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ged252

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  • Premier article le 09/07/2016
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Derniers commentaires




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    ged252 8 février 2012 17:22

    Jean 1-1 ;
    Prend des notes parce que je ne vais pas me répéter ;

    Jn 1:1-Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu. Jn 1:2-Il était au commencement avec Dieu. Jn 1:3-Tout fut par lui, et sans lui rien ne fut. Jn 1:4-Ce qui fut en lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes. Jn 1:5-et la lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas saisie.
    Jn 1:9-Le Verbe était la lumière véritable, qui éclaire tout homme ; il venait dans le monde. Jn 1:10-Il était dans le monde, et le monde fut par lui, et le monde ne l’a pas reconnu. Jn 1:11-Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas accueilli.
    Alors arrêtes de parler car tu t’incarnes en Dieu lorsque tu parles mais tu le fais pour dire du mal de Dieu alors que dans le même temps tu profites de la lumière.


  • vote
    ged252 12 janvier 2012 09:57


    Les pathologies de l’autorité chez les fascistes, faites semblant de ne reconnaitre personnes, surtout pas Fourest :
    .
    "À ces trois premiers types fondamentaux s’ajoutent, dans l’étude d’Adorno, deux formes qui marquent des infléchissements occasionnés par des pathologies individuelles et qui peuvent prédisposer à l’engagement actif dans des mouvements fascisants. On trouve d’un côté, le syndrome du rebelle, du marginal porté à la surestimation paranoïaque de soi et à la destruction de ce qui existe. Et l’on a de l’autre côté, le syndrome du manipulateur ici, « les notions rigides deviennent des fins plutôt que des moyens,et le monde entier est divisé en domaines administratifs vides, schématiques »2. On se trouve, selon Adorno –, proche de la schizophrénie, car il s’agit d’ « une sorte de superréalisme compulsif qui considère tout et tout le monde comme un objet qui doit être traité, manipulé, saisi par les modèles théoriques et pratiques du sujet »
    .
    "La difficulté est particulièrement perceptible lorsque, dans la liste des neuf signes psychologiques essentiels dégagés par les auteurs (conventionnalisme, conformiste, soumission à l’autorité, agressivité autoritaire, refus de l’introspection, superstition, dureté, tendance au dénigrement d’autrui, projectivité, tendance à exagérer cyniquement la place des motifs bas, en particulier sexuels, dans la vie des hommes), l’autoritarisme semble constituer à la fois une partie et le tout du syndrome."



  • 9 votes
    ged252 3 janvier 2012 13:41

    La gauche c’est de la racaille, le type n’a eu que ce qu’il méritait.
    .
    Les indignés c’est de l’agit-prop gauchiste pour faire croire qu’ils s’indigneraient comme si des malhonnêtes pouvait s’indigner.
    .
    Comme la racaille, les gauchistes sont persuadés de leur impunité quoiqu’ils fassent, ils ne culpabilisent que lorsqu’ils sont punis, il faut les punir pour qu’ils comprennent qu’il font le mal.



  • 4 votes
    ged252 28 décembre 2011 12:03

    Vous soufflez le chaud et le froid, La Fontaine, Le Satyre et le Passant :
    .

    Au fond d’un antre sauvage

    Un satyre et ses enfants
    Allaient manger leur potage,
    Et prendre l’écuelle aux dents

    On les eût vus sur la mousse,
    Lui, sa femme, et maint petit ;
    Ils n’avaient tapis ni housse,
    Mais tous fort bon appétit .

    Pour se sauver de la pluie,
    Entre un passant morfondu.
    Au brouet on le convie :
    Il n’était pas attendu .

    Son hôte n’eut pas la peine
    De le semondre deux fois.
    D’abord avec son haleine
    Il se réchauffe les doigts .

    Puis sur le mets qu’on lui donne,
    Délicat, il souffle aussi.
    Le satyre s’en étonne :
    "Notre hôte, à quoi bon ceci ?

    - L’un refroidit mon potage ;
    L’autre réchauffe ma main.
    - Vous pouvez, dit le sauvage,
    Reprendre votre chemin .

    Ne plaise aux dieux que je couche
    Avec vous sous même toit !
    Arrière ceux dont la bouche
    Souffle le chaud et le froid !

    *****************************
    tiré d’ésode :

    L’HOMME ET LE SATYRE

    Jadis un homme avait fait, dit-on, un pacte d’amitié avec un satyre. L’hiver étant venu et avec lui le froid, l’homme portait ses mains à sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda pourquoi il en usait ainsi. Il répondit qu’il se chauffait les mains à cause du froid. Après, on leur servit à manger. Comme le mets était très chaud, l’homme le prenant par petits morceaux, les approchait de sa bouche et soufflait dessus. Le satyre lui demanda de nouveau pourquoi il agissait ainsi. Il répondit qu’il refroidissait son manger, parce qu’il était trop chaud. « Eh bien ! camarade, dit le satyre, je renonce à ton amitié, parce que tu souffles de la même bouche le chaud et le froid. »

    Concluons que nous aussi nous devons fuir l’amitié de ceux dont le caractère est ambigu.

      *********************************************************************************************

    Vous avez compris ce que cherche à vous faire comprendre la propagande et vous le répétez fidèlement en vous prenant pour une lumière.
    Vous et les gens comme vous, Vous êtes la droite molle, incapable de contrer la gauche, la droite bête : incapable d’avoir des idées différentes de celles que la propagande, la droite superstitieuse : terrorisée à l’idée que les médias ou l’opinion du public vous traite de ..... choisissez .. xénophobe,, raciste, antisémite, renfermé sur vous même, bête immonde ect, la droite lâche : qui n’a pas le courage d’assumer ses propres idées et qui se met dans le sens du vent de l’opinion dominante imposée par les journalistes, la droite quantique, qui se caractérise par l’indétermination du combat et des idées.

    Une droite identique à la gauche, enfin  !

     


  • 1 vote
    ged252 16 novembre 2011 13:35

    L’extrème gauche n’a rien inventé, tout était déjà dans la politique d’Aristote, et il n’était pas communiste mais anti communiste, il le dit au début de la "politique". Un extrait sur les classes soliales : 

    **********************************************************************************

    * Liv. II, chap. 20 et 21. ARISTOTE POLITIQUE

    Toute société politique se divise en trois classes, les riches, les pauvres et la classe moyenne. S’il est vrai que la médiocrité ou le moyen terme est le point de perfection, la médiocrité de fortune sera le bien le plus desirable ; du moins est-il constant, que l’homme, dans cette position, est très disposé à suivre la voie de la sagesse.

    Voyez l’homme fier de sa beauté, de ses forces, de sa naissance, ou de ses richesses ; voyez le pauvre accablé par la misère, le défaut de moyens et l’humiliation : tôus deux sont souvent sourds à la voix de la raison. Les premiers sont insolents et orgueilleux ; les autres deviennent fourbes et fripons. De là, mille injustices, résultat nécessaire de la méchanceté et de l’insolence ; également déplacés dans un conseil et dans une tribu, les uns et les autres sont très dangereux dans un État. Ajoutez que des hommes puissants par leurs richesses, leurs forces, leurs amis, et tant d’autres moyens, ne veulent ni ne savent obéir. Ils sucent l’indépendance avec le lait : élevés au sein de toutes les jouissances, ils commencent dès l’école à mépriser la voix de l’autorité. Les pauvres, au contraire, obsédés par la détresse, perdent tout sentiment de dignité : incapables de commander, ils obéissent en esclaves, tandis que les riches qui ne savent pas obéir, commandent en despotes. L’État n’est alors qu’une agrégation de maîtres et d’esclaves ; il n’y a point là d’hommes libres. Jalousie d’un côté, mépris de l’autre, où trouver l’amitié, et cette bienveillance mutuelle qui est l ame de la société ? Voudrait on voyager avec un compagnon qu’on regarde comme un ennemi ?

    Un État, d’après le vœu de la nature, doit être composé d’éléments qui se rapprochent le plus possible de l’égalité. Or telle est la classe intermédiaire. Elle est l’élément que la nature destine à la composition de l’État ; c’est par elle que l’État sera bien gouverné ; c’est encore cette classe moyenne, dont l’existence est la plus assurée : elle ne desire pas le bien d’autrui comme les pauvres ; sa fortune n’est pas convoitée comme celle des riches ; elle ne conjure point, on ne conspire pas contre elle, elle vit dans une profonde sécurité ; c’est la pensée si vraie de Phocylide * :

    Honnête médiocrité, objet de mes voeux.

    Oui, il est vrai que la classe moyenne est la base la plus sûre d’une bonne organisation sociale  ; il est vrai qu’un État aura nécessairement un bon gouvernement si cette classe a la prépondérance sur les deux autres réunies, ou du moins sur chacune d’elle » en particulier. C’est elle qui, se rangeant d’un côté, fera pencher l’équilibre et empêchera l’un ou l’autre extrême de dominer ; aussi les gouvernants jouissant d’une honnête aisance assureront-ils le bonheur de l’Etat. Si le gouvernement est entre les mains de ceux qui ont trop ou trop peu, ce sera ou une fougueuse démocratie ou une oligarchie despotique. Or, quel que soit le parti dominant, l’emportement de la démocratie ou de l’oligarchie conduit droit à la tyrannie. La classe moyenne est bien moins exposée à tous ces excès. Nous en développerons les causes, lorsque nous traiterons des révolutions. Un autre avantage inappréciable de la classe intermédiaire, c’est qu’elle seule ne s’insurge jamais : partout où elle est en majorité, on ne connaît ni ces inquiétudes, ni ces réactions violentes qui ébranlent le gouvernement. Les grands États sont moins exposés aux mouvements populaires. Pourquoi ? parceque la classe moyenne y est nombreuse. Mais les petits États sont souvent divisés en deux partis, parce qu’on n’y trouve que des pauvres et des riches, c’est-à-dire les extrêmes sans intermédiaire.

    C’est cette classe moyenne qui assure aux démocraties une solidité et une durée que n’a pas le régime oligarchique. Elle est ordinairement nombreuse dans les démocraties, et y parvient aux honneurs plus aisément que dans l’oligarchie. Mais, s’il arrive que le nombre des pauvres augmente, et que la classe moyenne ne croisse pas dans la même proportion, le corps politique éprouve des convulsions qui le conduisent bientôt à la mort.

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