@Gollum
La destruction de la nature, les dérèglements climatiques, les pollutions diverses et variées sont le résultat de l’hybris..
réponse qui me semble recevable, mais la solution serait quoi ? comment "équilibrer" ou "compenser" cet hubris ?
Il n’est pas la pour rien non plus. Au moyen age, 1 enfant sur 2 mourrait avant l’age adulte. Si on a réussit à dépasser ça, c’est grâce aux révolutions industrielles. Toute la planète nous emboite le pas. Et c’est ça qui pose cause les dérèglements dont tu parles (que ne nie pas, ni ne minimise).
Alors, on peut fermer le robinet quand on se brosse les dents, on pourrait interdire les SUV et obliger le vélo dans les grandes villes, faire du recyclage et même du crédit social pour gamifier tout ça, mais ... tu vois ou ça nous mène... une dictature verte, et j’ai un peu du mal avec l’idée de compenser un hubris par un autre.
Si tu as des suggestions, je suis prenneur.
Mais c’est pour ça que je demandais une "définition" de l’hubris. Parce qu’un constat n’est pas suffisant.
Une définition pratique serait idéal, une définition ou je pourrais me dire à moi perso, "tiens, telle décision dérive dans l’hubris un petit peu, faut que je me réfrène". À quel moment on bascule ? (je pense que ce sujet nous concerne dans notre vie quotidienne au même titre que les élites)