Belle illustration du conspirationnisme paranoïaque, qui "étiquète" quelqu’un sans avoir lu son livre et décrète que celui qui ne décline pas après lui son discours stéréotypé est un "néolibéral" ; décidément, il est inutile de débattre avec les interlocuteurs présents sur ce site ; j’espérais tomber sur des gens qui ont quelque chose à dire, mais ce n’est pas le cas, pas de chance. Bon dimanche à tous.
Toutes les réponses à ces questions sont l’objet de mon livre ; et, si j’avais pu les énoncer et les argumenter en quelques phrases d’un commentaire, je n’y aurais pas consacré un livre, justement.
Mais ici, uniquement aux questions en rapport avec ce bouquin, c’est bien clair ; je ne suis pas un présidentiable qui doit répondre à tout moment sur toute question -ni, surtout, avoir des réponses suffisamment originales pour mériter d’être publiées si elles n’ajoutent rien à ce que d’autres ont déjà dit. Vos allusions sur Israël deviennent lourdingues et cousues de fil blanc ("Freud, Einstein et Marx "démasqués") ; il en est d’ailleurs question dans le bouquin, mais pas sous l’angle que vous tenez à me faire aborder ici. Un bon conseil : n’achetez pas mon bouquin.
Désolé, mais je n’ai pas à me laisser entraîner dans des questions (loi Pompidou de 1973, possible agression israélienne contre l’ Irak, etc.) peut-être plus intéressantes que mon livre, mais sans aucun rapport avec lui : si je n’ai pas répondu à la question du journaliste (qui ne l’avait pas lu, sinon il ne me l’aurait pas posée), ce n’est pas pour répondre à la même question reposée par vous. Vous voulez que je parle d’autre chose parce que vous êtes enfermé dans votre autisme, et par besoin de m’"étiqueter" et de prouver que c’est vous qui voyez ce qui est important ? Mais c’est très possible ! Écrivez donc aussi un livre, et on en parlera alors ; ou attendez que j’y consacre un article sur le site de Marianne, si je trouve des choses originales à dire à ce sujet (sinon, ce n’est pas la peine).