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"La dette, un outil d’oppression"

Cette vidéo est un montage amateur de diverses interventions traitant du phénomène des dettes souveraines.

 

Une vidéo simple, claire, directe, montrant comment nous les 99% nous avons été trahis par les politiques au profit des banquiers, et en sommes devenus les esclaves, en sachant que l'augmentation des taxes et des impôts n'est pas destiné fondamentalement à assurer le fonctionnement de l'État providence, comme le croient un grand nombre de gens, mais à permettre à une minorité de ponctionner des sommes de plus en plus importantes sur le dos de la collectivité. L'histoire de la création de la Fed, aux États-Unis, et l'apparition ensuite seulement de l'impôt sur le revenu est tout à fait édifiante.

 

Une situation inique qui ne durera pas éternellement, les gens étant de plus en plus au fait de ces choses.

 

Une vidéo et des notions à faire impérativement circuler, pour éveiller les maximum de citoyens, et permettre à terme, la destruction de ce système de prédation au profit d'une ultra-minorité absolument cynique, égoïste, et antisociale.

 

À voir !

 

Tags : Démocratie Banques Dette




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10 réactions à cet article    


  • 6 votes
    Voter Après la Monnaie Voter Après la Monnaie 23 septembre 2013 12:01

    Pour savoir ce qu’est "une dette", il faudrait déjà comprendre sur quelle base est fondée la monnaie !
    Combien savent que pour avoir de la valeur, la monnaie doit être suffisamment rare, et que pour être suffisamment rare, tout le monde ne doit pas en avoir suffisamment ?
    Dès le début, cet outil nous "met dedans".
    Aucune harmonie possible avec des "échanges" qui ne sont que des arnaques.
    Vous voulez lutter contre l’argent dette ?
    Alors arrêtons d’être les complices du système.


    • 1 vote
      rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:21

      Ils ont comme même été stupide pendant les 30 glorieuses (sans dette) avec leur esprit du "plus jamais ça" de la libération alors qu’évidement ce n’est pas l’abandon des taux de changes fixes, du crédit publique et du GlassSteagall qui a provoqué les 30 ruineuses qui ont suivies... Si jamais le CNR t’avais connu, t’imagines ? On aurait pas à se coltiner la classe moyenne issue du plus grand enrichissement de population sans dette publique de tous les temps pendant les 30 glorieuses. Le rêveeeeeeeeeeeeeeeeee  


    • 9 votes
      O Scugnizzo O Scugnizzo 23 septembre 2013 13:17

      Hé Malthus confond pas causes et conséquences ! Va dire ça aux ghanéens assis sur de l’or, que c’est la faute au pétrole, que c’est la faute qu’ils sont trop alors qu’il y a des champs à perte de vue transformés en mono-culture par les exigences du FMI et de ses ajustements structurels, en exploitations minières, en résidence de vacances, ou que s’ils sont pauvres c’est parce qu’ils sont décadents ! Va dire ça aux ouvriers de France, qu’ils sont exploités par un patron et pollués par l’environnement parce qu’il y a trop de monde sur Terre, quand ils arrivent à peine à se payer un 80m2 pour la famille alors que certains ont à leur disposition plusieurs 300m2 dans diverses villes ! T’as du culot jeannot ! Et dire qu’au début j’essayais vraiment d’argumenter avec toi, mouahaha !


    • 3 votes
      Muslim 23 septembre 2013 14:24

      s’occuper des véritables causes de la crise :
      * pic pétrolier
      * surpopulation (encouragée par la ponzimmigration)
      * robolution
      * décadence (ce genre de vidéo qui entraîne les gens vers le bas - colère, haine- en fait partie)

      Vous allez bien trop vite en besogne, tout ce que vous énoncez ne sont que des conséquences du développement logique de l’esprit moderne et du capitalisme, au vu des limites physiques de cette planète et des sociétés humaines qui "évoluent" à des rythmes différents. L’immigration par exemple n’allait pas de soi jusqu’à récemment, l’appel d’air a été créé, et la "demande" pour répondre à l’offre.  Vous gouvernements ont été littéralement chercher ces immigrés. Ils n’ont rien demandé, et les élites de ces pays ne demandaient pas mieux que de se libérer d’un "surplus" de population une fois l’indépendance obtenue. Pour les pics pétroliers, il faut incriminer votre voracité et votre forte dépendance à cette source d’énergie. Pour ce qui est de la décadence, une civilisation qui cherche à annuler sa morale traditionnelle chrétienne, certainement lourde pour les jeunes bourgeois modernes d’alors, et à la contre-carrer ou la détruire par un "débridage" des pulsions et des passions, sur le modèle de Sade, ne pouvait que tomber dans un abîme sans fond. Pourtant en trainant ici et là sur certains articles, la plupart des intervenants tire une fierté de cette civilisation, et paradoxalement qu’ils aient compris les conséquences dans laquelle la dynamique mortifère occidentale pouvaient entrainer le monde. Il semble vous manquer les connecteurs logiques qui relient l’ensemble.

      La situation dans laquelle est le monde est le résultat, l’aboutissement logique du paradigme occidental, une fois toutes les limites irréductibles humaines et écologiques intégrées dans l’équation.


    • vote
      rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 14:37

      Pic pétrolier que certain attendent avec impatience depuis 30 ans (tiens justement lors du grand retour de la finance folle et du malthusinisme dans l’indifférence généralisée). Toute cette focalisation sur les matières premières au détriment de la constante créativité humaine n’est qu’une vision statique de l’histoire, si encore c’est une vision. Il y a 5X l’équivalent de tout le pétrole jamais produit sous forme de "glace qui brûle", du thorium pour 200 ans le temps de parfaire la fusion et la lune est couverte d’hydrogène. Il y a 99% de chances que nous ne manquions jamais d’énergie (et donc les centrales les plus polluantes au charbon est une aberration)... Si une dictature malthusienne n’empêche pas notre dynamisme scientifique millénaire ! 
       
      Quand à la surpopulation, la solution est de la simple justice sociale. Mais comme c’est du développement économique la solution pour stabiliser les population, il faut sombrer dans le fatalisme malthusien pour pouvoir continuer à utiliser cette argument. Paradoxale ? Donc bien plus vrai qu’un accès direct à une vérité intemporelle. 


    • 3 votes
      Muslim 23 septembre 2013 15:19

      Peut-on vraiment reprocher au capitalisme d’avoir trop bien fonctionné ?

      Il faut savoir ce que l’on veut, ou nous constatons que la démesure et les excès de tous les outils et produits qui amènent cette situation incontrôlable et folle font parti du capitalisme (logique de l’accumulation sans limites désormais et sans freins moraux), et que son aboutissement logique, son triomphe, conduit cette idéologie à scier la branche sur laquelle elle se tient, en emportant dans sa chute l’Humanité, ou en sacrifiant régulièrement des centaines de milliers d’hommes, voire des millions, directement ou indirectement, et dans ce cas on réécrit l’Histoire en intégrant les milliards de pestiférés qui ont eu à subir les effets du capitalisme, et en proposant des solutions radicales qui ne seront pas des rustines ou de la nuance, ou une nouvelle coloration, ou nous considérons qu’il faut vivre avec ces effets, en essayant si possible de couper les têtes de l’Hydre avant qu’elles ne repoussent. Pour le moment l’indécision prédomine, les occidentaux veulent croire que demain tout ira mieux, qu’il n’y a pas lieu de s’alarmer, les choses vont forcément rentrer dans l’ordre un jour ou l’autre. Sur Agoravox on peut lire les réactions, elles sont dans l’ensemble plutôt modérées, assez peu alarmistes ou catastrophistes, parce qu’il est certainement difficile de concevoir le chaos, surtout dans un univers aussi "sûr" et "confortable" que le vôtre. Matériellement j’entends.


      • vote
        rastapopulo rastapopulo 23 septembre 2013 15:48

        Les empires privatisés sont un fait établi comme par exemple les Compagnies des Indes ou les marchands musulmans d’es-slaves sous certains califats. Pour autant "la propriété privé de moyens de production" n’est pas négative en soit. Avant la création du concept de souveraineté nationale (donc de la démocratie pour un peuple au niveau internationale) si chère à Henry IV on pouvait encore à la limite voir l’enrichissement comme automatiquement sur le dos d’autrui. Sauf que même avant la créativité humaine avait permit l’enrichissement mutuel et que c’est encore plus vrai depuis. Dans le même genre arler de la finance sans distinguer la situation actuelle avec celles des 30 glorieuses et ses taux de change fixe, son crédit productif sans intérêt et son GlassSteagall... Comment dire ? C’est plus que léger du point de vue historique mais très dans l’air du temps de ne pas s’attarder sur de menus détails ! Il est vrai que les 30 glorieuses sont aussi la réussite éclatante d’une économie mix privé-état et que c’est un peu trop élever l’esprit humain aux paradoxes que de le rappeler.


      • 2 votes
        Muslim 23 septembre 2013 16:17

        C’est plus que léger du point de vue historique mais très dans l’air du temps de ne pas s’attarder sur de menus détails ! Il est vrai que les 30 glorieuses sont aussi la réussite éclatante d’une économie mix privé-état et que c’est un peu trop élever l’esprit humain aux paradoxes que de le rappeler.

        Certainement, mais ce que j’appelle de manière impropre "capitalisme" ne pouvait pas redevenir carnassier et féroce dans l’immédiate période d’après-guerre. Alors la modération du capitalisme sur l’espace-temps des 30 Glorieuses est aussi un mirage, le capitalisme se remettant en selle et préparant sa révolution culturelle.

        Je reformule différemment, il est évident que le "capitalisme" ne pouvait se relancer à son plus haut, dans une Europe à reconstruire, et dans un contexte de décolonisation. Nous pouvons oui, se rappeler les 30 Glorieuses et se dire "Voyez comme ça fonctionnait bien", mais c’est nier, ou oublier, ou ne pas voir, que cette modération d’alors était un passage obligé pour des économies à reconstruire, littéralement, avec des espaces coloniaux qui se fermaient (en apparence, nous sommes d’accord), ce qui devaient aboutir à une redéfinition des relations Nord-Sud.

        Reformulé encore différemment (pour veiller à contenter les éventuelles objections à venir), une Europe "détruite", des USA qui ne pouvaient alors compter sur ce Marché, devait de nouveau passer par une phase de développement modeste, que nous comparerons à la croissance normal d’un organisme biologique.

        Alors le gentil capitalisme de papa, passez la génération de papa justement, devient intenable et turbulent, puis atteindra la démesure et les excès toujours plus visibles que nous constatons, dynamique logique du logiciel capitaliste.

        L’Argent étant une fin, à quoi vous attendez-vous d’autres ?


      • 5 votes
        Gabriel Gabriel 23 septembre 2013 16:47

        je cite un passage de "manifeste pour briser les chaines de l’usure" : 


        La sainteté de l’intérêt est la superstition du veau d’or :

        Il est à présent tout à fait étonnant de voir comment toute la pensée socialiste issue de Marx et d’Engels, porté sur les fonds baptismaux avec le Manifeste du parti communiste et le programme d’Erfurt (notamment Kautsky), ainsi que les caciques socialistes actuels, se mettent au garde-à-vous, comme à l’armée sur un ordre supérieur, devant les intérêts du capital financier. La sainteté de l’intérêt est le Tabou ; l’intérêt le saint des saints ; personne n’a encore osé y attenter. Alors que la propriété, la noblesse, la sécurité des personnes et des biens, les droits de la couronne, les privilèges, les convictions religieuses, le code d’honneur des officiers, la patrie et la liberté sont peu ou prou réprouvés, l’intérêt lui, demeure saint et inexpugnable. Les confiscations de fortune, les socialisations sont à l’ordre du jour, par conséquent des violations juridiques qu’au nom du prétendu intérêt commun. Tout cela est autorisé, mais l’intérêt est le « noli me tangere », le « ne me touche pas ». Le paiement des intérêts de la dette est l’alpha et l’oméga du budget de l’Etat….

        J’ai peur que l’histoire se répète.

        A cause de cette intérêt nous allons encore droit dans le mur...


        • vote
          Gabriel Gabriel 23 septembre 2013 16:47

          je cite un passage de manifeste pour briser les chaines de l’usure : 


          La sainteté de l’intérêt est la superstition du veau d’or :

          Il est à présent tout à fait étonnant de voir comment toute la pensée socialiste issue de Marx et d’Engels, porté sur les fonds baptismaux avec le Manifeste du parti communiste et le programme d’Erfurt (notamment Kautsky), ainsi que les caciques socialistes actuels, se mettent au garde-à-vous, comme à l’armée sur un ordre supérieur, devant les intérêts du capital financier. La sainteté de l’intérêt est le Tabou ; l’intérêt le saint des saints ; personne n’a encore osé y attenter. Alors que la propriété, la noblesse, la sécurité des personnes et des biens, les droits de la couronne, les privilèges, les convictions religieuses, le code d’honneur des officiers, la patrie et la liberté sont peu ou prou réprouvés, l’intérêt lui, demeure saint et inexpugnable. Les confiscations de fortune, les socialisations sont à l’ordre du jour, par conséquent des violations juridiques qu’au nom du prétendu intérêt commun. Tout cela est autorisé, mais l’intérêt est le « noli me tangere », le « ne me touche pas ». Le paiement des intérêts de la dette est l’alpha et l’oméga du budget de l’Etat….

          J’ai peur que l’histoire se répète.

          A cause de cette intérêt nous allons encore droit dans le mur...



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