Pour dire qu’il y a du racisme, il ne suffit pas de relever les insultes ou les agressions, sinon tous les délinquants et les criminels du monde seraient "racistes".

Je vous parle du rejet en réaction à un racisme réel et ancien CONTRE les "colorés".

Je ne parle pas non plus des comportements débiles des racailles de banlieue ou, comme disait l’autre commentateur, des musulmans new look qui jurent par la Mecque et autres stupidités.

Je suis bien d’accord avec l’avis de l’algérienne citée dans un commentaire et selon laquelle en Algérie par exemple, de tels comportements sont une bizarrerie.

Entièrement d’accord. Et j’ajoute que ces petits cons font honte aux maghrébins de "là-bas" : siffler la marseillaise, traiter les français de "fromage" et d’autres délicatesses. Même l’Islam que je vois ici me paraît étrange : renfermé sur lui-même, agressif, intolérant alors que même Ali Belhaj en Algérie, chef islamiste est quand même plus "ouvert" que ces musulmans d’occasion.

Le racisme selon moi n’a rien à voir avec ça. Pour dire qu’il y a racisme, il faudrait de la discrimination dans la vie quotidienne : accès à l’éducation, à l’emploi, au logement, carrière égale avec tous les autres, respect...

Or, un tel racisme "anti-blancs" qui empêcherait les "blancs" de vivre normalement leur vie sociale ou professionnel, je regrette mais il n’existe pas.

Dénoncez la haine du blanc ou ce que vous voulez mais ce n’est pas du racisme.