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Commentaire de rezareza

sur Résumé de la franc-maçonnerie


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rezareza 15 novembre 2012 21:40

@ Daniel D

Je ne vous répondrais que rapidement, j’ai aimé l’idée de débattre afin de poser mes contre arguments à cette vidéo, c’était le but et il est atteins, je n’ai nul envie de vous élaborer, de vous insulter et de créer avec vous un couple refoulé de haineux qui pathétiquement s’essaient à des verbiages inutiles et stérile, je dirais juste que votre violence est toute faiblarde.
Je ne retiendrais qu’une chose de votre texte qui tourne en boucle et n’a d’attrait que par des charges stylistiques nouvelles et cette chose est le mot "bref" juste sous les liens d’Étienne Chouard.
Et, parce qu’il ne faut pas éxagérer je dirais : que nos santés soient bonnes et nos maisons heureuses.

@ Socarate

Je vous remercie d’avoir pris le temps de prendre mon parti et d’avoir insisté sur le fait que les antimaçons interprètent mal la fiction des symboles maçonniques et fantasment à outrance, délirent, s’exhalent de vide, et, agissent de travers dans la réalité.
Socrate, vous avez placé la rose au rosier, honorez vous de vous !

@ spartacus

Quelle tristesse que vous ayez choisi ce pseudo, inévitablement je pense à Stanley Kubrick. Evidement votre "un idiot utile ou larbin de service" ne me plait pas, cette insulte je la refuse et je vous heurte sans haine mais efficacement en vous renvoyant à vos deux derniers mots.
Qui, en toute lucidité, sont non seulement une calomnie, une diffamation, punissable par la loi en cas de plainte et de proces mais avant tout qui constituent votre forme erroné de vérité, votre univers délirant, non pas la pale lueur mais l’obscurité qui damne votre vie, que faire alors, je pense avoir dans mon tout premier message avoir réussi à vous donner les outils nécessaires pour comprendre la maçonnerie d’une manière juste. Aussi, je vous laisse à vos quelques années à venir qui seront jonchées de petites excitations fades, d’un sentiment de révolte adolescent et d’une fureur aigrie, car, avec votre type de detracteur j’ai toujours eu la même méthode, m’éloigner en chuchotant : réveillez moi, quand l’étoile du soir, ornera le calme saint du ciel. 


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