J’ai oublié de marquer l’origine de la citation de Nature & Progrès.
Voici l’autre.
« Il n’y a pas de souveraineté alimentaire sans respect des droits des paysans
d’utiliser et d’échanger leurs semences, boutures, plants et greffes. Ces droits
sont niés par les lois qui permettent à dix sociétés transnationales de contrôler
les trois quarts du commerce mondial de semences. Celui qui contrôle les
semences contrôle les peuples... » (Nature & Progrès)