Ok ! Donc c’est parce qu’il ne remet pas en cause la farce des républiques "démocratique" que vous le critiquez ?
"L’autre chose. Si on exclue en pensée les personnes condamnées pour actes de barbarie sur personnes âgées et celles qui ont commis des viols sur des teckels innocents, en effet on peut considérer, de mon point de vue, que les "militants engagés" sont la lie de la population. "
Donc en faite vous accusez l’upr d’être comme FI et le FN, des groupes organisés par les oligarques dans le but de maîtriser tous mouvement protestataire naissant ?
Je suis d’accord avec la fin de votre message, mais de la à dire qu’ils sont la lie de la population, c’est peu être un peu exagéré non ?
En effet dans ce sens là l’optimisme peut faire partie de la critique :)
Mais d’un point de vue purement technique, s’il y à si peu d’auteur qui s’essai à "l’uchronie optimiste", c’est que c’est pas évident de faire une histoire intéressante quand tous se passe bien (pas d’éléments perturbateur).
Même si dans l’exemple que tu exposes, mon opinion serai plus qu’il y aurait eu d’autre massacres et d’autre guerres pour d’autre excuses, mais chaque oeuvre n’est que le reflet du point de vue de son auteur.
Et pour la mode des zombies plus haut, si on en vois autant dans le JV c’est parce leurs IA est très facile à coder (c’est très con un zombie) et ça choque pas plus que ça d’en voir plein de clones, le méchants parfait pour un développeur :p
La SF essai avec plus ou moins de réussite, de faire une critique du présent en imaginant le futur (en mode si on continue comme ça voilà ce qui pourrait arriver), C’est dur de faire une critique, si le future qu’on décrit est le monde des bisounours. (Le meilleur des mondes ?)