Engagement
au sol des Russes et attaques des Turques, des USA ,des
Israéliens au sol pour renverser ASSAD.
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Extraits :
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D’un
précédent article, intitulé Poutine,
un homme à abattre ? il
ressortait que d’une part des opérations semblent
préparer la déstabilisation de la Russie pour
contrer « la
politique indépendante inaugurée par Vladimir Poutine »,
et d’autre part que la Russie a les moyens de l’indépendance de
sa politique, notamment du fait de sa supériorité technologique en
matière d’armement, en effet : La
Russie « a
paralysé les forces US et françaises prêtes à intervenir contre
la Syrie, en 2013,
simplement par la neutralisation des systèmes missiles, radars
et autres technologies de pointe sans lesquelles la force de frappe
alliée se retrouve sourde et aveugle, incapable de diriger un
missile sur une cible donnée, ou même de se protéger d’une
attaque. »
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La
mise en garde de Poutine contre
toute attaque de la Syrie par les USA début août, suivie des
subtiles tractations par Sergeï Lavrov, le ministre de la diplomatie
russe, pour une coalition
anti-terroriste alternative à
celle de la Coalition menée par l’Empire du chaos, sont autant
d’éléments concordants qui semblaient indiquer la volonté d’une
implication de la Russie dans le conflit de Syrie. la
Russie « n’entend
pas abandonner la Syrie où sa marine dispose de la base de
Tartous, » écrivions-nous
, « même
si les forces de Bachar el Assad semblent de plus en plus acculées
vers Damas. Selon plusieurs sources, d’ailleurs, notamment une
en provenance d’Israël, la Russie serait actuellement prête à
s’impliquer directement auprès de Damas où elle aurait envoyé
des avions et des hommes, contre l’Etat islamique. »
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La
coalition alternative proposée par Moscou devait être menée en
coopération avec Damas, contrairement à la coalition
occidentale qui prétend d’une part, lutter contre l’Etat
islamique, mais tout en soutenant entrainant et armant, d’autre
part, les islamistes opposés à Bachar-el-Assad.
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En
réalité lorsque les Yankees ont lancé
leurs deux premiers et derniers missiles pour attaquer la Syrie en
2013, lesquels sont allés se perdre en mer, paralysés par les
systèmes russes, les Américains ont compris qu’ils ne
pouvaient pas mener une attaque frontale contre la Syrie, parce que
les Russes les en empêcheraient ...
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Les
rapports de plus en plus nombreux de l’implication russe en Syrie
sont donc pris au sérieux par Washington, bien que Moscou persiste à
les démentir >>> pfff ... sont très taquins les russes !