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José Castano - Une évocation émouvante de l’Histoire du 1er Régiment Etranger de Parachutistes corps d’élite de l’Armée française

Cercle Algérianiste du Gers 2014

"Mettre sa vie au bout de ses idées"

 

 

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"Hélie Denoix de Saint-Marc officier mythique du putsch d’avril 1961"

Tags : Histoire




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16 réactions à cet article    


  • 1 vote
    sls0 sls0 6 juin 2015 16:59

    A l’entendre on pourrait croire que c’est un ancien officier para, ben non, service militaire au bataillon de Joinville et ensuite éducation nationale.

    C’est vrai que l’armée française en Indochine et en Algérie a dérouillé mais quels intérêts elle défendait ? 


    • 2 votes
      Bournazel Bournazel 6 juin 2015 18:15
      José CASTANO : une vie au service de la PATRIE
      Par

      France Presse Infos - Le Gaulois

      En publiant aujourd’hui la biographie de José Castano, « Le Gaulois » est heureux de rendre ici un hommage plus que mérité à celui qui, non seulement contribue à la richesse de ses colonnes, mais demeure également un modèle d’Honneur, de Fidélité et de désintéressement. « Il est du Destin des meilleurs de SERVIR », proclame un dicton Parachutiste. José en est un exemple vivant !
      J
      osé CASTANO a vu le jour en octobre 1946 dans un village d’Oranie : Ain-el-Turck. En juin 1962, c’est la déchirure. Son père, après avoir été appréhendé pour « activités subversives », est emprisonné, torturé par les gendarmes mobiles du général Katz –« le boucher d’Oran »- puis soigné à l’hôpital d’Oran (pavillon des détenus) d’où il s’évade lors de l’intervention d’un commando de l’OAS. Recherché, traqué par la police française et le FLN, il rejoindra clandestinement la France à bord d’un chalutier.
      Demeuré au pays avec le reste de sa famille, José, âgé de 16 ans, est à son tour contraint à la clandestinité afin d’échapper aux recherches du FLN qui, faute de ne pouvoir capturer le père, se vengerait bien sur le fils… En juillet, il tente une première fois de s’embarquer en compagnie d’un ami du village, Jean Lopez, marié et père d’une petite famille. Au port d’Oran, celui-ci sera interpellé par des A.T.O (fellaghas reconvertis en policiers)… On ne le reverra plus… jusqu’au 15 août 1962 quand, dans une citerne abandonnée à 15 kms d’Oran, une patrouille de soldats français découvrira parmi d’autres cadavres d’européens affreusement mutilés, celui de Jean Lopez. Son corps sera identifié grâce à son alliance sur laquelle était gravée la date de son mariage.¢


      Quelques jours plus tard, José s’embarquera, seul, à bord du Kairouan, via Port-Vendres, où, perdu dans un univers hostile et étranger, ne sachant où aller, il sera pris en charge durant quelques semaines par une admirable famille de pêcheurs oranais. À cette époque, la solidarité était réelle !…

      Fin juillet, la famille est enfin réunie. C’est alors qu’un nouveau drame éclate. Son père est identifié lors d’un contrôle de police à la frontière espagnole, arrêté, transféré immédiatement à Paris, jugé et condamné à quatre ans et demi de prison qu’il purgera en partie à Fresnes.

      C’est dans ces moments difficiles que prendra corps une promesse faite en souvenir de cet ami disparu et, à travers lui, à ces milliers d’autres infortunés : Défendre la mémoire de l’Algérie Française, de ses combattants et des disparus de 1962 !

      Après des études secondaires classiques, poussé par la passion du sport, il épousera cette voie et la compétition de haut niveau. Engagé volontaire, il connaîtra les honneurs du Bataillon de Joinville, deviendra International Militaire d’Athlétisme et, rendu quelques années plus tard à la vie civile, enseignera l’Éducation Physique en milieu scolaire et universitaire.

      Fidèle à sa promesse, dès 1980 il entame par ses écrits et ses conférences son « œuvre de mémoire ». Auteur de sept ouvrages et conférencier infatigable, ce travail foncier et persévérant lui ouvre les portes de la Société des Gens de Lettres de France et de l’Académie des Sciences d’Outre-mer, section littérature.

      Par ailleurs, son « investissement » dans la cause des disparus lui a valu d’obtenir la Médaille d’Or du Mérite et du Dévouement français ainsi que la Médaille d’Honneur de la Ville de Montpellier.

      Auteur d’un ouvrage de référence, « Le péril islamique », il s’investira, parallèlement, dans un combat identitaire pour la sauvegarde des valeurs chrétiennes, contre le fondamentalisme islamique et l’islamisation programmée de la France.

      Poursuivant inlassablement son œuvre de mémoire, il multiplie ses conférences notamment sur « la tragédie de l’Algérie française », « l’Armée d’Afrique » et « les Seigneurs de la guerre » en hommage aux soldats de la Légion étrangère ainsi que sur le péril que représente la montée de l’intégrisme islamique « l’Islam… Religion conquérante ».

      Par ses interventions diverses et variées, José CASTANO poursuit inlassablement depuis 1980, à l’écart des partis politiques, le seul combat qui, à ses yeux justifie son action : Rendre à la mémoire des Français d’Algérie et à son armée bafouée, la justice qui leur a été refusée tout au long de leur calvaire.¢


      • 2 votes
        Bournazel Bournazel 6 juin 2015 18:20

         Il suffit d’écouter... Pour comprendre.


        • 2 votes
          Piloun Piloun 6 juin 2015 18:58

          Très belle conférence, merci.


          • 5 votes
            juluch juluch 6 juin 2015 21:40

            Honneur aux Anciens.


            Le 1er REP devrait être réhabilité et réactivé.

            Quand aux communistes, ils devraient être jugés pour trahison comme tous les salopards de leur espèce !

            Merci pour le partage Bournazel

            • 1 vote
              Scalpa Scalpa 7 juin 2015 00:20

              Allons nanfans de la tripas
              le jour du trépas est arrivé


              • vote
                Scalpa Scalpa 7 juin 2015 00:27

                Contre nous de la niaiserie
                l’étendard est lavé
                Aux larmes simitoyens


                • vote
                  Scalpa Scalpa 8 juin 2015 23:54

                  @Scalpa

                  l’étang dart sans gland est lavé.


                • 3 votes
                  sls0 sls0 7 juin 2015 01:05

                  « Il ne faut pas juger avec nos yeux instruits d’aujourd’hui mais avec nos yeux aveugles d’hier » a écrit Maurice Druon. C’est sans nul doute l’attitude à avoir lorsque l’on considère cette période…

                  Je ne juge pas le 1er REP, pour avoir testé pendant un certain temps la devise du régiment ’’Au delà du possible’’ une dizaine d’années après notre gymnaste du bataillon de Joinville, l’esprit para je connais, dépasser ses limites ça soude.
                  Notre gymnaste même avec ses trémolos dans la voix est mal placé pour en parler. Pour justifié les actes son père, pour gagner des voix pour le FN, d’accord. Pour défendre l’honneur des paras, on laisse cela aux paras.


                  • vote
                    Bournazel Bournazel 7 juin 2015 01:25

                    @sls0 José Castano est certainement mieux placé que vous pour en parler du 1er REP. Cet homme est respectable et vos jugement à l’emporte-pièce, qui ne vous honorent pas... Je m’en tape Bonne soirée !


                  • 2 votes
                    sls0 sls0 7 juin 2015 23:42

                    @Bournazel
                    J’ai écrit plus haut que je ne jugeai pas le 1er REP donc je n’ai pas à en parler.

                    Mon père s’est battu pendant la seconde guerre mondiale et un oncle s’est battu en Algérie. Les deux était contre cette guerre de colonisation. Le 1er REP c’était 0,3% de l’armée française en Algérie, mon oncle faisant partie des 99,7% restant, il n’a peut être pas tord.

                    Je comprend très bien que laisser des compagnons de combats autochtone c’est l’horreur, si on est pas d’accord on quitte l’armée, Helie Denoix de Saint-Marc se complait dans le rôle de soldat perdu, il a une mémoire assez sélective les tortures par exemple il a tendance à ’’oublier’’ comme on peut voir sur cet article.

                    J’arrête avec ce non événement, c’est du passé.

                    Il y avait une rue à Casablanca qui s’appelait Henri de Bournazel, elle s’appelle maintenant rue Ibnou Khatima, le temps passe.
                    On a enlevé le nom d’une personne qui enlevait des vies par une autre qui en sauvait.


                  • vote
                    Bournazel Bournazel 8 juin 2015 09:33

                    @sls0 Allez vous faire foutre !


                  • 1 vote
                    sls0 sls0 8 juin 2015 13:53

                    @Bournazel
                    Et ça parle d’honneur, le vernis a craqué.


                  • vote
                    Bournazel Bournazel 8 juin 2015 14:44

                    @sls0 Monsieur, je n’ai pour vous que du mépris ! Garder vos leçons de morales monsieur le guignol.


                  • 1 vote
                    sls0 sls0 8 juin 2015 16:46

                    @Bournazel
                    Et moi je n’ai aucun mépris pour vous. L’honneur n’est pas un costume que l’on met pour paraitre.

                    Si vous ne voulez pas de contradicteurs allez causer sur ce site.


                  • 1 vote
                    Bournazel Bournazel 8 juin 2015 17:05

                    @sls0 Je ne poste pas sur Agoravox pour débattre avec le premier donneur de leçons qui passe, des gugusses qui se permettent de l’ouvrir sur des sujets qu’ils ne maitrisent pas. Je ne dialogue pas avec les enfants d’immigrés algériens, les gauchistes, la secte UPR, les Soraliens, "les réconciliés" les gaullistes et... Les trous du cul .



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