Les mimétismes.
Notre président a attiré à lui
tout ceux qui, dans le parti socialiste, étaient des hommes à tendance de
droite qui n’avaient pas eu la chance d’avoir acquis une place à droite.
Et notre président n’a pas eu à
choisir longtemps tant il est vrai que de se dire de gauche ferait presque rire
dans la position de DSK.
Et notre brave Hollande qui a
déjà déposé sa candidature ; il ne croit tout de même pas être élu !
Une candidature contre qui avec si peu de moyens et si peu d’envergure.
Le sourire de DSK traduit une
ambition qui se dévoile. Peu d’hommes résistent à la tentation de la présidence
de la France. On a vu là, l’orgueil flatté.
Si cette présidence était autre
chose qu’une espèce de gloire, d’ambition de pouvoir mais une charge de responsabilité
écrasante, il y aurait moins de candidats.
Dans les associations, on ne se
bouscule pas pour la présidence, que je sache !
Si les médias déploient le tapis
rouge sous les pieds DSK, c’est qu’ils ont reconnu qu’ils pourraient continuer
de bien vivre sous son régime.
Lamy et DSK, deux belles
réussites sociales, l’un auprès des lobbies pharmaceutiques et l’autre au FMI.
Le socialisme ouvre toutes les voies, tous les arrivismes.
La machine à confondre la droite
et la gauche fonctionne depuis un certain temps, c’est aussi la machine à
polluer les convictions, les valeurs humaines, les corps et les âmes..
L’important n’est plus la rose
quand son parfum s’est affadi à ce point. Jacques Lang, lui, avait loupé son
entrée à droite.
On aura en 2011, le gouvernement
que l’on aura mérité du fait de notre manque d’exigence à réclamer des
politiques une véritable justice sociale. De gauche ou de droite, on aura une
politique de droite au plus mauvais sens du terme, c’est la tendance, comme on
dit.
Quand on vit de la gabegie, on
n’a pas envie qu’elle cesse, parlez en aux médias.