Viktor Dedaj sur les médias et la mal-information
Viktor Dedaj, fondateur et chroniqueur régulier du site de ré information Le Grand soir, était à Montpellier le 09/05/2015 pour une conférence sur les médias et la mal-information (« Médias et informations : il est temps de tourner la page ! »).
1/2 - Conférence :
2/2 - Débat avec la salle :
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Tags : Information et Médias Désinformation Médias Géopolitique
13 réactions à cet article
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Excellent.A conserver précieusement et à faire circuler.
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Je conseille à tous de regarder cela jusqu’au bout ! Vraiment très intéressant !
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@liberty1st
Oui, très intéressant ! Sur un sujet très important !
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Merci de nous avoir fait découvrir Dedaj.
Je vais parfois sur Le Grand Soir, mais je ne le connaissais pas.A découvrir, pour mieux repérer les "projecteurs qui tombent du décors", et les trous noirs informationnels...-
Je suis d’accord avec les commentaires précédent.
Ce Monsieur est passionnant.A faire circuler.-
Excellent : vers 39 minutes, sa liste de "trous noirs informationnels", puis de "ruptures narratives", qui en disent long sur l’ampleur de "la fabrication du consentement" *...
* Chomsky - Herman, La Fabrication du consentement - De la propagande médiatique en démocratie
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@Éric Guéguen
ouh la la, je crains que ça ne passe au dessous ou au dessus de vos radars !Dedaj est plutôt effectiviste, il n’a pas le goût pour les mélanges de croyances, de romans, de légendes, et d’essentialisme comme vos auteurs préférés ...
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@lemi
Je me passerai volontiers de vos conseils sur l’effectivisme.
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Eh bien j’ai écouté et c’était de mon niveau lemi, contre toute attente.
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Merci pour le partage !
Bon visionnage.-
merci université réelle pour vos articles riches et variés
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Très intéressant. Viktor Dedaj a parfois des intonations à la Coluche, il doit en être fan (je parle en connaissance de cause).
Sur le fond, je le répète, c’est très intéressant. Juste une remarque : le Truman Show, c’est aussi un produit américain. Je veux dire par là que ce n’est pas de Cuba qu’il faut attendre le sursaut, surtout pas. Le sursaut ne peut venir que du ventre du mal : le capitalisme, hostile au jugement de valeur, génère lui-même son propre antidote. C’est un paradoxe fondamental. Encore faut-il être un minimum cultivé ET volontaire pour le découvrir et se l’administrer (point que Monsieur Dedaj aborde en filigrane).
Bien à vous.
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