Le mondialisme de droite répond à l’internationalisme de gauche dans son dogmatisme.
En plus dans les années 80, personne ne défendait un retour aux principes des 30 glorieuses... Non, les politiques (gauche comprise) étaient trop bon pour penser au crédit publique, aux lois anti-finance folle (GlassSteagall de Roosevelt) et au redressement des pays par l’industrie au lieu de la financiarisation. Et puis, il y avait la promesse de crédit facile pour acheter le silence des assistés (aussi bien investisseurs que chomeurs) malgré les déficits. Il fallait juste accepter de sacrifier la nation et on avait tous ce qu’on voulait.