Sauf erreur de ma part, je crois que la Voie Lactée — notre galaxie, donc — comprend quelque 100 millions d’étoiles ; et non 100 milliards comme vous l’écrivez. Vous me direz qu’à une telle échelle, quelques zéros de plus ou de moins...
En l’occurrence ce n’est pas son cas. Je voulais simplement dire qu’elle est au moins curieuse, opiniâtre et a priori pas trop bête. Maintenant c’est vrai, les caniches savants ça existe — et les journalistes ou les gens de la com’ (je sais de quoi je parle pour avoir été les deux !) sont plutôt des teckels en meute et même en essaim. Elle a pour sa part un côté chien de salon.
@albert123 Bien de votre avis. Comment dire... j’écoute cette jeune femme assez sympathique, et je suis saisi par un sentiment de vacuité, d’inconscience totale ; ce dont me paraît témoigner son allégeance à peu près spontanée à tous les faux concepts, les mots-clés creux, les gimmicks que charrie l’époque, par fournées sidérantes, et dont son langage est émaillé. Je suis allé consulter sa page LinkedIn... en anglais bien sûr, pour faire "in". Ce qui est dingue, c’est que la fille parle cinq langues, est surdiplômée... pourtant, pas un atome d’intelligence n’émane de son discours. C’est vraiment une caricature de cette figure apocalyptique : le "bon pro". "L’entreprise est violente", observe-t-elle : mais à aucun moment l’idée du combat politique ne lui traverse l’esprit (elle parle à un moment de "réflexion collective" pour élaborer des "garde-fous"... mais c’est du vent !). En fait, ce témoignage est insupportable : elle ne nous parle que de sa petite pomme — et son effort d’universalité n’excède pas la cause, non des femmes, mais de l’arrivisme social de quelques unes. Bref, nul !