retrouvée dénuée d’esprit.
Le seul fait de l’existence d’une loi est ainsi devenue la raison de son application, y compris si celle-ci contrevient absolument aux buts initialement déclarés par son créateur...
Cette idolâtrie technocratique de la matière brute de la loi - sans changement possible du fait du fonctionnement européen, permet à l’UE, sans rire, selon l’intention déclarée de recherche de prospérité, de fermer systématiquement toutes les infrastructures de production, contrevenant ainsi sans coup férir à l’esprit initial de la loi, devenu introuvable à l’application, étant donné l’aspect erroné des moyens imaginés pour le but envisagé.
Le principe de construction de l’UE, par la loi et le règlement, est identique pour les nations européenne, aux principes qui ont guidé l’élaboration du Coran : Une loi qui s’auto-justifie inviolable et sacrée, quelles qu’en soit les conséquences et les erreurs qui s’y glissent, enflant sans cesse, réglementant de plus un plus tous les aspects de la vie communautaire.
Construire un communauté, de force, par la loi et rien que la loi, n’est rien d’autre que fonder un processus, dont l’aboutissement extrême est de fonder un monde totalitaire, la technocratie fondée n’ayant pas d’autre objectif que de travailler à sa propre extension législative, normative et réglementaire. L’UE ne s’arrête plus de faire des lois.
Entre une technocratie mercantiliste, l’UE.
Entre une technocratie théocratique, le Coran.
Entre une théocratie, préférant l’Amour à toute loi, le Vatican.
Plaçons-nous sous la protection du Vatican.