Unjour les peuples érigeront des Tribunaux Planétaires pour juger tous
les psychopathes et sociopathes, et les crapules en tous genres, qui ont
transformé cette belle planète en une poubelle toxique et radioactive.
En effet, la première phase de décontamination serait, en toute
logique, une phase de décontamination du tissu social car il ne sert à
rien de décontaminer la biosphère si les prédateurs militaro-industriels
continuent de l’empoisonner avec entrain. La décontamination du tissu
social est un impératif urgent si l’on veut aider l’espèce humaine à
passer le cap de cette extinction présente. Les prédateurs
militaro-industriels doivent être neutralisés par tous les moyens
imaginables. C’est alors qu’il sera possible de stopper toutes les
centrales nucléaires, d’interdire l’agriculture chimique, de condamner
toutes les multinationales biocidaires, d’éliminer toute la presse
globaliste, de mettre fin au hold-up financier…
En bref, il nous faut promouvoir une insoumission totale aux
Autorités qui fonctionnent dans un vide intégral d’autorité morale et
spirituelle, le Nouvel Ordre Mondial. Lorsque leurs valets d’Etat seront
neutralisés, les multinationales s’effondreront car elles ne subsistent
que grâce à la corruption généralisée.
C’est cette corruption qui permet à TEPCO, au gouvernement Japonais
et aux diverses Autorités Occidentales de mentir effrontément en
prétendant que la situation à Fukushima est stabilisée et qu’il n’existe
aucun danger radioactif pour les peuples de la planète qui sont
maintenus, de force, dans l’ignorance la plus crasse. En France, qu’en
est-il des ONGs auto-déclarées anti-nucléaires ? Le Réseau Sortir du
Nucléaire renvoie ses lecteurs vers le New-York Times pour des infos sur le statut des “réacteurs endommagés” de Fukushima. Soyons sérieux, les réacteurs ne sont pas endommagés, ils sont détruits
et il serait plus authentique d’orienter les lecteurs anglophones vers
des blogs dédiés à cette problématique plutôt que vers la grande presse
US. On en viendrait presque à se demander pour qui roule le Réseau
Sortir du Nucléaire depuis qu’ils en ont éjecté Stephan Lhomme qui vient de créer son propre Observatoire du Nucléaire. Quant à Greenpeace, les platitudes, sur son site,
concernant Fukushima, sont pathétiques : la transcription des
communiqués du gouvernement Japonais ne constitue pas de l’information,
c’est de l’intox. Rappelons que Greenpeace, tout autant que le Réseau
Sortir du Nucléaire, ont cautionné l’immense farce du Grenelle de
l’Environnement, ce qui est déjà tout un non-programme nucléaire !
C’est en fait l’Association Next-up
qui tente le plus sérieusement de présenter des informations, au jour
le jour, en France. Nous conseillons aux lecteurs, également, le site de Jean-Pierre Petit dont les dossiers techniques et scientifiques sont toujours magnifiquement étayés. Quant à la Criirad,
elle n’a pas présenté de nouvelles récentes depuis son communiqué du 12
avril. On conçoit aisément qu’il n’est pas facile pour de petites
associations, sans moyens financiers, de tenter de percer le mur opaque
du secret qui a été érigé autour de la centrale nucléaire de
Fukushima-Daiichi : ce n’est pas un sarcophage de béton qui a été érigé
autour des réacteurs de Fukushima, c’est un sarcophage
quasi-impénétrable de mensonges et d’intox. Qui a évoqué la forte
probabilité qu’une explosion nucléaire, et non pas une explosion à
l’hydrogène, a eu lieu dans le réacteur 3 ? Personne à part quelques physiciens ou ingénieurs nucléaires qui ne pratiquent pas la langue de bois : Leuren Moret, Arnie Gundersen, Chris Busby…
Et aujourd’hui, 29 avril, le professeur Toshiso Kosako, mandaté par le
gouvernement Japonais le 16 mars en tant que conseiller spécial
nucléaire, vient d’annoncer sa démission, les larmes aux yeux, parce que, dit-il, « le premier ministre a ignoré les lois ». Mais peut-être ne les connait-il pas ?
La finalité de ce court article n’est pas de fomenter la peur ou la
dépression : elle est de promouvoir la mise en place de techniques de
dépollution et d’encourager les peuples à déclarer ouverte la chasse aux
prédateurs militaro-industriels, la source toxique de tous leurs maux.