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Accueil du site > Culture & Loisirs > Culture > Nietzsche - La médisance

Nietzsche - La médisance

La médisance est un phénomène extrêmement répandu, auquel pourtant les philosophes s'intéressent assez peu. Or, se pourrait-il que notre besoin de rabaisser les autres nous renseigne sur notre identité philosophique et sur notre rapport au monde ? C'est en tout cas l'hypothèse proposée par Nietzsche, qui voit dans la médisance l'expression d'une tendance humaine fondamentale : le ressentiment. Analyse de cette conception.

Tags : Religions Philosophie Culture Science et techno




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8 réactions à cet article    


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    Vivre est un village Vivre est un village 17 février 14:58

    La pensée de Nietzsche la pensée n’est pas une pensée de système, en effet...

    A bientôt.

    Amitié.


    • vote
      Vivre est un village Vivre est un village 17 février 16:44


      A partir de la minute 33 :

      joie maligne \ʒwa ma.liɲ\ féminin

      1. (En particulier) (Rare) schadenfreude ; joie malsaine que l’on éprouve en observant le malheur d’autrui.
        • Tout en observant avec une certaine joie maligne les deux partis se déchirer en public, le SPD n’a aucun intérêt à voir la fin du gouvernement et la tenue de nouvelles élections. — (Thibaut Madelin, « Merkel multiplie les offensives pour sauver son gouvernement », dans Les Échos26 juin 2018)
        • Certains se font une joie maligne de ces déboires. — (« Erdogan, l’homme du nouvel ordre turc », dans Le Monde11 novembre 2011 [texte intégral])
        • La satisfaction du public réside, à part la joie maligne, dans la découverte de la contradiction entre la prétention et la réalité. — (Lehmkühler Karsten, « À propos du rire. Un dialogue entre la philosophie et la théologie », dans Revue d’histoire et de philosophie religieuses, no 4, octobre-Décembre 2003, vol. 83, page 469-487)

      https://fr.wiktionary.org/wiki/joie_maligne

      A bientôt.

      Amitié.


      • vote
        Vivre est un village Vivre est un village 17 février 16:50

        A partir de la minute 40 :

        Friedrich Nietzsche, pourtant adversaire déclaré de Sainte-Beuve, a incité en 1880 Ida Overbeck, femme de son ami Franz Overbeck, à traduire les Causeries du lundi en allemand. Jusque-là, Sainte-Beuve n’avait jamais été publié en allemand, malgré sa grande importance en France, car considéré en Allemagne comme représentant d’une manière détestable et typiquement française de penser. La traduction d’Ida Overbeck est parue en 1880 sous le titre Menschen des XVIII. Jahrhunderts (« L’Être humain au xviiie siècle »). Nietzsche a écrit à Ida Overbeck le 18 août 1880 : « Il y a une heure que j’ai reçu Menschen des XVIII. Jahrhunderts. […] C’est un livre merveilleux, je crois que j’ai pleuré, et ce serait bizarre si ce petit livre ne pouvait pas exciter la même sensation chez beaucoup d’autres personnes ». La traduction d’Ida Overbeck est un document important du transfert culturel entre l’Allemagne et la France, mais fut largement ignorée. En 2014 apparut la première édition critique et annotée.

         https://fr.wikipedia.org/wiki/Charles-Augustin_Sainte-Beuve

        A bientôt.

        Amitié.


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          Vivre est un village Vivre est un village 17 février 16:52

          Les critiques veulent notre sang mais pas notre douleur (fin de la vidéo)...

          Remarque intéressante, me semble t’il !!!

          A bientôt.

          Amitié.


          • vote
            yoananda2 17 février 18:16

            Ici et en France en général il y a beaucoup qui médisent sur les riches, l’oligarchie, les élites, les puissants.

            Jalousie.


            • vote
              Vivre est un village Vivre est un village 18 février 12:58

              @yoananda2

              C’est au hasard des conflits notamment dans leur phase ouvert - durant lesquels le recours à la force nue se généralise en raison de l’absence ou de l’effondrement d’institutions administratives d’Etat chargées de la gestion du "monopole de la violence physique légale et légitime" (M.Weber, Economie et société. L’organisation et les puissances de la société dans leur rapport avec l’économie, Paris, Pocket, 1995 [1ère édition, 1967] .) et de leurs effets sur l’interdépendance sociale, qu’évoluent les modes de domination. 
              Ancrées dans l’histoire longue des structures sociales, ces périodes de crises résultent essentiellement de la rupture de l’équilibre codifié des tensions au sein d’une structure de pouvoir instituée, en l’occurrence l’Etat en tant que lieu de conflictualité réglé. 
              Soulef Ayad-Bergounnioux "Gouverner sans contraindre" Une histoire structurale des régimes de domination Editions l’Harmattan
              A bientôt. Amitié.

              []

            • vote
              Vivre est un village Vivre est un village 18 février 14:53

              @yoananda2
              Pas seulement... à preuve : 

              BILLET DE BLOG 4 OCTOBRE 2017 https://blogs.mediapart.fr/docteure-teuephelle/blog/041017/preoccupees-essentiellement-parde-leurs-petites-personnes

              préoccupé(e)s ESSENTIELLEMENT par/de leurs petites personnes

              salut mes cocos d’amour adorés ? (non, je n’ai toujours pas revu les 230 billets qui ont disparu de mon blog je sais toujours pas pourquoi ?) hier matin en attendant l’infirmier pour une prise de 1 litre de sang que les charmantes   ? hôtesses dites d’accueil du labo  ? ont une fois de plus phouttu à la poubelle - ou alors elles en ont fait du boudin  ?  je suis tombée by hazard sur un genre d’émission médicale vous savez, sur des personnes atteintes de DMLA qui donc deviennent progressivement aveugles → 


            • vote
              Vivre est un village Vivre est un village 18 février 14:53

              @Vivre est un village
              les reportages du genre, en général je tiens 5 minutes pas plus ? mais là j’ai eu le temps de voir plein de soignantes et de bénévoles interviewées, avec toujours le même discours genre " je suis une soignante, j’apporte un réconfort immense à tous ces patients " ... " je suis une bénévole, j’apporte un réconfort immense à tous ces patients " soit toujours la même empathie inverse ? - disons, en français : " j’ai un titre, regardez moi comme je suis belle et intelligente et comme j’ai tout compris ", sinon la Soignante évidemment parlait de et à ses patient(e)s comme si ils/elles étaient des daibilles, et la bénévole juste après sa profession de foi  ?on la voyait se retourner vers une dame quasi-aveugle et lui asséner " bon, le soleil continue de briller, il faut profiter de la vie après tout " ? - non mais comme dit  ?en gal je tiens que 5 minutes ? pas beaucoup plus - ou alors, je sens que je me vide de mon sang ? 



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