Vous savez Glub, on peut avoir pour le Peuple quelque sympathie spontanée sans ignorer néanmoins que l’on a affaire en Lui à une espèce d’entité, un concept flou ! Oui, car Peuple à l’esprit plastique, influençable, comme en recherche de soumission. Peuple nietzschéen d’esclaves encore, de sous-hommes ne demandant qu’à « se faire mettre ».

Mais aussi, Peuple parfois magnifique de spontanéité et d’entraide. Le Peuple est décevant c’est vrai, surtout quand ceux qui le forment votent tels des veaux ! Mais, malgré tout, peut-on lui en vouloir ? Oui !... et non aussi, car Il n’a pas la vie facile, Lui. Et puis moi, je trouverais toujours plus bandante la jolie caissière qui passe sous sa douchette les préservatifs que je viens d’acheter que la Carla de l’autre pitre -aussi excitante qu’un écran plat (lisse, mais lisse alors !).

Oui, Il n’a pas les privilèges, prébendes et autres avantages des élites, notre Peuple, non ? C’est vrai, il faut Le brusquer ! nulle révolution ne s’est faite autrement. Sinon, on s’en réduit à de la démagogie de bas étage, de ceux de gauche qui disent aimer les masses et les fuient telles la peste.

Certes, c’est dur de voir ces C... ne pas ciller devant tel pantin qui nous gouverne et les manipule autant que faire se peut. Mais qui a dit que la vie serait facile ? En tout cas, pas moi !

Moi, qui suis loin d’être un petit-bourgeois comme vous dites (abuseriez-vous du marc de café ?), mais qui a tout refait dans sa maison -because, bricolage alimentaire !- du sol au plafond, des murs extérieurs au toit... car posséder sans mériter, c’est bon pour qui est né dans la soie !

Et, quant à mon antisionisme, sachez qu’il est l’aboutissement de moult réflexions ! Le plus subtile ne s’atteint qu’en dernier lieu... il prend du temps à s’appréhender, mais alors tout converge en sa direction ensuite. Alors, plus les cris d’orfraie des vierges effarouchées d’en face atteignent vos oreilles, plus vous savez que vous mettez les pieds là où il ne faut pas (pour eux) -et là où il faut, pour vous !

Le délit même de conspirateur, de théoricien du complot vous avertit d’une proximité dangereuse, celle entrevue par vos adversaires mêmes -paniquant alors que vous vous rapprochiez ainsi sans vergogne de quelques vérités indicibles.

N’êtes-vous pas de fait un loup pénétrant dans la bergerie où les agneaux broutent tranquillement l’herbe réservée à tous, une herbe atlanto-sioniste, n’est-ce pas (j’enfonce le clou : ah, ma manie du bricolage !) ?

Une consolation : jour après jour, ce que j’avais prévu naguère se produit, et ça, on a beau dire, ce n’est guère la preuve que l’on se trompe.

Et puis, il reste la vie, n’est-ce pas ! ce diamant brut prenant toute sa valeur loin du regard des hommes. Nul besoin de rejoindre Richard Geere et de se faire bouddhiste assermenté pour l’atteindre d’ailleurs !

Voltaire nommait ceci un jardin (intérieur) à cultiver, une fois son Candide désillusionné par le monde et rentré au bercail !

Alors, cultivons petit patapon, cultivons et buvons aussi tant que l’abruti qui nous gouverne ne nous en empêche pas !

Pas bon un président qui n’aime pas le vin, hips ! pas bon du tout, ça !

Cultivons, buvons rions et labourons nos femmes, profitant que l’homosexualité ne soit encore obligatoire (normal, dans un monde d’enculés !)...

Bon, je vais faire une sieste -j’ai tous les défauts du monde et le boulot m’épuise !- après cette sacré roteuse que je viens d’ingurgiter, cet or blond qui me projette mentalement dans tous les décolletés du monde -bien ronds, où y glisser ma main guidée par l’appétence !

Hips, pour la vie et non contre, camarade ! Et, rhôooo aussi !