Personnellement, je ne sais pas jouer à la bataille navale et je déteste les jeux vidéos. Donc les trucs du Simplet qui cause tout seul n’ont aucun intérêt.
Toutefois, la stratégie mongole reste toujours valable : on provoque la contre-attaque, on se replie sur une position sûre et, depuis l’arrière, on arrose.
Les russes ont réussi à faire venir les meilleures troupes sur l’ouest d’Adeevka pour essayer de stabiliser le front. Elles sont venues, ont fait leur boulot et sont en train de se faire décimer. La journée d’hier a connu des bombardements égaux aux pires journées sur Adeevka, bombardements effectués bien sûr par les russes sur leurs propres troupes pour que leurs pertes soient énormes. C’est ce que nous apprennent deux abrutis. Normalement là où il pleut, ça tombe, mais pour ces abrutis, l’eau ne tombe pas à la verticale. Bref, le coup des russes, c’était d’attirer ceux qu’il fallait arroser, montés sur leurs Abrams. Et ça a l’air de marcher vu les rapports sur le terrain (pas ceux des 2 abrutis propagandistes). Guerre d’attrition agressive et rien d’autre jusqu’au printemps après la gadoue.

Le 2ème point. Les occidentaux refilent leur vieux matériel aux ukrainiens, c’est gratos et ils peuvent le remplacer (à terme) avec du neuf américain ou européen. Les russes ont une autre stratégie. Le vieux, ils le préparent, le font monter le plus près possible de l’ennemi, une fois endommagé, les types sortent indemnes (il n’y a pas de munitions) se mettent à creuser dessous et ils se retrouvent avec un bunker tout prêt, sous lequel ils sont à l’abri. Comme ils fabriquent 200 tanks par mois, ensuite ils ont du neuf. Les histoires des 2 abrutis sont à mourir de rire.

3ème point. Zélenski va à Odessa pour soi-disant rencontrer le chef grec. Il a dû se dire "comme cela ils n’oseront pas me tirer dessus". La réalité, c’est qu’il voulait aller remettre des décorations aux types qui avaient fait couler le patrouilleur russe. Les russes ne veulent surtout pas le descendre, c’est leur meilleur agent infiltré. Donc à la jumelle, ils suivent le trajet de leur agent et repèrent l’entrée de la Base Secrète où il va remettre ses décorations aux héros, commandés par des officiers anglais, maitrisant parfaitement la programmation de ces drones sous-marins, fabriqués en Roumanie selon leurs plans, qui démolissent des ponts, mais parfois trouvent sur leur route un patrouilleur qui en prend plein la coque (Eh oui les russes utilisent des patrouilleurs pour protéger leurs ponts : 7 drones pour un patrouilleur, ça fait beaucoup trop, mais pas pour un pont, ce qui explique aussi la récupération rapide de l’équipage).
Continuons, donc remise des bouts de ferraille, retour à l’air libre et en route pour la maison. Ça n’a pas trainé : boum boum, en plein sur les bouts de ferrailles restés accrochés sur les portes-manteaux. Tentative d’assassinat du président, bla bla bla. Les russes ne ratent pas leur cible par centaines de mètres, surtout quand il s’agit de leur meilleur agent. Bon, question patrouilleur, il y en a déjà un qui descend la Volga en remplacement, pour protéger le pont. Le résultat des courses, c’est un patrouilleur coulé, mais un pont toujours intact, malgré l’envoi massif de drones aériens, sous-marins et de missiles scalpeurs en 24h. C’était la fameuse "Surprise" promise par Budanov qui n’a surpris personne, sauf lui, avec un coup dur pour ses potes anglais qui font joujou avec des drones et pour leur stock que scalpeurs ombrés.

Il n’y que les abrutis qui gesticulent de façon désordonnée et en hurlant quand ils en prennent un bien placé.