Ce qu’il y a de bien avec Robin, c’est qu’on sent bien que "neutralité journalistique" sont des vains mots. Enfin bon, on ne peut faire d’un âne un poulain. Je le dis avec d’autant plus de force que ce personnage ne tient apparemment aucunement compte de ce qu’on lui dit. A croire finalement qu’il est atteint d’une forme d’autisme encore inconnu.