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Accueil du site > Actualités > International > Eric Laurent et les zones d’ombres du 11-Septembre

Eric Laurent et les zones d’ombres du 11-Septembre

Le journaliste Éric Laurent, auteur d’un livre sur La Face cachée du 11-Septembre, explique de quoi se nourrissent les "théories" alternatives sur le 11/9 : de zones d’ombres bien réelles ! Deux exemples sont ici donnés. Il décrit aussi les liens troubles entretenus par l’administration américaine et la famille Ben Laden.

Source : Bakchich

Tags : 11 septembre 2001




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2 réactions à cet article    


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    Trappiste rougeoyant (---.---.57.74) 25 septembre 2008 14:30

    Bonne interview, mais Eric Laurent ne fait que répéter ce qu’il y a dans son livre paru en 2004.Rien de nouveau, on tourne en rond. MAis son bouquin à l’époque m’a amené à m’intéresser au 11 septembre. Voilà du plus lourd sur lequel il serait bon d’enquêter :

    1-Dick Cheney supervisait au moment même des attentats, des simulations d’attaques qui ont complètement embrouillé la défense aérienne américaine (dont la NORAD et la FAA était en charge) au point que l’on sait.Il avait ce pouvoir depuis quelques mois seulement, par décret présidentiel.

    2-Le président et le vice-président de la commission d’enquête (Kean et Hamilton) ont reconnus dans un livre (Without precedent : Inside the 9/11 Commission) que les témoignages des membres des deux agences citées plus haut étaient faux.Les rats quiterraient-ils le navire ?

    Et le meilleur pour la fin :

    3-Georges W. Bush a reconnu lors d’une conférence de presse en septembre 2006, qu’il y avait bien eu des explosifs placés dans les deux tours. C’est Khalik Sheik Mohammed, l’homme aux 4000 complots qui lui a dit. Voyez le site officiel de la Maison Blanche :http://www.whitehouse.gov/news/releases/2006/09/20060915-2.html

    Qu’on avance un peu...Bien à vous.


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      wilkins (---.---.34.8) 9 octobre 2008 01:47

      sans vouloir jouer les rabat-joie, ce que dit Georges W. Bush dans cette conférence de presse, c’est que Kalid Sheik mohammed a, suite a son arrestation, expliqué aux agents am&ricains comment certaines opérations en cours de planification allaient être menées. Certaines comprenant des explosifs dans des buildings sur le sol américain, ça ne faisait pas référence au 11 septembre.

      Cette petite rectification n’enlève rien à l’amoncellement d’éléments qui indiquent qu’il y avait bien des explosifs dans les tours le 11 septembre.



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