@nono le simplet Je note sans surprise, tant vous êtes incroyablement prévisible, que vous vous gavez toujours des mots con et connerie comme un petit enfant se gave de bonbons. Vous devriez tout de même à votre âge chercher à évoluer un peu plus haut. Mais pour décoller encore faut-il le pouvoir. 
Dans l’espèce humaine qui est réputée être diurne, et non nocturne comme le chat, par exemple, la nuit est faite pour dormir.
Vous devriez effectivement d’abord consulter dans un centre spécialisé pour les troubles du sommeil. Et si le maximum de votre intellect se situe sur une aussi courte période, qui plus est nocturne, tous ceux qui vous lisent peuvent vraiment comprendre maintenant le niveau des réflexions que vous faites partager.
A noter que les écrans actuels émettent fortement dans l’UV ce qui explique que les regarder avant d’aller dormir soit aussi néfaste pour l’endormissement alors que la première phase de sommeil profond à ondes lentes est absolument capitale pour permettre aux cellules neuronales et à son environnement névroglique de reconstituer les réserves énergétiques, le système nerveux consommant à lui seul 50% de l’énergie du corps nécessaire à sa survie.
Naturellement tout excitant comme le café est à proscrire le soir.
Et si vous avez des problèmes de Prostate, dont sont affectés tous les hommes en âge faites un bilan minimum urinaire et prostatique (à 75ans un homme à 75% de chance (?) d’avoir un cancer prostatique !).

Petite anecdote sur le monde de la Psychiatrie : Quand j’étais passé chez Jean Delay, super Ponte pontifiant suivi de sa cour, et qui en plus nous avait imposé un temps trop long pour moi, une définition à très courte vue mais obligatoire des neuroleptiques,, naturellement aussi dogmatique que son auteur, le neveu de Louis Jouvet publiait les premières études capitales qu’il réalisait sur le sommeil et ses phases bien connues maintenant. Je voulais donc en parler à un brillant chef de Clinique de Ste Anne. et lui de me répondre que ces études sur le sommeil étaient sans intérêt.
A cette époque la Neuropsychiatrie avait laissé sa place à la Psychiatrie qui s’était complètement coupée très bêtement de la Neurologie tout en se rapprochant un peu de la Psychanalyse fumante. Heureusement que le Monde médical a continué d’évoluer, sur le plan de la chimie, de la physiologie, de l’imagerie et des fonctions de type informatique du cerveau.

Donc vous pouvez être rassuré : ce n’est pas d’aujourd’hui qu’il y a de sacrés cons sur Terre, y compris en particulier Psychiatrie..