Le Dr. Quynh que l’on voit dans ce reportage avait un temps arrêté d’intervenir de nuit dans les cités du 94. Apparemment il a repris malgré les multiples agressions gratuites dont il a été l’objet... ce type est d’un courage exemplaire mais il devrait penser aussi à lui et arrêter jusqu’à ce que les pouvoirs publics prennent leurs responsabilités.
La solution à la française : mettre en place un n° vert post-agression. Pitoyable. Et une fois de plus on ne dit pas ici qui agresse qui. On parle de "quartiers sensibles" pour la forme, mais il n’y a que là où un médecin de nuit peut se faire tabasser gratuitement et voler sa sacoche de travail. Il faudrait un moment donné avoir le courage de dire la vérité : certaines pop en particulier se livrent à ces agressions et sont en général particulièrement agressives avec le personnel soignant ; il suffit de lire le livre de Benssoussan ("Une France soumise") pour retrouver les témoignages de ces médecins, pompiers, responsables de services sociaux, personnel hospitalier, etc. Le verdict est sans appel : un pompier explique très bien que partout en France les gens hésitent même à faire appel à eux et quand c’est le cas sont très reconnaissants SAUF dans les "quartiers" où ils se font agresser sans aucune raison, parfois même pendant qu’ils sont en train de prendre en charge des victimes. Comment régler cela ? La méthode Giuliani. Tolérance zéro. La coercition est la seule solution pour gérer la racaille qui par définition ne comprend rien d’autre que le rapport de force.