Hijack :
Je pars du principe que tu penses sincèrement ce que tu dis.
Je te réponds que tu fais une mauvaise analyse peut-être parce que tu n’es pas vraiment
familier avec la chose militaire (sans ironie). Quand je dis que les arabes
sont de piètres combattants, tu me réponds la Syrie. Ben, justement, c’est l’exemple
qui illustre mon propos. Un, ce sont des arabes qui se battent contre des
arabes… deux, de mauvais combattants de chaque cotés. Trois ans de guerre avec un
front plus ou moins statique, aucune vraie bataille digne de ce nom. Des
escarmouches suivies d’autres escarmouches. Combien de divisions de blindés
compte la rebellions, combien d’avions de chasse ???
Concernant Israel, tu penses à tort que dans tous les
conflits, elle fut supportée par les USA, ayant chaque fois un avantage
matériel face à ces ennemies – faux, faux et faux. En 48, 67 et 73, chaque
fois, elle était surpassée en nombre de soldats, de tanks, d’avions et devait
lutter seule face à plusieurs pays ennemis sur plusieurs fronts – en stratégie militaire, il est considéré
comme dangereux de se battre sur 2 fronts – Israel se battait sur 3 à 4 fronts
suivant les guerres en questions. Si en face, ce n’avait pas été des arabes
mais des européens ou des asiatiques (avec le même matos que les israéliens), l’affaire
été pliée.
Contrairement à ce que tu peux penser (et que les arabes
croient), ce n’est pas les armes qui font la différence dans une lutte, mais le
mental des combattants (lire Clausevitz) et l’ingéniosité des officiers. Les
exemples sont légions dans l’histoire où de petites armées ont vaincu des mastodontes.
Et sur ce chapitre, les arabes n’ont pas le mental de guerriers car ils décrochent
très rapidement le terrain dès qu’ils sentent qu’ils ne sont plus en avantage ….
Ce n’est pas moi qui le dis, c’est la synthèse de conseillers militaires
français, russes, américains etc …
Tu écris ‘’Quand on
s’arme à outrance, c’est que l’on a la pétoche.’’
Je te répond : NON, ça veut
dire que l’on est moins c.. que son ennemi.