• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV Mobile

kaoelha

kaoelha

Cet auteur n'a pas encore renseigné sa description

Tableau de bord

  • Premier article le 14/03/2013
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 40 7
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0


Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires




  • 5 votes
    kaoelha kaoelha 18 juillet 2018 13:03
    c’est vrais que c’est tellement couteux par apport a l’allopathie lol.
    mais aussi mon homéopathe (d’orientation anthroposophique) me prescrit depuis 17 ans en priorité les produits WELEDA. Il m’a en effet parlé des autres labos (surtout de BOIRON) qu’il condidère comme des labos profitant à fond du système ... donc ayant la même "philosophie" que les laboratoires classiques (allopathie) : le PROFIT avant tout, au détriment de la qualité et de l’éthique homéopathique.




  • 2 votes
    kaoelha kaoelha 18 juillet 2018 12:06
    salut,
    vidéo a voir sur le sujet



  • 2 votes
    kaoelha kaoelha 24 juillet 2013 11:39

    pour une fois que robin fait une vidéo correct ,il stigmatise la communauté ,c’est horrible de xénophobie et plus grave d’antisémitissssssme,je vais contacter le consistoire la licra le crif et si sa suffi pas le b’nay brit ,tu va pas rigoler longtemps roubinou



  • 1 vote
    kaoelha kaoelha 21 juillet 2013 17:00

    ces bohommes sont pas bien objectif ,encor moin que riz c’est pour dire,j’ai vu que c’est un cercle de communistes je comprend mieux,un peu les soviets a Nuremberg ,les nazis étaient avec la bank et le patronat ,c’est eux qui on voulu la guerre des antisemite blablablabla

    Delaisi Francis - La révolution européenne

    Francis Delaisi (1873-1947) est un écrivain, journaliste et économiste français. Socialiste, il collabore au journal La Vie ouvrière, est membre du comité central de la Ligue des droits de l’homme et membre directeur du Comité de vigilance des intellectuels antifascistes jusqu’en 1939. De 1927 à 1932 il est secrétaire général de l’Union pan-européenne ; c’est un proche d’Aristide Briant et l’ami d’Anatole France. Il est de ceux qui pensent que l’Europe ne connaîtra une paix durable qu’avec une France et une Allemagne rapprochées, reposant sur le principe de « la liberté de chacun d’être ou non fasciste ou démocrate, antisémite ou philosémite », ce qui lui vaudra à la Libération d’être dénoncé comme collaborateur ; il bénéficiera d’un non-lieu. Pourfendeur des « deux cent familles » il est déçu par le double jeu du régime de Vichy à l’égard des trusts, vend sa bibliothèque pour se procurer un peu d’argent, et quitte Paris en octobre 1941 pour se retirer chez sa sœur à Laval.

    C’est là qu’il écrira La Révolution européenne.

    Francis Delaisi se veut pédagogue et c’est avec des phrases simples et des exemples concrets qu’il amène le lecteur à comprendre le système économique libéral basé sur l’étalon-or, « une invention de commerçants, non de producteurs » et qui, alors que l’on pourrait penser que cet adossement de la monnaie sur le métal est un gage de stabilité, « est en réalité un compresseur des niveaux de vie, un frein au progrès social  ». En décortiquant le mécanisme bancaire de la « machine à fabriquer des dollars », l’auteur fait l’analyse des causes qui, en Amérique, ont mené au krach de 1929, mais il explique aussi pourquoi les mesures prises alors par l’État - parce qu’il n’a pas remis en cause les fondements de l’économie libérale mais a, au contraire, tenté de jouer avec les mêmes leviers qu’elle - n’ont finalement fait que d’aggraver et propager ses terribles conséquences.

    Se relevant à peine de la crise hyperinflationniste de 1923 et affaiblie par les réparations fixées par le Traité de Versailles, l’économie allemande fut l’une des plus durement touchée. La fuite des capitaux a vidé les caisses de l’État qui, bien qu’à la tête d’un pays muni de solides industries, compte en 1933 six millions de chômeurs. C’est alors que, tournant le dos à l’étalon-or, et fort de l’idée que le travail étant « la source universelle de toutes les richesses, il est donc naturel qu’il soit la commune mesure des biens qu’il a créés », le régime national-socialiste invente l’étalon-travail, qui permet de remettre en route la machine économique et d’assurer à l’ouvrier « cette indépendance matérielle sans laquelle la liberté politique et la dignité de la personne humaine ne sont que des mots. » Parallèlement, il met en place un système de troc avec d’autres pays, souvent ses voisins, échangeant des produits agricoles et des matières premières contre des biens manufacturés allemands. Parce que le Reich fait le constat qu’il n’a pas assez de ressources pour échapper seul à l’économie de marché et à la finance internationale, il invite les autres pays européens à former ensemble un seul marché intérieur, un seul « espace vital économique », jetant les bases d’une union européenne au bénéfice des populations et non à celui du capital, sur le modèle de cette révolution allemande qui « par un paradoxe surprenant, [...] aura fait entrer dans la réalité quotidienne à la fois le vieux rêve du socialisme et la plus profonde aspiration du christianisme ancien. »

    C’est à l’étude de cette Révolution européenne à laquelle l’auteur espérait faire adhérer la France, que nous sommes conviés.

    http://www.histoireebook.com/index.php?category/D/Delaisi-Francis



  • 1 vote
    kaoelha kaoelha 20 mars 2013 18:05

    a le gengin du siècle ,manifique

Voir tous ses commentaires (20 par page)

Les thèmes de l'auteur


Publicité


Publicité


Palmarès

Publicité