Un peu de Céline, dans le texte, extraits de l’Ecole des cadavres :
Les juifs, racialement, sont des monstres, des hybrides, des loupés
tiraillés qui doivent disparaître. […] Dans l’élevage humain, ce ne
sont, tout bluff à part, que bâtards gangréneux, ravageurs,
pourrisseurs. Le juif n’a jamais été persécuté par les aryens. Il s’est
persécuté lui-même. Il est le damné des tiraillements de sa viande
d’hybride.
/.../
Je me sens très ami d’Hitler, très ami de tous les Allemands, je trouve
que ce sont des frères, qu’ils ont bien raison d’être racistes. Ça me
ferait énormément de peine si jamais ils étaient battus. Je trouve que
nos vrais ennemis c’est les Juifs et les francs-maçons. Que la guerre
c’est la guerre des Juifs et des francs-maçons, que c’est pas du tout la
nôtre.
Refuser de célébrer Céline, c’est avant tout refuser de célébrer ça.