Devant certaines évidences aussi accablantes qu’imparables il peut s’avérer raisonnable de faire le mort, de demeurer stoïque et silencieux, en espérant que les choses se tassent...
Mais comme Robin ne peut pas s’empêcher de pérorer...
Le coup des "chiffres manipulés" est assez homérique, comme l’ensemble d’une stratégie de justification vaseuse comme les eaux sombres de son hypocrisie dans lesquelles le "journaliste" se débat, en quête d’un bol d’oxygène qui ne viendra pas...
Robin ne justifie qu’une chose, son triste statut de particule rudimentaire digne des médias aux ordres dans lesquels le malheureux n’arrive pas à percer, contrairement à d’autres abcès...
Il lui reste le loisir de "modérer" positivement à outrance, mais cela n’effacera pas les traces indélébiles et compromettantes de sa volonté de censurer qui poignarde sans ménagement une devise factice où "l’ouverture d’esprit" et la "liberté d’expression" ne sont qu’otages d’un esprit dogmatique livré à ses démons intolérants...
"Je ne partage pas vos idées, et je ferai tout pour que vous ne puissiez pas les exprimer."
Voila une devise qui colle un peu mieux à la réalité du personnage...