Vingt ans après les faits, toute la lumière a été établie sur l’« affaire de Carpentras » (quelques militants socialistes, communistes, gauchistes, trotskistes et antifafounets de service restent cependant dans le déni malgré les évidences !).
 
Un fait divers exploité de façon immonde comme une formidable opération de communication et de rassemblement de la gauche « unie ». Une opération de diabolisation démocratique montée de toutes pièces pas le pouvoir socialiste contre un parti politique, à faire frémir les inspecteurs de « NCIS : Enquêtes spéciales ».
 
Une manipulation transformée en affaire d’État qui a imposé le « front républicain » décrété par les loges francs-maçonnes pour empêcher les partis politiques de droite de passer des alliances électorales avec le FN, ce dont le parti socialiste ne s’est pas privé avec le parti communiste et l’extrême-gauche lors des désistements mutuels au second tour.
 
Comme le souligne gerfaut, c’est en pleine médiatisation hystérique de l’affaire de Carpentras, dans un climat empreint de sérénité et propice à la réflexion que le loi Gayssot est votée, moins de deux mois après la profanations des sépultures juives encore présentes dans tous les esprits (Laurent Fabius était président de l’Assemblée nationale et Michel Rocard premier ministre).