Et sinon sur le fond de la discussion, c’est génial le marxisme : ça permet à de très gros bavards de parler à la place de ceux qui pourraient transformer le monde mais qui ne le font pas par manque de culture : on a jamais vu un prolétaire raisonner par et pour lui-même, des intellos aux gros melons ont toujours parlé à leur place... A quelques très rares exceptions prèset à moins qu’ils n’aient teinté leurs discours d’anarchisme, les "marxistes" sont d’arrogants dominants tout à fait capables de devenir une oligarchie comme les capitalistes d’en face... Ce qui fait se rejoindre ces deux castes, c’est leur espérance en un seul Système planétaire qui fera le bonheur (LEUR bonheur en réalité) de l’Homme sur Terre... Voilà pourquoi le Système actuel peut-être qualifié de "socialo-libéral" : suffisamment dirigiste à travers des institutions supranationales soviétoïdes (UE, Commission, FMI, Banque Mondiale, OMC, OMS...) mais au service du pouvoir financier privé. CQFD.
Un type comme Barroso, maoïste dans sa jeunesse, patron de la Commission l’illustre parfaitement...
Franchement les modérateurs, on sait pas qui vous êtes, on comprend pas comment vous fonctionnez, mais faites un minimum votre boulot : une seule phrase pour présenter cette petite discussion café-philo avec une faute juste énormissime... Le monde est pertuelle transformation de soi...
Les syndicats et les gaucho-marxistes sont les collabos objectifs des détenteurs du capital... Tant que les Besancenot and Co continueront à enfumer les masses, et que les binaires du genre d’Erwanet n’auront pas compris tout le monde sera content : les huiles syndicales qui touchent du gros pognon et les politiciens professionnels à
leur belle place. Les détenteurs du capital qui n’ont qu’à lâcher un
peu de lest de temps en temps, et l’UMPS socialo-libéral fait
tampon entre les ouvriers et les patrons...
En ne demandant que des miettes (hausse de salaires et autres foutaises) les syndicats contribuent à maintenir les ouvriers dans les fers du patronat
-vivre à crédit toute sa vie pour enrichir les banques, voilà la condition des
ouvriers aujourd’hui...- . Et le patronat bien content de
trouver des gogos qui ont besoin de se faire exploiter plutôt que de
s’auto-déterminer... Et c’est bien dommage d’ailleurs, on verrait l’émergence d’une sorte d’anarcho-libéralisme qui verrait les ouvriers/patrons s’émanciper d’un Etat/patronnat parasite à renvoyer à coups de pompes dans le fion.
Ca fait vraiment plaisir de voir que personne n’en a rien à foutre de cet insignifiant Raffarin. Qui à part les salonnards des grands journaux se souvient d’une mesure ou même d’une phrase de cette bûche qui parle ? Quand on pense que ces guignols deviennent premier ministre pendant des années... L’archétype même du politicien de la Vème : petit, vieux, ventru, carriériste. Lui manque plus qu’une condamnation et c’est un sans-faute...