Quand, comme François Asselineau, on a fait son beurre dans les cabinets des ministres du gouvernement Juppé, qui en 1995 a entamé le processus de réintégration dans l’OTAN, abandonné par De Gaulle en 1966, et grâce à qui les troupes françaises ont pu être déployées dans la 1ère guerre du golfe et celle de l’ex-Yougoslavie (et donc bien avant que Sarkozy n’achève ce processus en 2009), on devrait arrêter de se prendre pour un gaulliste, si ce n’est pour De Gaulle lui-même. On devrait même s’estimer heureux de ne pas être considéré soi-même comme un traître et se faire petit, tout petit...^^

Salaamalek