@ezechiel

Faudrait arrêter de nous prendre pour des jambons en maniant le sophisme !

Auriez-vous écrit : ’’Bernard Godard est proche de la mouvance idéologique d’extrême-droite des Frères Musulmans, mouvement néo-nazi misogyne, antioccidental, antichrétien et antisémite né à la fin des années 1920, et qui a développé à partir des années 1980 plusieurs centaines de mosquées en France.
Godard participe régulièrement au congrès des Frères Musulmans ayant lieu tous les ans au Bourget, en compagnie des prédicateurs les plus virulents parcourant les mosquées de France ....’’ ?

Bernard Godard participait également à ce congrès de l’UOIF. Il est né au Maroc en 1950. C’est un ancien fonctionnaire français des renseignements généraux, expert de l’islam en France, qui s’est penché dès les années 1990 sur la montée de l’islamisme radical en France. Il a été de 1997 à 2014 l’expert de l’islam du ministère de l’intérieur et a participé à la mise en place du Conseil français du culte musulman dont il critique les dysfonctionnements. Décrit comme « la mémoire de l’islam de France », « sa connaissance pointue des réseaux et des hommes ont fait de lui un homme clé incontournable de la gestion de l’islam en France » selon Libération.

source Wikipedia / Bernard Godard

Le fait que Pascal Boniface et Bernard Godard aient participé à ce congrès, ne signifie en rien qu’ils soient proches d’une idéologie néo-nazie.

De même, auriez vous écrit la même chose au sujet de Didier Leschi, participant également à ce congrès ?

Didier Leschi est nommé fin décembre 2015 directeur général de l’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII).

Spécialiste reconnu des cultes en France et de la laîcité il est marqué par l’affaire de Creil en 1989 et continue à s’intéresser à cette thématique à laquelle il consacre deux livres. Dans Misère(s) de l’islam de France, il estime que la militante du PIR Houria Bouteldja « revendique son dégoût du métissage, rejoignant par-là l’extrême droite racialiste ». Il ajoute : « ces nouveaux damnés de la terre défendent un projet identitaire qui maintient l’idée de domination et propose de l’inverser et non de la renverser au profit de tous (...) au contraire, dans cette perspective « indigène », ce qui est réhabilité ce sont les identités, qui valorisent les structures d’appartenance où chaque individu doit d’abord prêter allégeance à ce qui l’enferme. »

source :Wikipedia/Didier Leschi

Vous êtes un falsificateur.