La meilleure défense étant l’attaque, il serait de bon aloi que les victimes désignées par le doigt nauséabond du vulgaire sinistre de l’intérieur qui, par ses fréquents et répétés appels d’incitation à la haine et à la violence, s’est illustré en se donnant en spectacle devant la France entière, se constituent partie civile, soit devant le doyen des juges d’instruction, soit par une double citation directe devant le tribunal correctionnel compétent afin de faire cesser les troubles publics et les provocations ignominieuses induites par le comportement délictuel du premier flic de France qui a agi délibérément et en toute connaissance de cause. Il est évident que la loi qui a été faite sur mesure pour permettre aux membres du gouvernement d’échapper à la justice de droit commun et donc à la justice populaire réduira à néant les tentatives des victimes d’obtenir que justice soit rendue. La cour de justice de la république étant majoritairement parlementaire, il n’y a aucun espoir de ce point de vue, étant entendu que les parlementaires UMPS s’opposeront de toute leur félonie à ce que l’un d’entre-eux puisse répondre de ses actes délictueux. 

Il n’empêche pour autant que cette démonstration est nécessaire afin que le peuple puisse observer concrètement les dysfonctionnements engendrés par le statut d’impunité exceptionnelle accordé aux membres du gouvernement. Le peuple de France doit se tenir prêt et uni pour défendre chèrement nos libertés, et ce, en s’opposant à la scandaleuse machination qui est en cours et qui, sans lui, parviendra à ses fins en vouant Dieudonné et Soral aux gémonies.