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Commentaire de microf

sur Angélique Kidjo : L'Occident pille nos ressources naturelles


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microf 8 janvier 2020 17:13

@Conférençovore

Merci.
Mais je n´ai pas dit que vous m´avez traité de con ou d´idiot, mais que vous avez employez ou utilisez ces mots qui n´ont rien á faire dans ce débat.

Il ya aussi une chose que je ne comprends pas, á chaque fois qu´un africain se plaint des méfaits de la France, il ya une levée de boucliers.
Ceci me rappele le film de Sembène Ousmane tourné en 1987. Ce film a été interdit á sa sorti en France et ceci pendant plus de 17 ans.https://youtu.be/-RrLPxCdlIA

https://youtu.be/-RrLPxCdlIA

" Des tirailleurs sénégalais venus des colonies de l’Afrique-Occidentale française, anciens combattants de l’armée française et prisonniers en Europe durant la Seconde Guerre mondiale, sont rassemblés avant leur démobilisation en novembre 1944 au camp de transit de Thiaroye au Sénégal. Soumis à divers humiliations, ils apprennent enfin que le montant des indemnités et pécule qui doit leur être payé (arriéré de solde, pécule, prime de démobilisation) sera divisé par deux.

Un général, venu dans le camp pour imposer les décisions de l’administration, est brièvement maintenu de force. En représailles, le camp est attaqué à l’artillerie en pleine nuit le 1er décembre 1944. Vingt-cinq tirailleurs sont tués.

L’histoire est organisée autour de la figure du sergent-chef Diatta. Sénégalais cultivé et élégant, parlant wolof, français et anglais, amateur de musique classique et de littérature, marié à une Française et fier de son « africanité », il exacerbe les contradictions du système colonial. Il s’oppose au capitaine Labrousse, officier d’active des troupes coloniales, et est soutenu par le capitaine Raymond, qui rentre en France avec de nouveaux engagés à la fin du film.

Camp de Thiaroye est un film sénégalais d’Ousmane Sembène (lui même ancien tirailleur sénégalais) et Thierno Faty Sow tourné en 1988. Il évoque ce qui sera appelé le massacre de Thiaroye, un épisode honteux pour l’armée française au moment de la Libération. Ce film participe au retour de cet événement dans la mémoire et l’historiographie"

Heureusement qu´aujourd´hui @conférencevore, les africains qui se plaignent ne peuvent plus être tués comme á cette époque, ce que certainement nombreux ici doivent regretter.

Mais comme la vie est comme elle l´est, aujourd´hui, les problèmes dont se plaignent les africains touchent aussi aujourd´hui les de souches en France qui se plaignent de ce système qui les spolient, et ces de souches, le montrent comme les tirailleurs du camps de THIAROYE par des manifestations violentes " Gilets jaunes ou les grêves contre la reforme de la retraite " J´espère seulement que les de souches Gilets Jaunes ou de souches qui manifestent contre la reforme de la retraite, ne seront pas fusillés comme les Tirailleurs du Camps de THIAROYE.


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