@yoananda2
1/ Tout à
fait. Et c’est pour ça qu’il y’a des enquêtes menées par des investigateurs et
des faits qui sont rapportés par des lanceurs d’alerte. C’est peut-être là la véritable
vocation du journalisme, d’informer le public de ces conspirations. Pas cette
bouillie de journalisme qu’on a aujourd’hui.
2/ Je comprends
tes remarques mais le sujet de l’étude c’est le profil psychologico-sociales
des personnes qui y adhèrent et ils se sont contentés d’énoncer ce qu’ils ont constaté.
Après, on pourrait aussi étudier le contexte social qui favorise l’émergence de
la croyance au complot systématique ( ce serait très intéressant effectivement)
mais pour ça il faudrait une autre étude avec une méthodologie différente. Mais je suis d’accord avec toi, le profil ne dit pas tout.
En ce qui me
concerne, j’ai l’impression que la paupérisation de la classe ouvrière blanche,
la baisse de son espérance de vie, la concentration accrue du capital, la
faiblesse du système de santé et de l’Etat social en général, la puissance des lobby
( pharmaceutique entre autres ) ont constitué le contexte social favorable à l’émergence
d’une mouvance comme Qanon aux US et une telle étude pourrait confirmer ou infirmer mes
impressions.