À sa grande stupéfaction, la droite découvrit un jour que les lois de la République, le plus souvent issues de ses œuvres, pouvaient lui être appliquées, comme à tout un chacun : cette révélation fut terrible.
Certaines en perdirent la raison, y dénonçant un acte politique, alors que le Conseil constitutionnel comporte de droit douze membres à ce jour, dont trois seulement désignés par le pouvoir socialiste en 2013, seules femmes du conseil.
D'autres y virent une attaque personnelle souhaitant empêcher le résistible retour en politique d'un président déchu ayant lui-même devant les Français annoncé sa retraite définitive de la vie politique.
Tous se demandèrent où prendre du fric, puisqu'il n'était pas question d'en rendre, que mémé Zinzin était sous tutelle et le Qatar sous surveillance... jusqu'à ce qu'un Copé repense au Sarkothon, déjà lancé "avec succès" en attendant que le Conseil constitutionnel ne le douche à l'eau froide, car il serait impensable que l'on puisse déduire les deux tiers de sa souscription de ses impôts, qui ferait que l'État rembourserait une partie des sommes que le Conseil constitutionnel vient de déclarer non remboursable, et donc irait contre une décision constitutionnelle.
Lefebvre, toujours aussi érudit, me souffle le nom des interprètes d'origine : "Salvator et Adamo" : quel homme !