Après les applaudissements la face cachée . un militaire en poste en Afghanistan : « Les deux
journalistes de FR3 n’étaient pas en reportage quand ils ont été
enlevés. Leur avion les attendait, le reportage était terminé ». En
fait, de leur propre aveu, ils se sont rendus dans une zone contrôlée
par les Talibans pour « assurer les Talibans de la compréhension et du
soutien de la presse et de la gauche française dans leur lutte ». En
clair, tirer une balle dans le dos de la politique française.
Un autre militaire (censuré par tous les médias) : « Les
deux touristes farfelus et irresponsables sont partis faire du
militantisme politique à titre personnel dans les montagnes afghanes,
une fois leur reportage avec l’armée terminé ».