S’il y a de l’hermaphrodisme dans l’air, il conviendrait alors de s’interroge sur la seule question qui vaille, à savoir, que dit la réglementation concernant les athlètes hermaphrodites (genre hybride) ?
Les hermaphrodites ont parfaitement le droit de choisir la discipline dans laquelle ils (elles) souhaitent concourir, et nulle autre personne détenteur ou pas d’une parcelle d’autorité ne peut leur infliger une limitation de la pratique d’un sport individuel ou collectif, et ce, quel qu’il soit.
Sentéro se plante comme toujours (un idiot tel que lui ne déroge jamais à la règle qui fait de lui un imbécile patenté) dans son raisonnement insensé, notamment quand il ose énoncer qu’en cas d’hermaphrodisme avéré, l’athlète perderait automatiquement sa médaille (de plein droit) alors que le réglement sportif relatif aux conditions d’admission des athlètes parmi les différentes catégories existantes (Homme/Femme/Enfants/Handicapés/Animaux/Aliens) dans les disciplines ouvertes aux compétitions sportives ne prévoit certainement pas une exclusion absolue des hermaphrodites (à la compétition sportive), mais plutôt un témpérament induisant une obligation de déclaration préalable accompagnée des certificats médicaux justifiant précisément, le cas échéant, le rapport des caractéristiques physiologiques et biologiques (d’ordre sexuel) mentionnant les éléments majoritaires tendant à conclure l’appartenance de l’athlète concerné au genre féminin ou masculin.
A vous la rue cognac-jay.